Lutte contre la Covid-I9 au Bénin : l’USAID dote le ministère de la santé de matériels sanitaires

Un seul individu ne peut à lui seul arrêter une pandémie. Nous devons agir ensemble ! Alors que la COVID-19 continue de se propager au Bénin, nous restons partenaires du gouvernement béninois et des communautés locales pour lutter contre cette maladie.

Par l’intermédiair de l’USAID, nous avons présenté une sélection de matériels sanitaires au Ministre de la Santé et aux responsables des départements de l’Atlantique, des Collines et du Mono dans le but de renforcer la riposte à la COVID-19 au niveau communautaire et dans les écoles primaires et secondaires. Cet équipement comprend des dispositifs de lavage des mains, des masques, du savon, des mégaphones et des haut-parleurs pour soutenir les agents de santé béninois qui continuent de sensibiliser les populations et suivre et traiter la maladie.

Comme l’Ambassadeur des Etats-Unis Patricia Mahoney a dit lors de la cérémonie de la remise: « Mettre fin à la pandémie dépend de notre volonté de travailler ensemble, d’adopter de saines habitudes et de nous soutenir mutuellement en tant que familles, communautés et partenaires. Continuons donc à travailler ensemble pour arrêter cette pandémie et construire un avenir meilleur et plus sain pour tous ».

Ensemble nous vaincrons la COVID-19 ! Pour découvrir comment nous contribuons à la lutte contre le coronavirus au Bénin: http://ow.ly/g4iZ50DIRuy

#USAIDBenin #COVID19




CNHU-HKM | CAMPAGNE DE LA CHIRURGIE GRATUITE DE LA CATARACTE

La Direction Générale du CNHU-HKM informe les populations que le Ministère de la Santé en collaboration avec la FONDATION CLAUDINE TALON ORGANISE UNE CAMPAGNE D’OPERATIONS GRATUITES DE CHIRURGIE DE LA CATARACTE QUI SE DEROULERA DU 22 FEVRIER AU 6 MARS 2021 AU CNHU-HKM.

Ladite mission de chirurgie gratuite sera exécutée par des Médecins Partenaires Indiens avec l’appui des équipes médicales de chirurgiens béninois.

A cet effet, le Professeur Sidonie TCHABI HOUNNOU, Chef-Service d’Ophtalmologie, invite les personnes souffrant de troubles de la vision qui pourraient être en rapport avec une cataracte, à se rendre au CNHU-HKM dès le lundi 22 Février 2021 à partir de 08 heures précises à la Clinique Universitaire d’Ophtalmologie du CNHU-HKM.

Les activités se dérouleront en 5 phases :
– Dépistage des cas de cataractes
– Test Covid-19
– Bilan biologique
– Chirurgie de la cataracte
– Suivi post-opératoire

NB : LA PRISE EN CHARGE EST TOTALEMENT GRATUITE.
_Le respect des mesures barrières de *port de masque chirurgical contre la pandémie à la Covid-19 est de rigueur_.

Thierry Laurent GLITHO
_Chef Cellule COMS/ CNHU-HKM_




Journée mondiale de la contraception: la planification familiale comme meilleur moyen

La cérémonie officielle du lancement de la 3ème édition de la semaine nationale de la planification familiale au Bénin s’est déroulée à Lokossa ce 23 Février 2021.

En effet, Il n’est un secret pour personne que la situation sanitaire de la femme, du nouveau-né, de l’enfant, de l’adolescent et du jeune dans notre pays n’est pas reluisante.

Suivez notre reportage en cliquant sur le lien YouTube puis abonnez-vous gratuitement à notre site sirene communication

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https://youtu.be/79DNGHd3sFE

La SIRENE TV: 97 72 87 69 / 94 97 21 69 La vérité des faits est notre différence




Bénin : Pollution derrière Africa Land, à qui la faute ?

Au niveau du marécage de Fifadji, juste derrière Africa Land, on peut constater plusieurs sortes de déchets plastiques jetés çà et là.

