Une délégation gouvernementale au CNHU-HKM pour sauver des malades

Une délégation gouvernementale conduite par le ministre de la Santé est descendue au CNHU-HKM ce jeudi 31 décembre 2020 pour sauver des malades en situation de non paiement.

La matinée de ce jeudi 31 décembre 2020 des ministres Benjamin HOUNKPATIN de la santé, Véronique TOGNIFODE MEWANOU des affaires sociales et Romuald WADAGNI de l’économie et des finances au Centre National Hospitalier Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou aux fins de régler la situation des patients gardés pour non paiement de leurs soins.

Source site gouvernemental




Bénin/Urgent: Un cas de méningite détecté à N’Dali

Un cas de méningite détecté à Bori dans la commune de N’Dali.
Selon les informations reçues de nos confrères de Deeman Radio, un des parents a confié que l’enfant âgé de 13 ans s’est évanoui dans la nuit du 25 Décembre 2020.

Transporté d’urgence au centre de santé de Bori, les traitements n’ont pas permis de rétablir l’enfant. Devenu faible, il fût transféré à l’hôpital de Guéré dans la commune de Bembèrèké le lundi 28 Décembre 2020. C’est dans la matinée de ce mardi 29 Décembre que les analyses ont révélé que l’enfant souffre d’une méningite.

Qu’est ce que la méningite ?
Rappelons que la méningite à méningocoque est une infection des méninges, due à un virus ou une bactérie très dangereuse. Cette infection est transmissible, elle peut laisser de graves séquelles ou encore, être fatale en moins d’un jour. Cette maladie évolue très vite, même avec un traitement approprié, au moins 10 % des patients décèdent généralement dans les 24 à 48 heures qui suivent l’apparition des premiers symptômes de la maladie et jusqu’à 20 % des survivants gardent des séquelles permanentes importantes comme la surdité, l’épilepsie, la paralysie cérébrale ou le retard mental.

L’apparition de nécroses tissulaires irréversibles peut également entraîner l’amputation d’un ou de plusieurs membres. Les personnes les plus touchées par cette maladie sont les enfants âgés de moins de 5ans ainsi que les jeunes adultes âgés de moins de 25 ans.
Comment on attrape une méningite ?
Mode de transmission : La méningite se transmet par des gouttelettes de sécrétion en suspension dans l’air lorsqu’une personne infectée éternue, tousse ou postillonne. Elle se transmet aussi par contact direct ou indirect avec la salive d’une personne infectée (mains, jouets et ustensiles de cuisine contaminés, etc.).
Comment guérir de la méningite ?
Traiter une méningite d’origine virale. Repos, beaucoup de liquide et bonne nutrition, de même que les mesures habituelles pour soulager la fièvre. Attention. En cas de fièvre chez l’enfant, éviter de donner de l’aspirine. Privilégier l’acétaminophène pour faire baisser la fièvre.      




Conservation de la biodiversité : 31 espèces ont officiellement disparu en 2020 selon l’UICN

L’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) vient de dévoiler sa liste rouge des espèces menacées. Parmi les 128.918 espèces évaluées, 31 ont officiellement disparu cette année, reclassées dans la catégorie « Éteint » ou « Éteint à l’état sauvage ».

Une espèce d’animaux s’abreuve

La liste rouge de l’UICN recense les espèces menacées à travers le monde. Chaque année, une mise à jour fait état du niveau de conservation des différentes espèces en fonction des nouvelles connaissances. En 2020, 31 d’entre elles ont rejoint la catégorie « Éteint », ce qui signifie qu’elles ont disparu à létat sauvage. « Un véritable crève-cur, alors que beaucoup viennent tout juste d’être découvertes », se désole Andrew Terry, Directeur de la conservation et des politiques de ZSL (Zoological Society of London).
Au nombre de ses espèces niveau des amphibiens, les grenouilles d’Amérique centrale : Atelopus chiriquiensis, Atelopus senex, Craugastor myllomyllon.
Les poissons, Schizothorax altans (poisson d’eau douce de la famille des Cyprinidés, Asie centrale). Barbodes amarus, Barbodes baoulan, Barbodes clemensi, Barbodes disa, Barbodes flavifuscus, Barbodes herrei, Barbodes katolo, Barbodes lanaoensis, Barbodes manalak, Barbodes pachycheilus, Barbodes palaemophagus, Barbodes palata, Barbodes resimus, Barbodes tras, Barbodes truncatulus (poissons d’eau douce endémiques du Lac Lanao (Philippines).
Ces extinctions ont été causées par des espèces prédatrices introduites, et aggravées par la surexploitation et des méthodes de pêche destructrices.
Mammifères, Nyctophilus howensis (chauve-souris à longues oreilles de Lord Howe, Australie).
Plantes, Persoonia laxa et Persoonia prostrata (plantes à fleur de la famille des Protéacées, Australie). Leucadendron grandiflorum et Leucadendron spirale (plantes à fleur de la famille des Protéacées, Afrique du Sud). Ochrosia, kilaueaensis (plante à fleur de la famille des Apocynacées, Hawaï).
Arbres : Banara wilsonii, Euchorium cubense, Faramea chiapensis, Hesperelaea palmeri, Monteverdia lineata, Roystonea stellata.
Et neuf chênes asiatiques entrent directement dans la Liste rouge de lUICN dans la catégorie « En danger critique » (probablement éteint ou probablement éteint à létat sauvage).

Les dauphins d’eau douce du monde sont aujourdhui menacés
L’UICN a revu sa classification pour de nombreuses autres espèces. Avec le passage du tuxuci ou sotalie de l’Amazone (Sotalia fluviatilis) dans la catégorie « En danger », toutes les espèces de dauphins deau douce du monde sont aujourd’hui considérées comme menacées, alerte l’institution. Trois espèces de Macadamia (les mêmes espèces qui produisent les noix de macadamia cultivées), sont désormais menacées d’extinction à l’état sauvage. Un tiers des chênes (31 %, soit 113 espèces sur 430) sont aussi menacés dextinction.
Les chiffres mondiaux pour la liste rouge des espèces menacées de lUICN en 2020
Total despèces évaluées : 128.918
Total despèces menacées dextinction : 35.765
Éteint ou Éteint à létat sauvage : 982
En danger critique dextinction : 7.762
En danger : 13.285
Vulnérable : 14.718
Quasi menacé : 7 644
Préoccupation mineure : 66.469
Données insuffisantes : 17.878




Journée Mondiale de Lutte contre le VIH/SIDA: MADO SANTÉ PLUS partage solidarité et responsabilité

Célébrée le 1er Décembre de chaque année, la Journée Mondiale de Lutte contre le Sida est un moment unique en soutien aux personnes infectées et affectées par le VIH SIDA. Un virus qui a longtemps engendré des pertes en vies humaines, impacté la vie socio-économique et violé les droits de la personne humaine.

