Sommet Climate Chance Afrique 2019: Mme Georgette Djenontin Bada s’exprime sur le genre et le changement climatique
Education Relative à l’Environnement: Megan Valère Sossou concrétise son projet 229EcoCitoyens
Formation des Journalistes sur le changement climatique : Climate Chance réussit le pari de l’organisation
Avant son lancement officiel, la 2e édition du Sommet Climate Chance Afrique-Accra 2019, a réuni dans la salle de reunion 4 du Centre International des Conférences à Accra Ghana des journalistes passionnés des questions du changement climatique. L’objectif de cet atelier de formation est de permettre aux journalistes de mieux appréhender le contours du changement climatique et d’en raconter l’histoire avec plus de véracité. Il vise également à donner aux médias la capacité d’intégrer les questions climatiques et environnementales dans les flux d’actualités. L’évènement organisé par l’Association Climate Chance en collaboration avec Climate Tracker a vu la participation de plus d’une trentaine de Journalistes venus de la sous région ouest africaine.
Au cours de cette formation et apres la presentation de l’Association Climate Chance par Mme Berengère Batiot qui n’a pas oublié de souhaiter la bienvenue aux participants, il a été question de ce que c’est que la science climat, du journalisme de solution, d’energie renouvelable, de pollution d’air, des modèle d’analyse, de la séchéresse et du journalisme de cadrage. Ces communications ont été animé par Cécile Vivien de Expertise France et surtout Kris Wright Co-Fondateur et Directeur de Climate Tracker, éminent Journaliste en plus qui dans la peau de ses 15 ans d’expérience dans le domaine environnemental a profondément marqué ses pairs participants. Rappellons que l’atelier s’est déroulé dans un climat de convivialité, il s’est refermé sur une note de satisfaction des participants que des formateurs.
Appel à inscription : la Maison de la Société Civile s’établit une base des experts et consultants nationaux
Climate Chance Accra 2019: Des journalistes seront formés sur les thématiques du changement climatique
Avis de recrutement : Le Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable recrute pour le compte du Programme d’Adaptation des Villes au Changement Climatique
(i) soutenir la planification des villes en intégrant les risques naturels et les enjeux d’adaptation aux impacts du changement climatique ;
(ii) améliorer le niveau d’infrastructures, d’équipements et de services urbains en faveur des habitants ;
(iii) améliorer la gouvernance locale et renforcer les capacités de pilotage des acteurs locaux et nationaux dans le domaine « villes et climat ».
de suivi. La CCP/PAVICC est une réelle force de proposition et d’innovation aussi bien dans les modes de fonctionnement et de faire que dans les projets financés sur le PAVICC, qui devront être adaptés lors de leur mise en œuvre afin de correspondre au
mieux aux besoins exprimés localement.
– Veiller à la mise en œuvre du PAVICC suivant les dispositions du manuel de procédures (qui sera fourni à l’équipe au début de son installation) ;
– Réaliser les tâches qui lui incombent dans le manuel de procédures et s’assurer du respect des procédures administratives, passation des marchés, financières, budgétaires et comptables ;
– Participer aux réceptions provisoires et définitives des travaux en rapport avec les structures compétentes de l’Administration et des Mairies concernées, et restitutions des études réalisées dans le cadre du PAVICC pour le compte du ministère ;
– Organiser et animer des réunions d’avancement du projet (Comités Locaux de Suivi Technique) dans chacune des quatre communes bénéficiaires tous les trois mois ;
– Assurer le Secrétariat technique du Comité de Pilotage National et des Comités de suivi Locaux;
– Superviser et contrôler la bonne application des activités et diligences environnementales et sociales telles que prévues dans le PGES, CGES, manuel de procédures, études d’impacts, mesures de compensation le cas échéant;
– Recueillir et centraliser toutes les informations et documentations relatives à la mise en œuvre du projet ;
– Initier et conduire toutes les réflexions et études susceptibles de contribuer à une meilleure gestion et mise en œuvre du PAVICC ;
– Assurer la capitalisation ainsi que la dissémination des acquis du PAVICC en vue d’une appropriation et d’une pérennisation de ces acquis par les différents acteurs ; Pour cela, la CCP/PAVICC organisera (i) un atelier à mi-parcours réunissant les acteurs du programme avec la publication d’actes de synthèse (bilan mi-parcours), et (ii) un atelier à la fin du programme avec la publication
d’un document de capitalisation. Ces publications sont réalisées par la CCP/PAVICC.