Des sachets de pure water, au gobelet jetable, rien y manque, un triste constat qui nous amène à fouiller un peu plus pour avoir plus d’informations sur ce problème environnemental . Selon une personne ressource, ces déchets sont le fruit des personnes qui viennent se distraire à l’espace Africa Land, notamment les joueurs de football. Ces derniers trouvant même du plaisir à uriner au bord du marécage allègrement. Africa Land n’a-t-il pas de toilette? Ou des poubelles? Selon toujours notre interlocuteur, Africa Land déverserait même ses ordures au bord du marécage, scandale ou pas ?

Anas Seko




Campagne de dépistage du cancer de sein et de col de l’utérus

Les centres de santé de Gomè-Doko et d’Agondozoun dans l’arrondissement de Gomè-Sota, commune d’Akpro-Missérété ont accueilli ce samedi 20 février 2021, l’équipe de la campagne de salubrité et de dépistage du cancer de sein et de col de l’utérus dans tous les centres de santé de la commune initiée par Professeur Christophe Gandonou, premier adjoint au maire d’Akpro-Missérété , en collaboration avec l’association des étudiants de la commune d’Akpro-Missérété (AECAM).

Ce, après les centres de Missérété centre dans l’arrondissement d’Akpro-Missérété centre, de Zoungbomè et Kanoukpadé dans l’arrondissement de Zoungbomè et de Katagon dans l’arrondissement de Katagon. A l’instar de ces différents sites, l’opération a été d’un grand succès dans l’arrondissement de Gomè-Sota. Houes, machettes et balais ont rivalisé d’ardeur pour rendre propres aussi bien la cour interne que celle externe de chacun des deux centres de santé dont dispose cet arrondissement. Pour ce qui concerne le dépistage du cancer de sein et du col de l’utérus, les femmes ont aussi effectué un grand déplacement pour se faire dépister par des sages-femmes assermentées . Précisons que la prise en charge des cas diagnostiqués sera gratuite. Les samedis 27 février et 6 mars prochains, l’équipe sera respectivement au centre de santé d’Atinsa et de Danto dans l’arrondissement de Vakon. La journée du samedi 13 mars sera consacrée au rattrapage pour le dépistage du cancer de sein et du col de l’utérus.
Laurent HOUNDENOU




Liste des pharmacies de garde au Bénin

Découvrez votre pharmacie de garde de cette semaine lundi 22 Février au dimanche 28 Février 202I.




une campagne d’opération gratuites de chirurgie de la cataracte au Bénin

En collaboration avec des médecins internationaux et le Ministère de la Santé, la Fondation Claudine Talon organise une campagne d’opération gratuites de chirurgie de la cataracte.

Les opérations se dérouleront :
* au CNHU de Cotonou du 22 février au 6 mars 2021 ;
* et au CHD Parakou du I0 au 26 mars 202I.

Toute personne souffrant de troubles de la vision en particulier de la cataracte, est invitée à se rendre dans l’un de ces centres en vue de sa prise en charge gratuite.




Exploitation illégale des carrières de ressources minérales au Bénin : de nouvelles mesures annoncées

Malgré les déguerpissements et les fermetures périodiques des carrières illégales, on note toujours la prolifération de celles-ci et la recolonisation des sites antérieurement fermés.

Ceci entraîne des dégâts environnementaux, l’insécurité des ouvriers dans les carrières, le pillage des ressources minérales, la perte des ressources financières au profit du budget de l’État et des communes, …etc.

Après la décision de fermeture des carrières à la suite du Conseil des ministres du 28 juin 2018, le Conseil des ministres du 09 décembre 2020 a approuvé des mesures de fermeture des carrières illégales de ressources minérales. Mais il a été constaté une mauvaise interprétation de cette décision par les différents conseils communaux et les élus locaux. Ainsi, le Gouvernement du Bénin a mandaté les ministres Samou Seidou ADAMBI de l’Eau et des mines et Alassane SEIDOU de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale pour échanger avec les collectivités territoriales de toutes les communes du Bénin, des nouvelles dispositions qui vont régir désormais le secteur de l’ouverture et de l’exploitation des carrières de ressources minérales.

*Retrouvez le compte rendu intégral et les photos sur ce lien =>* https://www.gouv.bj/actualite/1179/




Bénin: les interventions cardiovasculaire bientôt assurées

Réuni en conseil des ministres, le gouvernement a décidé de mettre en place un pôle d’excellence de prise en charge des personnes souffrant de maladies cardiovasculaires en collaboration avec un partenaire au Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM).