Aujourdhui, de nombreux efforts sont faits à jours aussi bien du côté de la société civile que des politiques gouvernementales pour contrer le virus.
MADO SANTÉ PLUS, à l’instar des autres pays du monde est très préoccupé par les ravages effectués par la pandémie de la COVID-19 et la maladie du VIH SIDA, et de ce que cela signifie pour les Jeunes vivant avec le VIH tout comme pour les populations vulnérables.
Pendant cette célébration dont le thème retenu cette année est « Solidarité et responsabilité partagée », MADO SANTE PLUS, membre de la Plateforme CoRC BENIN a organisé le Samedi 19 Décembre 2020 à Cotonou, une Cérémonie de Distinction des Talents Jeunes des Communautés Vulnérables au VIH. Au cours de l’événement, une minute de silence a été observé en la mémoire de la marraine de La Nuit du Réveillon Mémé Emma MARCOLINO. Ensuite, les acteurs de MADO SANTE PLUS ont saisit l’occasion pour sensibiliser sur le VIH SIDA. Plusieurs organisations de Jeunes engagés ainsi que des acteurs de Lutte étaient représentés.
Le jury composé de :




Opération Chirurgicale : Le plateau technique du CNHU Hubert Koutoukou Maga sera renforcé

En son conseil des Ministres du 23 décembre 2020, le gouvernement béninois a décidé de l’acquisition et l’installation d’équipements et de matériels de chirurgie cardiaque au profit du Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou (CNHU-HKM).

La plupart de nos concitoyens souffrant de maladies cardiovasculaires n’arrivent pas à bénéficier de soins appropriés lorsque leur cas nécessite des interventions chirurgicales à cur ouvert, en raison des coûts prohibitifs à l’étranger.
Aussi, le Gouvernement a-t-il sollicité des chirurgiens réputés en la matière qui pourront faire des interventions sur place au CNHU-HKM.
Pour ce faire, il est indispensable de renforcer le plateau technique existant par des équipements et matériels dédiés à la prise en charge chirurgicale de ces pathologies.
C’est pourquoi, le Conseil s’est prononcé en faveur de la contractualisation avec une structure spécialisée en vue de la fourniture desdits équipements et matériels. Un acte qui sans doute renforcera le plateau technique de ce haut lieu hospitalier.




Drépanocytose : De graves anomalies relevées au Centre de Prise en charge Médicale Intégrée du Nourrisson et de la Femme Enceinte atteints de Drépanocytose (CPMI-NFED)

Le conseil des Ministres en sa séance du 23 Décembre 2020 est passé à l’approbation du rapport d’audit comptable et financier du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de drépanocytose (CPMI-NFED).

Plusieurs anomalies relatives au fonctionnement du centre, mais aussi et surtout à sa gestion aux plans budgétaire, comptable et financier.
Les irrégularités relevées sont entre autres l’inexistence de budget pour les années 2011, 2012 et 2015 ; la non-budgétisation de toutes les ressources, entraînant le défaut de traçabilité de certaines recettes ; le non-respect du principe de séparation des fonctions d’ordonnateur et de comptable ; l’exécution de dépenses non prévues au budget ; le non-respect des seuils de passation des marchés publics et des clauses contractuelles lors du paiement des prestataires. Il a été relevé aussi l’attribution et la gestion peu transparentes du marché de construction du bâtiment annexe du Centre dont les travaux dun montant de 199.975.791 FCFA TTC, prévus pour prendre fin en décembre 2016 sont encore en cours ; le paiement irrégulier de divers primes et frais de déplacement au directeur ainsi qu’à ses collaborateurs.
Il en découle d’importants préjudices aussi bien pour le budget national que pour le Centre dont les performances ont été compromises.
Les insuffisances ainsi relevées ont été portées à la connaissance du directeur du CPMI-NFED, le sieur Deen Chérif RAHIMY afin de recueillir ses observations et fournir des éléments de justifications à l’appui de sa version des faits. Mais, en lieu et place d’informations documentées, celui-ci sest contenté de contester la plupart des observations relevées par la commission sans y apporter la moindre preuve.
Le Conseil a pris acte du rapport et a instruit les Ministres concernés d’appliquer sans complaisance les sanctions quencourent les auteurs de ces malversations.




Pollution sonore au Bénin: Un mal environnemental et sanitaire qui tue

Conscient de ce que les fêtes de fin d’année ne doivent en aucun cas rimer avec la perturbation de la quiétude des populations, les autorités à divers niveau redoublent d’ardeur il y a un an déjà. Mais, le mal persiste. Le procureur de la république près le Tribunal de première instance de Cotonou, Mario Mètonou met en garde.

Toutes sortes de sonorisation

En période de fin d’année, ils sont nombreux, ces établissements à faire de plus en plus recours au 4e art, la musique, pour des fins publicitaires. La vente promotionnelle, les veillées à n’en point finir des lieux de cultes, les scieries non stop, les bars et restaurants sonores, les entreprises, et particuliers ont généralement tendance à générer plus de bruit que d’ordinaire pendant les fêtes de fin d’année. Le procureur de la république près le Tribunal de première instance de Cotonou, Mario Mètonou a donné des instructions fermes aux forces de l’ordre en vue de mettre fin à la pollution sonore liée à l’ambiance des fêtes de fin d’année. C’était lors d’une rencontre tenue récemment avec les officiers de polices judiciaires. Mais, acoustiquement, les bruits ont repris depuis peu dans toutes les grandes villes du Bénin. De Cotonou à Djougou en passant par Porto-Novo, Bohicon, Parakou, le bruit dicte sa loi.
Pourtant, l’article 27 de la constitution du 11 décembre 1990 garantit que : « toute personne a droit à un environnement sain satisfaisant et durable, et a le devoir de le défendre. L’Etat veille à la protection de l’environnement ». Mieux, cette disposition constitutionnelle a été renforcé par la loi cadre sur l’environnement et le décret NO2001-294 du 8 août 2001 portant réglementation du bruit en République du Bénin  qui met en garde : « l’usage de tout appareil de communication par voie acoustique (sirène, haut-parleurs, avertisseur sonore) nuisible à la quiétude des population ainsi que l’installation de toutes source sonore au abords des écoles, des formations sanitaires et des services administratifs sont formellement interdit ». La loi cadre sur l’environnement a également fixé des décibels et des heures indiquées en matière de bruits et autres nuisances sonores. Toutes ces dispositions n’effrayent donc pas les auteurs de la pollution sonore.
Et malheureusement, les populations auront droit à d’habituel désordre sonore sous le regard autrefois impuissant mais bientôt éveillé des forces de l’ordre. Toutefois, faut-il le rappeler, l’Etat assure la protection de l’environnement a garantit la constitution béninoise.




Pollution sonore au Bénin : Un mal environnemental et sanitaire qui tue

Conscient de ce que les fêtes de fin d’année ne doivent en aucun cas rimer avec la perturbation de la quiétude des populations, les autorités à divers niveau redoublent d’ardeur il y a un an déjà. Mais, le mal persiste. Le procureur de la république près le Tribunal de première instance de Cotonou, Mario Mètonou redouble d’ardeur et met en garde.



En période de fin d’année, ils sont nombreux, ces établissements à faire de plus en plus recours au 4e art, la musique, pour des fins publicitaires. La vente promotionnelle, les veillées à n’en point finir des lieux de cultes, les scieries non stop, les bars et restaurants sonores, les entreprises, et particuliers ont généralement tendance à générer plus de bruit que d’ordinaire pendant les fêtes de fin d’année. Le procureur de la république près le Tribunal de première instance de Cotonou, Mario Mètonou a donné des instructions fermes aux forces de l’ordre en vue de mettre fin à la pollution sonore liée à l’ambiance des fêtes de fin d’année. C’était lors d’une rencontre tenue récemment avec les officiers de polices judiciaires. Mais, acoustiquement, les bruits ont repris depuis peu dans toutes les grandes villes du Bénin. De Cotonou à Djougou en passant par Porto-Novo, Bohicon, Parakou, le bruit dicte sa loi.

