Publié le: 8 décembre 2019 Par: Journal Santé Environnement Commentaire: 0
Comment se promener dans les bois, la brousse, les forêts, les savanes etc.. sans se faire tirer dessus? 
La question qui taraude l’esprit des béninois à l’annonce de ce drame à Pèrèrè au nord Bénin où un petit garçon a été abattu par un chasseur ce dimanche. Le chasseur dit l’avoir confondu à une pintade. Le garçon est mort sur le coup. Le tireur est mis aux arrêts. La chasse au Bénin reste l’activité qui menace plus la sécurité publique. N’y a t il pas des dispositions qui reglementent l’activité? La détention d’arme ne préoccupe par nos gouvernants? A t on une statistique des nombreux animaux qui disparaissent suite à la chasse? Combien de gens sont morts en sourdine dans cette activité criminelle.
Des interrogations pourtant pertinentes qui ne trouveront pas de réponses favorables.
La biodiversité béninoise disparait ainsi silencieusement.
Il nous faut, si l’activité doit exister, réglémenter le port d’arme de chasse. Revoir la liste des animaux supposés être chassés. Nous avons le droit de circuler dans l’espace vert, dans la végétation qu’on s’efforce de protéger.
Vivement que cette affaire ne passe pas sous silence. EcoCitoyens TV invite les citoyens béninois surtout les pratiquants de la chasse à plus de vigilance et de prendre conscience de l’atteinte de l’activité de chasse sur l’équilibre écosystémique. Toutes nos condoléances à la famille brusquement éplorée.
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