Envrion 500 patients en traitement à l’unité de cardiologie du CNHU-HKM sont dans l’attente d’être évacués, selon l’état des lieux. ‹‹ Pour réduire le coût des soins à leur profit, le gouvernement a fait l’option des évacuations internes, avec l’appui d’une expertise extérieure dotée d’équipements spécifiques. Celle-ci intervient sous forme de mission pour la prise en charge, sur place au Bénin, des patients ››, a indiqué le conseil des ministres.
M. M.




Regain des décès liés à la Covid-19 au Bénin: vers un durcissement des mesures

Le Bénin compte à la date du 14 février 2021 83 nouveaux cas confirmés pour un total de 5039 cas et 62 décès.

Ce qui confirme donc 6 nouveaux décès au Bénin depuis le 9 février 2021, date du dernier point de presse du ministre de la santé tirant sur la sonnette d’alarme face à la recrudescence du nombre de cas confirmés.

Chers citoyens, merci de respecter scrupuleusement les gestes barrières (port de masque obligatoire en tous lieux, usage du gel hydroalcoolique de désinfection, respect de la distanciation sociale..)

🔴 Appelez le numéro vert 136 au moindre symptôme pour vous faire dépister.

*Site Web officiel* :
https://www.gouv.bj/coronavirus/




Perturbateurs Endocriniens : Megan Valère SOSSOU en a parlé sur la radio nationale en 2018

En fouillant dans mes archives ces derniers temps, je suis tombé sur ce fichier audio datant de trois(03) ans de mon intervention dans le dossier Santé Environnement de la radio nationale ORTB. Nous étions en 2018, quand mon activisme a rencontré celui du Doyen Didier Hubert Madafimè🙏, alors Chef Desk Environnement à la Radio nationale ORTB.
Du coup, on s’est convenu d’éclairer l’opinion publique sur l’utilisation abusive des engrais chimiques et l’effet des perturbateurs endocriniens.
Et voici des années après le résultat dans cet élément audio .mp3 présenté par Cécile GOUDOU KPANGON
Écouter l’intervention de Megan Valère SOSSOU sur les Perturbateurs endocriniens à l’ORTB sur #SoundCloud
Cliquez ici👇pour écouter
https://soundcloud.com/megan-valere-sossou/intervention-de-megan-valere-1?ref=clipboard&p=a&c=1
*Megan Valère SOSSOU*




Bénin : le gouvernement maintien le cap d’une culture cotonnière agro écologique

Génératrice de revenus et d’emplois pour de nombreuses familles au Bénin, la culture du coton n’en est pas moins menacée par plusieurs facteurs dont l’épuisement des sols, lui-même engendré par l’utilisation abusive des engrais chimiques. C’est dans le but de résoudre cette problématique que le gouvernement s’est lancé dans la production agro écologique du coton et a d’ailleurs approuvé une communication en la matière mercredi dernier.

Le conseil des ministres, en sa séance du mercredi 27 Janvier 2021 a approuvé une communication au profit du projet d’appui à la Transition Agro écologique dans les Zones cotonnières du Bénin (TAZCO2). Ledit projet selon le porte parole du gouvernement, vise l’amélioration durable des revenus des exploitations et des rendements des cultures de la rotation cotonnière, par la restauration et la fertilisation des sols, grâce à l’adoption de pratiques agro écologiques et à une mécanisation adaptée.
Avec le projet TAZCO 2 qui couvrira 22 communes, le gouvernement du Bénin ambitionne regrouper 180.000 producteurs qui réalisent 90% de la production nationale de coton, de même qu’une part importante de cultures vivrières. Une transition qui accompagne l’ambition du Bénin de rester leader dans la production du coton en Afrique de l’Ouest.
Rappelons que c’est depuis 2017, que le gouvernement du Bénin a mis en place ce projet pour améliorer les rendements agricoles, notamment cotonniers pour lutter contre la dégradation des sols. Ce projet de transition écologique, appuyé par l’AFD est mené en collaboration avec le CIRAD et le Centre de recherche coton fibre du Bénin. A travers ce projet, les producteurs sont formés à des pratiques agro écologiques innovantes, selon une méthodologie de transmission des savoirs basée sur la concertation collective, les jeux de rôle et la démonstration par les pairs.
Notons qu’en tant que production fart du Bénin, la filière coton contribue à plus de 15% du PIB. Alors que la compagne cotonnière 2020-2021 devrait permettre au Bénin de continuer à conserver sa place de premier producteur africain de coton graine, le Bénin a revu à la baisse ses ambitions à une production de 675 000 tonnes avait annoncé, le Ministre de l’Agriculture de l’Elevage et de la pêche au cours du lancement de la nouvelle campagne cotonnière en Novembre 2020.