Encore des dispositions non respectées

Pourtant, l’article 27 de la constitution du 11 décembre 1990 garantit que : « toute personne a droit à un environnement sain satisfaisant et durable, et a le devoir de le défendre. L’Etat veille à la protection de l’environnement ». Mieux, cette disposition constitutionnelle a été renforcé par la loi cadre sur l’environnement  et le décret NO2001-294 du 8 août 2001 portant réglementation du bruit en République du Bénin  qui mettent en garde.

La loi cadre sur l’environnement a également fixé des décibels et des heures indiquées en matière de bruits et autres nuisances sonores. Toutes ces dispositions n’effrayent donc pas les auteurs de la pollution sonore. 

Et malheureusement, les populations auront droit à d’habituel désordre sonore sous le regard autrefois impuissant mais bientôt éveillé des forces de l’ordre. Toutefois, faut-il le rappeler, l’Etat assure la protection de l’environnement a garantit la constitution béninoise.

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Gestion des résidus de Soja : une alternative pour la fertilisation des sols

Face à la problématique d’appauvrissement des sols agricoles, la culture et la bonne gestion des résidus issus de la récolte des légumineuses herbacées se trouvent être une des solutions. Pendant que les producteurs du soja ont longtemps sous estimés les résidus après récolte du soja, des expérimentations ont prouvés que la valorisation de ces derniers améliore la qualité du sol agricole.

L’une des principales contraintes de l’agriculture en région ouest africaine, est la baisse constante du niveau de la fertilité des sols avec pour conséquence la baisse continue des rendements des cultures dont celles céréalières. Au Bénin, la production, la transformation et la commercialisation du Soja intéresse de plus en plus les petits producteurs en raison de sa forte rentabilité.

C’est environ des milliers de tonnes de soja qui sont mis les marchés locaux et internationaux. Le soja constitue donc une opportunité certaine pour le développement de l’agro-industrie au Bénin. Cela implique une relation d’affaire durable entre les différents acteurs de la filière soja, avec pour finalité l’amélioration des conditions de vie des petits producteurs et de leurs familles. Mais en réalité. En ce début de période de la récolte du soja dans les différentes contrées du Bénin, il est important d’attirer l’attention des producteurs sur la gestion des résidus issus de la récolte du soja. Car, ils sont nombreux, ces producteurs à délaisser ces résidus hors les champs de culture du soja ou souvent les brûlent. 

Au vu de toutes ces contraintes, il importe de trouver une alternative de relèvement et de maintien de la fertilité des sols afin d’améliorer le rendement des cultures. C’est ainsi que pour améliorer la fertilité des sols pauvres un essai.

Les résultats ont indiqués, une amélioration du rendement du maïs au niveau où les résidus du soja sont enfouis dans le sol agricole. En moyenne, l’enfouissement des résidus de soja a accru le rendement du maïs-grain de 67% par rapport à une parcelle sans précédent de culture de soja et de 29 % par rapport à une parcelle où les résidus de soja ont été brûlés. Il est donc clair que brulé les résidus consiste à éliminer de plus les substances enrichissantes du sol. 

Alors que la culture du soja est une solution à l’appauvrissement de sol car cette légumineuse apporte des éléments nécessaire pour la fertilisation des sols.

Après les récoltes du soja plus de 70 % de la biomasse produite sont brûlés. 

Les légumineuses herbacées ont l’avantage d’améliorer la fertilité des sols et de réduire la pression des adventices.

L’utilisation des légumineuses à graines à forte production de biomasse sont envisagées comme une alternative.

Mais on note une faible restitution des résidus de soja au sol du fait de la pratique traditionnelle de récolte. La plupart du temps au moment de la récolte les résidus de soja sont soit brûlés ou dégagés hors de la parcelle.

Les résultats de cette expérimentation permettent d’affirmer que le soja est un bon précédent cultural au maïs. Aussi l’enfouissement des résidus mérite-t-il d’être conseillé aux agriculteurs du fait du rendement plus élevé généré par ce traitement. La culture du soja est alors une alternative pour les agriculteurs ayant quelques difficultés à intégrer les légumineuses herbacées dans leurs systèmes d’exploitation pour améliorer la qualité de leur sol. En outre, le soja en tant que légumineuse alimentaire très riche en protéines et en huile présente de multiples atouts. Il contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, génère des revenus, améliore la fertilité des sols.

A en croire les scientifiques, les résidus de culture du soja sont riches en protéines et enrichissent des matières organiques présentes dans le sol. Selon ces derniers, la conservation des racines, des feuilles et des tiges de soja sur le sol après les récoltes ajoute au sol 15 à 40 kg d’azote supplémentaires par hectare, ce qui permettra à la culture suivante d’en disposer. Cela est l’équivalent d’un demi-sac ou d’un sac et demi vide d’urée, et donnera un très bon coup de pouce à la culture suivante.

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Accès à l’eau potable : Le gouvernement sort Savalou de la précarité

Savalou est l’une des communes du département des collines au Bénin à s’être confrontée gravement aux problèmes de pénurie d’eau potable. Longtemps restée dans la soif, elle se voit approvisionner en matière d’eau potable à travers mis en place de dispositif de conduite et de traitement d’eau.

Des queues d’attente, des recours à des sources d’eau non salubre, des attroupements autour de petits points d’eau, des batailles rangées autour de l’eau, des conflits entre éleveurs et agriculteurs en quête de point d’eau, de nombreux forages secs et improductifs, ce sont là quelques caractéristiques encore visible de la problématique de l’eau dans la commune de Savalou dans la période d’octobre à Avril.

Mais, le jeudi 22 octobre 2020, le gouvernement du Bénin à travers son ministre de l’eau et des mines, Samou ADAMBI, mis en service des infrastructures d’eau potable réalisées dans le cadre de la mesure d’urgence pour le renforcement du système d’alimentation en eau potable de la ville de Savalou.

Une fourniture d’eau qui passe de 17 mètres cube par heure à 167 mètres cube par heure

Selon le Directeur Général de la Société Nationale des Eaux du Bénin, Camille Dansou, il s’agit d’une réalisation qui fait passer la capacité de fourniture d’eau potable de Savalou de 17 mètres cubes par heure à 167 mètres cubes par heure, soit plus de dix fois l’ancienne capacité pour un investissement de plus de deux milliards sept cent quarante millions de francs CFA.

Le maire de la commune, Dèlidji Houindo a déclaré pour sa part que les infrastructures ainsi inaugurées assurent la couverture de la ville de Savalou en eau potable, mettent fin au calvaire des populations et font des quartiers desservis, des zones périurbaines. Cest en réalité une bonne nouvelle pour des populations longtemps confrontée à de sévère pénurie deau. La maîtrise de l’eau pour renforcer les moyens de subsistance au Bénin.

Alors que la maîtrise de l’eau est un facteur très important dans l’adaptation des populations aux changements climatiques, ces dispositifs facilitant l’accès à l’eau renforceront à coups sûrs les moyens de subsistance des populations de la commune de Savalou.

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Journée Mondiale des Toilettes : Un assainissement durable lutte contre les changements climatiques

Le 19 Novembre, le monde entier célèbre la Journée mondiale des toilettes. Une occasion pour sensibiliser le public à la situation de 4,2 milliards de personnes qui vivent encore sans accès à des installations sanitaires gérées en toute sécurité.