– Rédiger les termes de référence des études prévues dans le cadre du projet et, dans le cas où ces TDRs seraient élaborés par des consultants externes, suivre et valider leur élaboration. La Cellule sera responsable de tous les TDRs produits dans le cadre du projet;
– S’assurer du bon déroulement et du respect des différentes procédures telles que présentées et détaillées dans le Manuel Opérationnel des Procédures du PAVICC ;
– Organiser une évaluation du projet à mi-parcours et être force de propositions pour sa réorientation éventuelle ;
– Organiser une évaluation des capacités des municipalités en fin de projet ;
– Assurer la coordination du PAVICC avec les politiques du MCVDD comme le projet Villes Durables, et avec les autres projets financés par des bailleurs de fonds internationaux,comme le PAURAD ;
– Préparer les missions de l’AFD et des consultants intervenant au titre des études et prestations intellectuellesréalisées dans le cadre du projet ;
– Appuyer la PRMP pour la mise en œuvre des procédures de passation de marchés
Les candidats (es) doivent être exempts de tout risque de conflits d’intérêts, c’est-à-dire ne pas être propriétaire ou être partie prenante dans les Conseils d’Administration ou les organes de direction de : firmes, bureaux d’études, entreprises et sociétés susceptibles d’être intéressées par les appels d’offres et les consultations qui résulteront des contrats financés par le projet.
Les candidat(e)s seront sélectionné(e)s en accord avec les procédures définies dans les Directives de l’AFD.
Les fonctionnaires ou les représentants du Gouvernement peuvent faire acte de candidature (i) s’ils sont en congé sans solde ; (ii) s’ils ne sont pas engagés par l’organisme pour lequel ils travaillaient immédiatement avant leur départ en congé et (iii) si leur emploi ne donne pas lieu à un conflit d’intérêts.
• La durée de contrat est de deux (02) ans renouvelables selon la performance de l’employé jugé satisfaisante par son employeur avec une durée maximum ne pouvant dépasser la durée d’exécution du projet qui est de cinq (05) ans
• La prestation de l’employé est évaluée à la fin de chaque année ;
• La période d’essai est de trois (03) mois
Sommet Climate Chance – Afrique 2019 à Accra au Ghana : Intensifier l’action locale pour le climat en Afrique
Le prochain et deuxième Sommet sera à Accra au Ghana du 16 au 18 octobre 2019
Ce Sommet vise à avancer sur le travail concret des coalitions créées en 2018 et faire émerger les projets concrets de ces coalitions, telles la création d’une alliance d’acteurs africains de l’aménagement urbain durable, la structuration d’un réseau d’entreprises africaines et d’investisseurs dans le secteur de l’énergie, ou l’élaboration d’une feuille de route opérationnelle sur la mobilité et les transports à l’échelle de la Côte d’Ivoire selon le Communiqué de presse qui nous est parvenu à la rédaction
Il sera un Sommet. oû les acteurs non-étatiques seront au coeur de la réponse au changement climatique
Le Sommet Climate Chance – Afrique 2019 durant trois jours, rassemblera 2000 acteurs non-étatiques luttant contre le changement climatique sur le continent africain : gouvernements locaux, entreprises, syndicats, ONG environnementales, agriculteurs, organisations de femmes et de la jeunesse, chercheurs, institutions internationales et se réuniront tous pour faire progresser l’action climatique sur le continent africain.
Ce sommet est organisé à l’initiative de l’association Climate Chance. Convaincue que seule une synergie d’actions coordonnées dans chacun des grands secteurs émetteurs de gaz à effet de serre (agriculture, énergie, mobilité etc.) permettra d’enrayer l’emballement climatique.
Climate Chance est la seule association internationale s’étant fixé comme mission de réunir à égalité l’ensemble des acteurs non-étatiques intervenant dans la lutte contre le changement climatique. (En savoir plus sur l’association et ses membres) ; elle soutient le rôle central des territoires dans l’action climatique et le lien indissociable entre l’agenda du climat et les objectifs de développement durable.
C’est pourquoi elle. a décidé d’agir prioritairement en Afrique, continent le plus vulnérable au changement climatique, où l’immense défi du développement et de la réduction de la pauvreté implique un développement compatible avec la réalité du changement climatique.
Les sommets Climate Chance – Afrique ont un dénominateur commun dont l’objectif de diffuser et de renforcer l’action de lutte contre le changement climatique en Afrique.
Ils constituent aussi des points d’étape de l’avancement des feuilles de route des coalitions.