Séchage des produits agricoles aux abords des voies : un gros risque d’intoxication alimentaire

Dans le département du Zou, il est courant de voir des produits agricoles destinés à l’alimentation étalés sur des espaces publics, les artères et trottoirs. Une triste observation qui expose la population à des risques d’intoxications alimentaires avec à la clé des maladies chroniques.

La saison sèche est le moment propice au séchage naturel de certains produits agricoles. Mais, il faudrait trouver l’endroit idéal. Alors qu’il existe quelques centaines de différentes sortes d’intoxications alimentaires, la plupart sont des infections provoquées par des bactéries, des virus et des parasites. Les raisons des cas de contamination se retrouvent pour la plupart dans cette mauvaise pratique de séchage des produits agricoles sur les artères et trottoirs. Selon les spécialistes en nutrition, les aliments peuvent être contaminés à tout moment de leur fabrication, transformation, distribution, conservation ou consommation.
Dans le département du Zou, il sera assez facile de contracter une intoxication alimentaire. Et pour cause, le séchage des produits alimentaires aux abords des voies devient récurrent. C’est en effet, une mauvaise habitude des populations rurales qui prend de l’ampleur dans le rang des producteurs, transformateurs et commerçants des produits vivriers. Une situation qui, sans doute porte des préjudices à la santé humaine.
Une exposition à risque qui n’indispose guère les riverains
Les abords et chaussées des axes routiers bitumées sont transformés en aires de séchage des produits alimentaires. Ces produits vivriers subissent sous le regard victime et impuissant des consommateurs, la pression de la poussière, du soleil, de l’eau, des excréments des hommes, des animaux et surtout des toxiques chimiques préexistants. La plupart des gens ont déjà eu une intoxication alimentaire ou connaissent quelqu’un qui a fait l’expérience.
Ainsi, pour prévenir les intoxications alimentaires, il importe d’observer des normes hygiéniques autour des denrées alimentaires au séchage, à la transformation et à la commercialisation des produits agricoles. Ces acteurs de la chaîne alimentaire doivent disposer des équipements et matériels adéquats pour exercer leurs activités car il suffit d’ingérer des aliments qui ont été contaminés par des germes pour tomber malade avertit les spécialistes.




Journée mondiale des zones humides : l’eau au cœur de l’édition 2021

Chaque année, la Journée mondiale des zones humides est célébrée le 2 février, pour commémorer non seulement la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, mais aussi pour sensibiliser le public a l’importance des zones humides pour l’homme et notre planète. Les acteurs béninois de la protection de l’environnement n’ont pas dérogé à cette tradition.