Les excréments sont ensuite stockés dans un réservoir, qui peut être vidé ultérieurement par un service de collecte, ou transportés par des canalisations.

L’étape suivante est le traitement et l’élimination en toute sécurité. La réutilisation sans danger des déchets humains permet d’économiser de l’eau, de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’en capter pour produire de l’énergie. Elle peut fournir au secteur agricole une source fiable d’eau et de nutriments.

Des chiffres de l’ONU qui interpellent des actions fortes et concrètes

4,2 milliards de personnes vivent sans accès à des installations sanitaires, soit plus de la moitié de la population mondiale.

297 000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque année de diarrhée pour avoir bu de l’eau insalubre ou par manque de services d’assainissement ou d’hygiène des mains.

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L’ONG Save Our Planet participe à la mise en place du Consortium des OSC, Economie Sociale et Solidaire

 Sur invitation du LABIS de Porto Novo à l’instar de plusieurs autres organisations de la société civile oeuvrant dans le domaine de l’Economie Sociale et Solidaire, l’ONG Save Our Planet à participer à la mise en place officielle du Consortium ESS au Bénin, Consortium National des Acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire au Bénin.


Le LABIS, soutenu et accompagné par Solidarité Laïque Solidarité Laïque Afrique de l’Ouest au travers de son partenaire local le RADEB se donne comme objectifs de favoriser une synergie d’actions des acteurs; de fédérer les forces, énergies et ressources; de mutualiser les ressources; de constituer une grande force de plaidoyer pour la reconnaissance de l’ESS par le gouvernement et l’adoption des textes législatifs et réglementaires en la matière et enfin de créer un écosystème national favorable au développement des initiatives ESS en faveur des jeunes et femmes.

La rencontre qui a démarrée à I0 heures ce jeudi 26 Novembre 2020 a été arquée par la présence du président du RADEB, du Directeur Général de l’ANPE Ouémé, du représentant du Président du Conseil Économique et Social du Bénin. 

L’ONG Save Our Planet représenté par son membre actif à Porto-Novo, Mr Aimé SODJINOU est un acteur  qui oeuvre au centre Bénin pour l’éclosion du concept d’Economie Sociale et Solidaire.

Rappelons que l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) est déclarée comme une grande priorité continentale pour promouvoir des alternatives socio-économiques et de nouveaux modèles de développement répondant aux besoins fondamentaux des populations. Cependant, compte tenu du faible taux de l’ESS au Bénin par rapport à certains pays d’Afrique comme le Togo, le Mali, le Sénégal, le Cameroun, etc, plusieurs acteurs de l’ESS au Bénin ont décidé d’agir et de s’organiser en Consortium ESS pour mener des actions de plaidoyers en vue de la reconnaissance officielle de l’Economie Sociale et Solidaire et l’adoption de textes législatifs en sa faveur.

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Nature Tropicale au 1er Congrès régional sur les tortues marines en Afrique de l’ouest

Le premier congrès des tortues marines se tient du 9-13 Nov 2020 à Lome au Togo. Une rencontre à laquelle participe activement la réputée organisation dans le domaine, Nature Tropicale du Bénin.

Face aux menaces grandissantes qui pèsent sur les tortues marines, les acteurs de la société civile africaine s’organisent en réseaux pour renforcer la protection de ces espèces emblématiques et menacées de disparition. Les cinq espèces de tortues marines présentes en Afrique Centrale et de l’Ouest sont classées de « vulnérable » à « en danger critique d’extinction » sur la liste rouge de l’UICN. 

Soutenus par le Programme de Petites Initiatives (PPI) géré par le Comité français de l’UICN et UICN-PACO, les deux réseaux frères de la sauvegarde des tortues marines, RASTOMA1 et WASTCON2, organisent du 9 au 13 novembre 2020, à Lomé au Togo, leur premier congrès régional sur les tortues marines en Afrique de l’Ouest et du Centre. C’est une étape clé pour la construction d’une stratégie régionale de conservation des tortues marines efficace en Afrique atlantique, portée par la société civile avec l’appui des institutions régionales.

Le congrès régional RASTOMA / WASTCON réuni plus de 50 acteurs engagés dans la préservation des tortues marines et des habitats côtiers Atlantique en Afrique de l’Ouest et du Centre. L’objectif est de renforcer la dynamique de collaboration et les échanges entre les sociétés civiles travaillant sur les tortues marines en Afrique centrale et de l’ouest. 

*Le Bénin est représenté par Nature Tropicale ONG, ACTION Plus et ECOBENIN* actives sur la problématique de la sauvegarde des tortues marines sur le littoral du Bénin.

Nature Tropicale ONG

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Togo/Lomé : Voici une offre inédite de formation certifiée en animation et facilitation des projets communautaires

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 *☎️Info:* +229 90396291/63664080

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Non respect des mesures liées au Covid-19 : PAX EXPRESS met en danger la vie de ses passagers

 


Alors que les pouvoirs publics de plusieurs villes béninoise ont mis en place les mesures préventives pour circonscrire la propagation du coronavirus dans les transports à savoir distanciation et port de masque, l’utilisation de gel hydro alcool, force est de constater que l’on en est bien loin du satisfecit escompté.

Dans les transports en commun, notamment les bus de transport en commun, on semble être hors du temps et de l’espace au regard de citoyens pas concernés outre mesure, malgré les dispositions préventives prises par les autorités gouvernementales pour faire face au danger de propagation du Coronavirus (Covid19).

Aux heures de pointe, le transport en commun plonge dans un paradoxe qui lui est propre. Lundi 09 Novembre 2020, il sonnait 12h 55, nous (Megan Valère SOSSOU) venons à peine de prendre notre ticket à la compagnie de transport en commun Pax Express après une longue et houleuse discussion par rapport au respect de la distanciation. On (agent Pax Express) me rassurait de ce qu’il n’y aura pas d’encombrements, ni de surcharges. En effet, pas de deux personnes côte à côte. Ce qui signifie en français facile qu’il aura une personne pour deux places. 

Pax Express fait fit des mesures barrières au Covid-19

Après un semblant de démarrage à 13h 00 minute, place à l’encombrement et à la surcharge. Un vil individu, qu’il soit le conducteur du bus ou le tickettier principal, nous n’en savons rien. Il nous obligeait à accepter deux personnes à côté de nous. Toutes tentatives de notre part pour comprendre la situation ont été vaines. Après qu’il ait proféré des menaces contre nous alors quon résistait à sa demande, il nous a fait brutalement rembourser notre ticket. Ce que nous avons accepté pour enfin rejoindre un nouveau bus. Il s’agit de la compagnie de transport Afrique Transport Voyage où les mesures barrière au coronavirus étaient strictement appliquées.

Comme Pax Express, ils sont nombreux ces bus de transport à tenir tête à l’Etat dans sa volonté de lutter contre le Covid-19.

Avec ce non-respect des mesures de prévention contre le coronavirus dans les transports en commun que des milliers de citoyens utilisent chaque jour dans les villes, se pose la question de l’effectivité du reste des mesures arrêtées par les autorités dont l’harmonisation des prix. Car, en plus de la surcharge, le comble est quaucun dispositif de lavage des mains, ni de l’application du gel hydro alcool ne sont effectif ni à l’embarquement au grand parc auto de Parakou encore moins à la destination (Bohicon ou Cotonou).