Rapellons que le 1er sommet Climate Chance – Afrique 2018 a abouti à la création de huit coalitions spécifiques au continent africain (financement ; aménagement urbain durable ; agriculture durable, alimentation et reforestation ; énergie ; adaptation et eau ; bâtiment et construction durables ; éducation et formation ; mobilité et transports), qui se sont chacune doté de feuilles de route.
L’association garantit le travail continu de ces coalitions lors d’évènements internationaux auxquels participent les acteurs concernés, par la mise à disposition de plateformes d’échanges en ligne sur lesquelles les acteurs partagent des bonnes pratiques, appels à projets, opportunités de financements, etc. L’Association Climate Chance souhaite ainsi mobiliser la communauté d’acteurs agissant pour le climat en Afrique, renforcer les synergies entre ces acteurs, et propulser leurs actions, paroles et priorités sur le devant de la scène climat internationale.
Le sommet Climate Chance – Afrique est également une opportunité pour faire grandir les coalitions en agrégeant de nouveaux acteurs dans la dynamique de travail en commun.
Un appel à contributions a été diffusé très largement début 2019 visant à faire connaître des projets et initiatives d’action climat du continent africain
. Les 376 projets reçus seront publiés sur la cartographie de l’action en ligne sur le site de Climate Chance, leurs représentants vont intégrer les coalitions thématiques et 70 projets sélectionnés parmi ces 376 seront présentés pendant le sommet (programme d’énergies renouvelables par Oxfam Sierra Leone, réemploi de bagasses de cannes à sucre et cosses de noix de coco par Ecovon etc.), bénéficiant ainsi d’une grande visibilité auprès des acteurs et des médias.
Pour ce présent Sommet il sera ponctué par des séances plénières où débattront ensemble représentants d’institutions, acteurs du terrain, et personnalités de haut rang (Son excellence Nana Akufo-Addo, président de la République du Ghana ; Jean-Pierre Elong Mbassi, Secrétaire Général de Cités et Gouvernement Locaux Unis d’Afrique (CGLU Afrique) ; Ronan Dantec, sénateur français, président fondateur de Climate Chance, Soham El Wardini, Maire de Dakar (Sénégal) ; Luc Gnacadja, ancien ministre de l’environnement du Bénin et ancien Secrétaire exécutif de la Convention de l’ONU sur la lutte contre la désertification, Tomas Chruszczow, champion de haut niveau pour le climat auprès de la Convention de l’ONU sur les changements climatiques, etc.), exposant chacun leurs problématiques et propositions.
Des événements. parallèles visant à diffuser l’information, renforcer les capacités des acteurs, mettre en réseau : formation de journalistes africains sur le climat par Climate Tracker, forum des entreprises, seront consacrés au premier jour ainsi que le Programme mondial pour l’évaluation des ressources en eau de l’UNESCO,, la présentation du projet “Adapt’action” de la Banque africaine de développement, er la Clôture de la phase 2 du programme de la Convention des Maires en Afrique sub saharienne (CoM SSA) en présence de 40 maires de toute l’Afrique, COP in Africa simulation de négociation climat pour sensibiliser et mobiliser la jeunesse, etc.
1e Édition Journées EcoCitoyennes du Bénin: Défi Nexus Climat Alimentation Habitat et Énergie
Les Journées Ecocitoyennes du Benin est une initiative qui consiste à soutenir les démarches de
développement durable au sein des collectivités locales, des villes à travers des échanges
participatifs avec toutes les parties prenantes (politiques, spécialistes, universitaires et citoyens).
Les objectifs du forum sont :
• Rassembler les synergies entre les différents acteurs qui œuvrent pour la sécurité
alimentaire et la lutte contre les changements climatiques.
• Échanger les savoirs et les savoir-faire locaux sur la question du changement climatique,
des énergies renouvelables et de la sécurité alimentaire ;
• Proposer des actions à soutenir en faveur de la protection de l’environnement ;
• Professionnaliser les éducateurs à l’environnement ;
• Promouvoir les acteurs de l’environnement en leur offrant une plate-forme d’expression ;
• Susciter des actions communales en vue d’une ville écologique locale et utile ;
• Transmettre des recommandations aux décideurs politiques à travers une déclaration.
Voici le discours épatant du Président Suisse Ueli Maurer au Sommet des Nations Unies sur l’Action pour le Climat
À cet égard, il y a deux défis auxquels nous devons faire face : Le premier concerne les mesures que nous pouvons prendre pour ralentir le réchauffement climatique. C’est un problème en suspens. La Suisse veut atteindre le zéro émission nette de CO2 d’ici à 2050. Nous nous engageons concrètement pour y parvenir – même si le travail qui nous attend est difficile.