Le thème de la Journée mondiale des zones humides, édition 2021 est : « les zones humides et l’eau ». Ce thème met en lumière les zones humides en tant que source d’eau douce et encourage les actions visant à les restaurer et à enrayer leur perte.
Ainsi, la campagne 2021 met en évidence la contribution des zones humides à la quantité et à la qualité de l’eau douce sur notre planète. L’eau et les zones humides sont liées dans une coexistence inséparable qui est vitale pour la vie, le bien-être et la santé de la planète.
Cette nouvelle commémoration de la Journée Mondiale des Zones Humides, a été lancée dans la matinée du vendredi 29 Janvier 2021 dans le village de Goho, arrondissement de Aholouyemé, commune de Sèmé Podji. Un évènement qui a réunit les Organisations Non Gouvernementales, l’Agence Béninoise pour l’Environnement, la DGEFC, la mairie de Sèmè-Kpodji, les communautés locales dans la Réserve de Biosphère de la Basse Vallée de l’Ouémé où 20 000 plants de palétuvier ont été mis en terre.
Zones humides, un état des lieux peu reluisant
Selon le spécialiste des eaux et forêt, Mathias Dansi, il est important de sauver les zones humides parce qu’elles font l’objet de plusieurs menaces. Il pointe du doigt des promoteurs agricoles et surtout piscicoles qui n’hésitent pas à détruire la végétation de ces lieux pour creuser des trous à poissons, et monter les acadjas de grandes dimensions. Un constat dont il lie la cause à la pauvreté de ces milieux en bois de feu, « la pauvreté de ces milieux boisés amène les populations riveraines à couper les différentes espèces de palétuviers qui peuplent ces milieux pour cuire divers aliments » a-t-il affirmé.
A ces nombreuses menaces s’ajoutent la perturbation et la fragilisation par les bœufs des éleveurs transhumants qui détruisent les habitats de la faune qui s’y trouve. On assiste de ce fait à une dégradation et un écroulement de l’édifice naturel que constituent ces zones humides se désole le spécialiste des eaux et Forêt, précisant que les différents réseaux de chaînes trophiques qui s’y trouvent reçoivent des chocs qui font sauter l’équilibre naturel de ces milieux.
Les zones humides, c’est plusieurs services à la fois pour l’humanité
Les zones humides d’eau douce et d’eau salée sont au cœur de l’existence de l’humanité et de la nature. Elles soutiennent le développement social et économique des pays bénéficiaires en les rendant de multiples services dont le stockage et la purification de l’eau. Elles contiennent et fournissent la majeure partie de l’eau douce que l’Homme consomme. Elles filtrent naturellement les polluants, procurent une eau saine.
A ces rôles s’ajoute la dimension nutritionnelle des zones humides. En effet, l’aquaculture est le secteur de production alimentaire qui connaît la plus forte croissance, tandis que la pêche dans les eaux intérieures a fourni à elle seule 12 millions de tonnes de poisson en 2018. Le cas des rizières qui nourrissent 3,5 milliards de personnes par an en est une parfaite illustration. Les zones humides soutiennent l’économie mondiale car plus d’un milliard de personnes en tirent leurs revenus. Elles constituent l’écosystème le plus précieux, fournissant des services dont la valeur se chiffre à 47 000 milliards de dollars par an.
En ce qui concerne le rôle conservatoire de la biodiversité par les zones humides, il est approuvé que les zones humides abritent 40 % des espèces de la planète. Annuellement, près de 200 nouvelles espèces de poissons sont découvertes chaque année dans les zones humides d’eau douce. De plus, tout en garantissant notre sécurité, les zones humides protègent l’Homme des inondations et des tempêtes car chaque acre de zone humide pouvant absorber jusqu’à 1,5 millions de litres d’eau de crue.
Les zones humides contribuent à la régulation du climat à travers ses tourbières qui stockent deux fois plus de carbone que les forêts, et les marais salants, les mangroves et les herbiers marins contiennent également de grandes quantités de carbone.
La protection des zones humides, solution salvatrice face à la pénurie d’eau
Le monde entier traverse une crise de l’eau douce de plus en plus grave qui menace tant les êtres humains que notre planète. Il faut donc commencer à restaurer les zones humides conseillent les spécialistes en cessant de construire des barrages sur les cours d’eau ou d’extraire trop d’eau des aquifères. Lutter contre la pollution, nettoyer les sources d’eau douce, Accroître l’efficacité de l’eau, utiliser les zones humides à bon escient et intégrer l’eau et les zones humides dans les plans de développement et la gestion des ressources sont entre autres approches de solutions recommandées par les spécialistes.




Covid-19 au Bénin: 4 nouveaux décès enregistrés

À la date du 28 janvier 2021, le Bénin compte 420 cas actifs pour un total 3893 cas confirmés dont 3421 guéris et 52 décès.

• Appelez immédiatement le 136 en cas d’apparition de symptômes.
• Respectez les gestes barrières (port de masque obligatoire, distance sociale de 1 mètre minimum à respecter entre personnes, se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon ou avec du gel hydro alcoolique, etc.)

• Consultez le site web officiel du Gouvernement pour plus d’informations : https://www.gouv.bj/coronavirus