Un transport en commun encombrant et dégoûtant

Il est donc clair que les transports en commun sont malades de l’encombrement et du non-respect de la distanciation sous prétexte de la baisse de leurs revenus. Pourtant, au nombre des mesures pour atténuer les effets néfastes du Covid 19 sur le transport, le gouvernement à faire sortie une bagatelle de fonds qu’ils ont allègrement reçu.

A l’heure où le nombre d’infections dues au coronavirus a repris à une vitesse exponentielle en Europe, l’Afrique qui nest pas loin dune seconde vague doit sy préparer. A moins que les autorités béninoises ont déjà fléchit devant la maitrise de la situation liée au coronavirus, cette malheureuse expérience mais très courante dans les transports en commun en République du Bénin peut continuer. D’ailleurs, je n’en suis pas sûr et en appelle à la réaction des autorités en charge de la sécurité publique. 

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Concours du meilleur billet, Blog4Dev 2021 : testez vos talents de bloggeur en 650 mots !

L’hiver dernier, la planète entière se figeait en découvrant l’existence du coronavirus (COVID-19) et sa vitesse de propagation. Pour tenter d’y remédier, le monde s’est confiné, les écoles ont fermé, les chaînes de production ont cessé de fonctionner, la vie sociale s’est interrompue, les gens se sont cloîtrés chez eux. Tout a changé.

Aujourd’hui, l’ampleur de la pandémie et ses effets dévastateurs sur les êtres humains et les économies sont colossaux. Le 8 octobre 2020, l’Organisation mondiale de la santé recensait 36 millions de personnes infectées dans le monde, dont 1,2 million en Afrique.

« La pandémie de COVID-19 est une crise à nulle autre pareille. Son bilan est lourd et les populations des pays les plus pauvres en souffriront sans doute le plus profondément et le plus longtemps. Elle a coûté des vies et bouleversé les moyens d’existence dans toutes les régions du globe », constatait David Malpass, le président du Groupe de la Banque mondiale, dans son discours d’introduction aux Assemblées annuelles qui se tiendront virtuellement cette année, du fait de la pandémie. « Elle a plongé plus d’économies dans des récessions simultanées que n’importe quelle autre crise depuis 1870. Et elle pourrait entraîner les premières manifestations d’une décennie perdue marquée par une croissance atone, l’effondrement de nombreux systèmes sanitaires et éducatifs, et le surendettement.»

Si les chiffres montrent que l’Afrique semble être relativement épargnée par rapport à d’autres régions du monde, l’impact socioéconomiques du virus n’en est pas moins sévère.  Selon notre dernier rapport Africa’s Pulse, sur les perspectives économiques de la région, la croissance en Afrique subsaharienne devrait chuter à -3,3 % en 2020, entraînant le continent dans sa première récession économique en 25 ans. La pandémie risque aussi de faire basculer 40 millions d’Africains dans l’extrême pauvreté, effaçant au moins cinq années de progrès dans la lutte contre la pauvreté.

Par ailleurs, « la COVID-19 ne sera pas la dernière situation d’urgence sanitaire que connaîtra le monde et il est urgent de se préparer durablement pour faire face à la prochaine »,  a averti l’OMS. Il est donc important que les pays africains parviennent non seulement à faire face à la crise sanitaire actuelle, mais se préparent aussi à la suivante. Beaucoup de pays ont déjà mis en place des mesures pour sauver des vies, protéger les moyens de subsistance et bâtir un avenir plus solide.

Afin d’apporter une solution collective à un défi collectif, nous souhaiterions également recueillir l’avis de la jeunesse africaine sur la riposte COVID-19. Répondez en 650 mots maximum à la question suivante, en fonction du contexte de votre pays :

Comment les jeunes peuvent-ils s’associer à leur gouvernement et aux organisations de la société civile pour faire face à l’impact de la COVID-19 et construire un système social et économique plus solide après la pandémie ?

Lancé en 2014 par l’antenne de la Banque mondiale au Kenya, le concours #Blog4Dev invite chaque année les jeunes à s’exprimer sur un enjeu crucial pour le développement économique de leur pays. Cette initiative permet d’impliquer la jeunesse africaine dans le développement du continent et fournit aux jeunes une plateforme pour partager leurs points de vue et leurs solutions sur des sujets qui leur tiennent à cœur. Le concours a pris une dimension régionale en 2018, depuis lors, les jeunes des 48 pays d’Afrique subsaharienne peuvent y participer. Les billets des lauréats des différentes éditions de Blog4Dev alimentent le contenu et la communauté de bloggeurs de notre plateforme Youth Transforming Africa. Appuyée par la Banque mondiale, l’initiative Youth Transfoming Africa visant à accroître la participation des jeunes Africains aux réflexions et discussions sur le développement de leur continent.

DÉTAILS

DATE-LIMITE DE DÉPÔT DES BILLETS: 30 novembre 2020

CONDITIONS D’ADMISSION: Être ressortissant d’un pays d’Afrique subsaharienne, y résider actuellement et avoir entre 18 et 28 ans au 30 novembre 2020.

SUJET: Comment les jeunes peuvent-ils s’associer au gouvernement et aux organisations de la société civile pour faire face à l’impact de la Covid-19 et construire un système social et économique plus solide après la pandémie ?

Cliquez ici 👇pour en savoir plus

https://www.banquemondiale.org/fr/events/2020/10/16/blog4dev-2021

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Café Climat : Pari gagné pour l’ONG Save Our Planet

Les jeunes de la commune de Parakou sont désormais engagés pour être des sentinelles écologiques. C’est à travers une formation au web activisme environnemental suivi dun débat ouvert, inclusif, participatif et décisif organisé par l’ONG Save Our Planet en collaboration avec GAEDD ONG, EVDD ONG et la plateforme Talk AG.

Impliquer la jeunesse béninoise à la protection de l’environnement, précisément dans la lutte contre le réchauffement climatique. Tel est l’objectif de la rencontre de ce jour 07 Novembre 2020 dénommée Café Chaud & Climat Chaud. L’évènement a reçu une visite surprise du leader, Directeur Exécutif DevEnergy et Fondateur des Africa EcoCitizens Days. Pour M. Wakil Oloulade l’initiative est salvatrice et mérite l’accompagnement de DevEnergy.

Au nombre d’une trentaine, les participants venus des différentes contrées de Parakou, ont eu droit à une riche formation sur le web activisme environnemental. L’occasion a été pour le Formateur Megan Valère SOSSOU, Activiste Blogueur Ecolo d’outiller les jeunes pour la défense de l’environnement vaille que vaille. Selon lui, défendre l’environnement n’a jamais été aussi risqué qu’à l’ère du numérique. 

Il urge que les jeunes s’érigent en sentinelle de la nature sur le terrain et sur le net a-t-il souligné. Il faut noter qu’à l’issue de sa présentation, le thème Parakou à l’épreuve du réchauffement climatique, a été mis au centre des discussions. Dans une ambiance de convivialité, les participants ont déploré des problèmes qui continuent de maintenir la commune de Parakou dans une situation de crise environnementale et climatique. Les uns et les autres n’ont pas manqué de faire des propositions pour améliorer la situation. Lesquelles propositions seront adressées à l’autorité communale.