Pour trouver des réponses et des solutions, nous devons investir davantage et de manière plus ciblée dans la recherche et le développement. Nous avons besoin d’innovations, de nouvelles technologies ainsi que de systèmes et de processus respectueux du climat. Le défi est de taille. Les hautes écoles ont besoin d’un cadre propice et de ressources pour tester de nouvelles approches. La mise en œuvre nécessitera de débloquer des milliards pour investir dans les nouvelles technologies.
Nutrition : Fer de lance d’une santé de fer et de la protection des ressources naturelles
Par Megan Valère SOSSOU
Le Bénin à l’instar des autres pays du monde subit les affres de l’éffondrement de l’équilibre écosystémique. Ainsi, pour pallier au problème, chacun y va de son pouvoir et de son domaine. C’est conscient de ce que notre alimentation participe plus ou moins à l’amenuisement des ressources naturelles qu’on est tenté de savoir en quoi le choix d’une bonne nutrition peut aider à atténuer l’effet ressentir sur le bon fonctionnement de nos ressources naturelles.
Qu’est ce que le régime végétarien ?
De ce fait nous mettons la loupe sur le régime végétarien. Ce dernier, plus respectueux de l’environnement est équilibré et parfaitement adapté à tout âge de la vie, sous réserve de composer son assiette de façon raisonnée en apportant des protéines à chaque repas constitué uniquement des produits d’origine végétale comme les légumineuses.
Le régime végétarien est donc un régime qui exclut les protéines d’origine animale de l’alimentation pour des raisons éthiques, environnementales ou encore de santé.S’il est bien pratiqué, le régime végétarien est riche en fibres apportées notamment par les légumes et les céréales complètes, il permet ainsi de lutter contre la constipation, le diabète et les troubles du transit a déclaré M. Adidekon Gaspard végétarien pur dans la commune de Savalou.
Régime végétarien pour une santé de fer
Il permettrait aussi selon l’Infirmière d’Etat Mme Nonfon Amélie de réduire le risque de cancer de la prostate et du côlon, grâce à une abondance de fruits et de légumes, à un apport faible en matières grasses et à l’absence de viandes fumées, carbonisées, ou contenant des nitrites.
Elle renchérit en justifiant qu’une alimentation composée de céréales complètes, de noix, de légumineuses, de fruits et de légumes assure des apports satisfaisants en protéines, hydrates de carbone, vitamines (en particulier A, C et E), oligo-éléments (dont le calcium, le phosphore et le magnésium) et en fibres, tout en limitant la consommation de produits riches en cholestérol et en graisses saturées.
A en croit Mme Nonfon l’absence de viande éliminerait presque totalement les risques de contracter des infections reliées aux bactéries ou aux virus. Ce qui vient renforcer la thèse selon laquelle la Prévention des pathologies cardiovasculaires passe par le choix d’une bonne nutrition en nous maintenant à un poids santé normale.Elle soutient, je cite <<le végétarisme ne comporte pas de risque de carence en fer>>. En revanche, si ces aliments sont oubliés dans les menus, cela peut mener à une situation d’anémie conduisant à une supplémentation médicamenteuse a t-elle laissé entendre.
Les avantages de ce mode de nutrition ne sont plus à douter car tout le monde avait cru parfois à tort que les végétariens manquent de protéines.
Fer de lance de la protection de l’environnement et des ressources naturelles
Le régime végétarien réduit le gaspillage des ressources naturelles par l’industrie agro-alimentaire. L’élevage et l’abattage des animaux puis le traitement et le conditionnement de la viande non seulement mobilisent de très importantes superficies de terrain, mais consomment énormément d’eau et d’énergie. Adopter un régime végétarien est une contribution personnelle à la préservation de notre écosystème actuellement fragile.
De plus, si les pays qui sont de grands consommateurs de viande diminuaient leur demande, ils libéreraient ainsi des terres de pâturage, qui pourraient à nouveau servir à une regérescence.
Si vous souhaitez adopter un mode de vie respectueux de l’environnement, du bien être animal et de votre propre santé optez pour le régime végétarien. Terminons notre article sur cette affirmation de Albert Einstein qui disait « Rien ne pourra être plus bénéfique à la santé humaine ni accroître les chances de survie de la vie sur terre, qu’une évolution vers un régime végétarien ».