Rappelons que l’évènement est à sa première édition et sera répliqué dans plusieurs autres communes chefs de département sur toute létendue du territoire national. Bertin DEGNON, est lun des jeunes participants au Café Climat édition Parakou 2020, il avoue être mieux outillé pour dénoncer et apporter des changements dans sa communauté. Comme lui, ils sont beaucoup à décider transformer leurs communautés avec les acquis de linitiative Café Chaud & Climat Chaud.

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L’ONG Save Our Planet organise un Café Climat à Parakou

Face à la récurrence des impacts du réchauffement climatique sur les communautés locales, les jeunes se trouvent être l’ultime repère pour un solide plaidoyer, une grande mobilisation et de véritables propositions en vue de redorer le blazon.


ar Constance AGOSSA

Ainsi, l’ONG Save Our Planet organise une #Open_Dialogue dénommée Café Chaud & Climat Chaud  en partenariat avec GAEDD ONG, TALK AG et EVDD, le Samedi 07 Novembre 2020 à Parakou. Il s’agit d’un débat ouvert, inclusif, participatif et décisif impliquant une cinquantaine de jeunes sur la situation climatique au niveau local. 

L’évènement qui est à sa première édition sera l’occasion pour les jeunes participants de recevoir une formation au Web activiste environnemental animé par le Président de l’ONG Save Our Planet, Megan Valère SOSSOU en ses qualités de Journaliste, Analyste environnemental et d’Activiste Blogueur. S’en suivra une communication animé par Dr ALOMASSO, Chef Antenne Nord de l’Agence Nationale de Protection Civile sous le thème Parakou à l’épreuve du réchauffement climatique, bouclée d’un débat en plénière. A l’issue de cette activité qui va durer 5h de temps, soit de 8h à 13h, des recommandations seront transmises à travers une feuille de route adressée aux autorités locales. L’ONG Save Our Planet est détentrice de la marque de ce projet. Pour son Président, il s’agit de la nouvelle solution  pour une participation active des jeunes à la lutte contre le réchauffement climatque au plan local.

Tous à Parakou pour le rendu du projet Café Chaud & Climat Chaud qui sera désormais cyclique dans les chefs lieux des departements du Bénin a t-il annoncé.

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Finance Climat : Voici le bilan 2020 (Climate Chance)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

LE 28 OCTOBRE 2020 : PUBLICATION DU BILAN MONDIAL DE LA FINANCE CLIMAT 2020 

Réalisé en partenariat avec Finance for Tomorrow, comme ses deux éditions précédentes, ce bilan constitue une analyse et un suivi de l’action climat des banques, des assureurs et des investisseurs. Il présente aussi les dynamiques du marché avec l’évolution et l’offre des produits financiers verts.
 

Climate Chance publie cette 3e édition du Bilan mondial de la finance climat à l’occasion de la semaine Paris for Tomorrow, organisée du 23 au 30 octobre par Finance for Tomorrowautour du Climate Finance Day. Un événement international qui réunit la communauté financière, les autorités locales et publiques et la société civile pour mettre en lumière les questions et solutions liées au financement et à la réalisation des objectifs climatiques et des objectifs de développement durable (ODD).
 
L’édition 2020 rend compte de la prise de conscience croissante par les acteurs financiers de leur rôle majeur dans la transition bas-carbone de l’économie réelle, mais également dans les facteurs qui sous-tendent sa réussite : la protection de la biodiversité et l’impact social des investissements et des produits financiers.
 LES GRANDES TENDANCES DECRYPTEES DANS NOTRE BILAN MONDIAL DE LA FINANCE CLIMAT EN 2020

  • La progression de l’intégration du changement climatique dans les décisions des acteurs financiers
  • L’accélération du mouvement par la réglementation et la supervision financière
  • L’intégration progressive des enjeux de biodiversité
  • Les effets de la pandémie de Covid-19
  • Les tendances récentes de la finance verte
Ronan Dantec
Président de Climate Chance

 

“ À quelques jours du 5anniversaire de l’Accord de Paris, cette troisième édition du bilan réalisé par Climate Chance et Finance for Tomorrow, rend compte de la prise de conscience croissante par les acteurs financiers de leur rôle majeur dans la transition bas-carbone de l’économie réelle, mais également dans les facteurs qui sous-tendent sa réussite : la protection de la biodiversité et l’impact social des investissements et des produits financiers. Il analyse de manière plus précise chaque année la nécessité de cohérence de l’action de la finance au regard des enjeux climatiques et environnementaux. ”
Thierry Déau
Président de Finance For Tomorrow

 
“ Je suis heureux que, pour la troisième année consécutive, Finance for Tomorrow contribue à l’édition annuelle du bilan de l’action climatique du secteur financier publié par Climate Chance. Nos axes prioritaires coïncident avec les nouvelles frontières identifiées par ce bilan : financement de la biodiversité, dimension sociale, fintech verte ou encore alignement sur les objectifs de l’Accord de Paris. Il comprend des informations chiffrées et détaillées et nous fournit également des pistes pour nourrir notre travail collectif, au niveau français et international. ”
Liens vers les documents, disponibles en français et en anglais : Bilan mondial finance climat 2020 – Résumé aux décideurs.

Le Bilan mondial de la finance climat s’inscrit dans un ensemble de publications de notre Observatoire de l’action climat non-étatique créé en 2018 et rassemblant à ce jour 4 Bilans mondiaux annuels : finance, sectoriel, territoires, adaptation ainsi que de nombreux cas d’étude. Climate Chance poursuit ainsi sa mission de montrer l’évolution des mobilisations, de crédibiliser les stratégies des acteurs par rapport aux objectifs climatiques internationaux, et d’observer ainsi la réalité des actions annoncées.

CONTACT PRESSE

CLIMATE CHANCE – Virginie Foucault-Rougé, responsable communication ǀvirginie.foucault-rouge@climate-chance.org ǀ +33 6 11 96 25 10 – Amaury Parelle, coordinateur de l’Observatoire ǀamaury.parelle@climate-chance.org ǀ +33 6 51 46 48 14
FINANCE FOR TOMORROW – Pauline Leménicier, chargée de mission communication & événementiel ǀ
p.lemenicier@financefortomorrow.com
ǀ +33 1 70 98 06 46

 
PRESENTATION DES ORGANISATIONS 
 

CLIMATE CHANCE – Crée en 2015, Climate Chance est la seule association internationale, participant à la mobilisation dans la lutte contre le changement climatique, se proposant de réunir à égalité l’ensemble des acteurs non-étatiques reconnus par la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques – CCNUCC. Son objectif ? Renforcer l’action climat des collectivités locales, des entreprises et de la société civile par la mise en réseau des acteurs, faire émerger des priorités et des propositions communes, et ainsi, contribuer à l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris.
www.climate-chance.org

FINANCE FOR TOMORROW – Finance for Tomorrow est la branche de Paris EUROPLACE lancée en juin 2017 pour faire de la finance verte et durable un élément moteur du développement de la Place de Paris et la positionner en centre financier de référence sur ces enjeux. Elle réunit plus de 80 membres signataires d’une charte commune visant à réorienter les flux financiers vers une économie bas-carbone et inclusive, en cohérence avec l’Accord de Paris et les Objectifs de Développement de Durable (ODD) de l’ONU.
www.financefortomorrow.com

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Présence sur internet et Réchauffement Climatique : les activistes climat veulent une chose et son contraire

  

Le Covid-19 est une maladie infectieuse provoquée par le coronavirus le plus récemment découvert, le SRAS-CoV-2. Apparue à Wuhan (Chine) en décembre 2019, la maladie s’est rapidement propagée à travers le monde, perturbant profondément plusieurs grands évènements en faveur du climat, la biodiversité, l’eau etc.… Du coup, les institutions ou organisations internationales et nationales se sont simplement repliés sur internet, comme alternative. Notre consommation quotidienne et croissante des outils numériques est plus énergivore qu’il n’y paraît.

Télétravail, visioconférence, du direct, du streaming, vente en ligne, appels vidéos, ce sont là des expressions utilisés par les activistes pour commettre le péché climatique favorisé par la crise pandémique liée au coronavirus, Covid-19. Plusieurs plateformes numériques sont mises à contribution dont les plus courants sont : Zoom, Skype, Youtube. En effet, cette présence active sur internet génère de mégas donnés. Ces derniers stockés dans des centres de données consomment assez d’énergie.

L’internet réchauffe le climat

L’internet est alimenté par une gigantesque énergie. Nul doute que le secteur énergétique soit le principal émetteur de dioxyde de carbone, gaz au centre du réchauffement climatique selon les scientifiques du GIEC. Dès lors, le repli sur internet a coûté et continue de couter cher au climat mondial. Il engendre par contre une pollution astronomique d’autant plus inquiétante qu’elle est invisible. Pendant qu’il est une source importante de consommation énergétique et donc d’émissions de gaz à effet de serre, des actions sur internet tendant à lutter contre le phénomène ne sont qu’utopique.

En voici quelques chiffres qui soutiennent les affirmations : Quatre (04) grammes de CO2 émis pour chaque mail envoyé. Sept (07) tonnes de CO2 par jour pour les recherches sur Google. L’envoi d’un simple e-mail avec une pièce jointe, c’est l’équivalent d’une ampoule de 25W basse consommation allumée pendant une heure alors que sans pièce jointe, c’est cinq fois moins. Chaque minute, c’est des dizaines de millier de vidéos qui sont ajoutées sur Youtube. Les chiffres sont tout autant alarmant pour Google, le leader des moteurs de recherche : c’est 3,3 milliards de recherche par jour.

Des empreintes écologiques sur internet, c’est possible

C’est enfin claire que le numérique pollue, mais il existe des habitudes simples à adopter pour faire baisser sa consommation énergétique. Ainsi, comme l’on doit bien trier ses déchets, il existe également des habitudes simples à adopter pour gérer sa consommation d’énergie liée à l’informatique. 

En voici quelques-uns, pour bien gérer ses mails, sa navigation, son stockage et enfin sa présence sur internet.

Pour commencer, un geste tout simple : alléger ses mails en enlevant les images et en privilégiant le format texte simple. Eviter aussi d’envoyer ou transférer des pièces jointes inutiles. Ensuite, il faut éviter de passer systématiquement par un moteur de recherche pour se rendre sur un site internet si vous en connaissez l’adresse. Enregistrez-y tous les sites que vous consultez régulièrement, puis accédez-y directement. Il existe aussi des moteurs de recherche éco responsables qui compense le CO2 dépensé par les recherches, comme Ecosia, ou Lilo. Enfin, de manière générale, il vaut mieux choisir le téléchargement plutôt que le streaming, qui est énergivore plus que la télévision.

En claire, tout ce que l’on fait sur internet a un impact énergétique, auquel le climat paye lourdement le prix. Cependant, il est important d’en avoir conscience.

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Baromètre Citoyen du Covid-19 : L’ONG Save Our Planet y prend part


L’ONG Save Our Planet, représenté par son Chargé de Projet Education, BONON Boris, a participé le 25 Septembre 2020 au Codiam (Cotonou) à un atelier de co-création, le premier d’une série de six (06) ateliers sur les données ouvertes dans le cadre de l’initiative citoyenne dénommée « BAROMETRE CITOYEN DU COVID19 ».
Ce projet de la plateforme citoyenne Voix et Actions Citoyennes, vise à mettre les organisations de jeunes au cœur d’une démarche participative d’ouverture des données et de contribuer à l’émergence des perceptions citoyennes sur la Covid-19 et son impact.


Cet atelier a permis aux participants d’appréhender les bases du projet et la necéssité de s’échanger les données dans un contexte de crise liée au Covid I9 par les jeunes citoyens. Il a été une occasion de donner et de reçevoir riche en partage d’expérience. Les dés étant jetés, cap est désormais mis sur le prochain atelier.


Rappelons que, cet atelier fait suite à l’appel à participation lancé par Voix et Actions Citoyennes, aux organisations et associations de jeunesse légalement constituées et intervenant au Bénin. L’idée est de travailler en  synergie et de faciliter le partage d’expériences autour des données ouvertes avec les organisations de jeunesse volontaires dans une démarche de co-création et de validation du protocole de baromètre participatif.
Ce projet de six (06) mois, répartit en six (06) ateliers dont le premier s’est ouvert ce matin a reçu le financement de l’AFD dans le cadre du projet PAGOF mis en œuvre par CFI et Expertise France d’un montant global de 5000€.
#Citoyenneté
#DonnéesOuvertes
#Bénin
#Covid I9
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Climat & Vie : Que retenir des 35 ans de protection de la couche d’Ozone au Bénin ?

Au Bénin, l’abandon progressif des substances chimiques qui appauvrissent la couche d’ozone a non seulement contribué à protéger la couche d’ozone pour les générations actuelles et futures mais a aussi renforcé la communauté internationale dans sa lutte contre les changements climatiques. Pendant que la communauté internationale célèbre 35 ans de protection de la couche d’ozone, Que peut on retenir ?
Par Megan Valère SOSSOU
En cette année marquée par la pandémie de la Covid-19, avec ses difficultés sociales et économiques, le monde entier célèbre une fois encore de la Journée internationale de la protection de la couche d’ozone, qui a lieu le 16 septembre de chaque année, 35 ans d’action déjà pour la vie.
Le thème de cette édition 2020 est, « L’ozone pour la vie ». Il nous rappelle que non seulement la crucialité de l’ozone pour la vie, mais aussi les defis pour protéger la couche d’ozone pour les générations présentes et futures.

Protection de la couche d’ozone, le Bénin s’en sort avec un bilan positif
Le Bénin en ratifiant les deux conventions et protocole mis en place par la communauté internationale s’est engagé à réduire les substances chimiques préjudiciables à l’environnement. 
Yvette Gauthé BOKO est le Point Focal National Ozone au Bénin, « le bilan est positif, le Bénin a essayé de respecter les engagements pris en éliminant toutes les substances à risque pour la couche d’ozone, à savoir Fréon 11 et Fréon 12 ». Le protocole a fixé un calendrier d’élimination progressive de la production et de la consommation des substances concernées, selon le Point Focal National Ozone au Bénin, « le Bénin est à plus de 40 pour cent d’élimination des gaz HydroFluoroCarbures, Fréon, R-22 ». Rassurant que, le Bénin a accompagné la communauté internationale dans le cadre du nouvel amendement au protocole de Montréal, celui de Kigali relatif à la réduction de la consommation des substances comme l’hydrofluorocarbure.
Convaincu de ce que la protection de l’environnement est une affaire de tous. Yvette BOKO, souligne que la principale barrière qui existe encore à la protection de la couche d’ozone reste la commercialisation des flutes frigorigènes qui sont des réfrigérants de mauvaise qualité.
Commercialisation des réfrigérants de mauvaise qualité, un problème persistant à la protection de la couche d’ozone
Dans presque toutes les villes du Bénin, de Malanville à Cotonou en passant par Parakou, Natitingou, Bohicon et Porto-Novo, le constat est le même. Des réfrigérants de mauvaise qualité circulent. Sieur N. Calixte est frigoriste à Zakpo dans la commune de Bohicon, il témoigne être conscient du danger lié non seulement à la manipulation des différents gaz mais également de la commercialisation des flutes frigorigènes car poursuit-il, « Il peut y avoir des échappements de gaz ou des incendies dangereux à l’homme et à son environnement ».
Pour le Point Focal National Ozone, il est important qu’ils aient l’agrément recommandé et délivré par le Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable pour commercialiser des réfrigérants de bonne qualité. Mais, ce que dénoncent les consommateurs est le faible pouvoir d’achat pour s’octroyer de vrais réfrigérants écolos. Dame M. Folakè est usagère de bombes aérosol insecticides, elle dispose de trois climatiseurs pour sa maison et d’un congélateur. Elle déplore les avoir payé selon ses capacités financières et dans un pays où les lois ne sont pas souvent appliquées martèle t elle. « Pourquoi l’Etat ne subventionne pas les réfrigérants pour achat s’est elle interrogée ».
Yvette Gauthé BOKO, Point Focal National Ozone a appelé au sens de responsabilité des frigoristes, des commerçants et des consommateurs précisant que force doit resté à la loi, aux arrêtés interministériels et aux décrets qui réglemente le secteur.
Protection de la couche d’ozone, une vie pour deux objectifs
Abordant les perspectives de cet engagement, Madame Yvette Gauthé BOKO a identifié la mise en œuvre de l’amendement de Kigali adopté le 15 Octobre 2016 et entré en vigueur le 1er janvier 2019 que le Bénin a ratifié le 19 Mars 2018 relatif à la réduction des substances Hydrofluorocarbures véritable gaz à effet de serre.
Selon elle, l’atteinte des deux objectifs suivants : renforcer la protection de la couche d’ozone et la lutte contre le changement climatique. A l’en croire, cela signifierait une synergie d’action avec la douane béninoise et une forte implication des consommateurs optant pour des équipements à potentiels de réchauffement global nul, avec une efficacité énergétique élevé et durable.

Pourquoi la protection de la couche d’ozone est-elle une nécessité ?
La couche d’ozone agit comme une barrière protectrice qui retient la plupart des rayons ultra-violets émis par le soleil. Cette protection nous est donc absolument indispensable pour pouvoir supporter le rayonnement solaire. Lorsque la couche d’ozone s’appauvrit, les conséquences sur la santé de l’homme sont bien réelles et se remarquent par l’affaiblissement du système immunitaire, de graves dommages aux yeux, l’accélération du vieillissement de la peau et l’augmentation des cancers de la peau.
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Gestion des déchets Biomédicaux en République du Bénin : Mise en garde du Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable

Le mode de gestion des déchets biomédicaux des formations sanitaires en République du Bénin est défaillant. C’est au vu du danger, qu’ils représentent tant pour le personnel sanitaire que pour les usagers des centres de santé publique que le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable met en garde.
Par Megan Valère SOSSOU

Le communiqué rappelle que les dispositions du décret NO 2002-484 du 15 Novembre 2002 portant gestion rationnelle des déchets biomédicaux en République du Bénin ont précisé clairement les modalités d’entreposage, de transport et de traitement des déchets biomédicaux.
En tout état de cause, la police environnementale et toutes les autres forces habilités, sont instruites pour veiller au respect strict de la règlementation et sanctionner les contrevenants a-t-il souligné dans le communiqué.
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Saison pluvieuse au Nord Bénin : L’Alibori et l’Ouémé menacés par la montée des eaux

Bien qu’il soit un atout pour la culture des sols, la saison pluvieuse dans le septentrion béninois telle annoncée ne sera pas sans conséquence sur certaines communes potentiellement agricoles des départements de l’Alibori et de l’ouémé.
Par Megan Valère SOSSOU

Evolution de la hauteur d’eau au fleuve Niger
Dans un communiqué de presse en date du lundi 17 Aout 2020, le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique se basant sur les analyses de l’Agence Nationale de la Protection Civile (ANPC) a alerté les populations et les autorités des communes de Malanville, Karimama et Bonou sur un éventuel risque lié à la montée des eaux dans les bassins du fleuve Niger et de l’Ouémé.
Selon l’autorité ministérielle, malgré les sensibilisations et les mesures préventive prises par l’Agence Nationale de Protection Civile (ANPC) et les autorités départementales et communales, certains citoyens continuent de faire preuve d’imprudence en adoptant des comportements à risque. Ainsi, pour éviter l’alourdissement des dégâts d’inondation et de noyades, le ministre a rappelé aux populations l’observance des consignes relatives au respect des mesures prises par les autorités politico-administratives. Elles doivent aussi éviter la surcharge des embarcations et respecter les textes en vigueur.
Pour rappel, des relevés effectués et rendus publics par le bulletin d’alerte inondation ont indiqués, mardi 18 Aout 2020 au fleuve Ouémé, 713cm à Zangnando, 591 cm à Bonou et 402 cm à Adjonou pendant que du coté du fleuve Niger, la hauteur d’eau relevée est de 798 cm à Malanville. Selon les prévisions du système d’alerte précoce, cette situation peut s’étendre sur d’autres communes telles que Adjohoun, Athiémé, Dangbo, Grand-Popo, Lokossa, Ouinhi, Zagnanado et Zogbodomey.
De l’alerte jaune à l’orange, ces communes peuvent passer au rouge. 
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Assainissement au Bénin : Le Gouvernement opte pour des villes du Grand Nokoué propres


Par Megan Valère SOSSOU
C’est par un communiqué en date du 28 août 2020 que la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité du Grand Nokoué en partenariat avec les communes et les autorités préfectorales à informer les populations de Cotonou et de Sèmè-Kpodji que les camions bennes à ordures ménagers seront dans certains quartiers.
Une annonce qui fait suite à la première phase des activités de collecte des déchets ménagers de la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué (SGDS-GN) qui a débuté depuis le 1er juillet 2020 et qui se consacre aux villes de Cotonou, Abomey-Calavi, Porto-Novo et Sèmè-kpodji.

Responsabilité des citoyens résidants dans les villes du Grand Nokoué
Invitant les populations aux pratiques et comportements éco-citoyens à savoir : l’utilisation et l’entretien d’une poubelle adéquate, le recyclage des objets réutilisables, la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué précise dans son communiqué que les camions bennes à ordures vont passer en moyenne 3 fois par semaine dans chaque quartier pour la collecte des déchets solides ménagers.
Responsabilité de la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué
Pour Rappel, la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué a pour rôle, la pré-collecte et la collecte des déchets, l’aménagement et l’exploitation des lieux d’enfouissement sanitaire des localités de Ouèssè et de Takon, la salubrité dans toutes ses composantes. Elle s’occupe également du suivi, du contrôle informatisé de l’ensemble des prestations à réaliser de même que la mise en place d’un support informatique de cartographie et de gestion dynamique de toutes les données spatiales et géographiques. La réorganisation du cadre institutionnel de la filière, l’instauration d’un mécanisme de participation des acteurs, l’information, l’éducation ainsi que la sensibilisation de la population à travers un plan d’information, font aussi partie de ses missions.
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