Baromètre Citoyen du Covid-19 : L’ONG Save Our Planet y prend part


L’ONG Save Our Planet, représenté par son Chargé de Projet Education, BONON Boris, a participé le 25 Septembre 2020 au Codiam (Cotonou) à un atelier de co-création, le premier d’une série de six (06) ateliers sur les données ouvertes dans le cadre de l’initiative citoyenne dénommée « BAROMETRE CITOYEN DU COVID19 ».
Ce projet de la plateforme citoyenne Voix et Actions Citoyennes, vise à mettre les organisations de jeunes au cœur d’une démarche participative d’ouverture des données et de contribuer à l’émergence des perceptions citoyennes sur la Covid-19 et son impact.


Cet atelier a permis aux participants d’appréhender les bases du projet et la necéssité de s’échanger les données dans un contexte de crise liée au Covid I9 par les jeunes citoyens. Il a été une occasion de donner et de reçevoir riche en partage d’expérience. Les dés étant jetés, cap est désormais mis sur le prochain atelier.


Rappelons que, cet atelier fait suite à l’appel à participation lancé par Voix et Actions Citoyennes, aux organisations et associations de jeunesse légalement constituées et intervenant au Bénin. L’idée est de travailler en  synergie et de faciliter le partage d’expériences autour des données ouvertes avec les organisations de jeunesse volontaires dans une démarche de co-création et de validation du protocole de baromètre participatif.
Ce projet de six (06) mois, répartit en six (06) ateliers dont le premier s’est ouvert ce matin a reçu le financement de l’AFD dans le cadre du projet PAGOF mis en œuvre par CFI et Expertise France d’un montant global de 5000€.
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Climat & Vie : Que retenir des 35 ans de protection de la couche d’Ozone au Bénin ?

Au Bénin, l’abandon progressif des substances chimiques qui appauvrissent la couche d’ozone a non seulement contribué à protéger la couche d’ozone pour les générations actuelles et futures mais a aussi renforcé la communauté internationale dans sa lutte contre les changements climatiques. Pendant que la communauté internationale célèbre 35 ans de protection de la couche d’ozone, Que peut on retenir ?
Par Megan Valère SOSSOU
En cette année marquée par la pandémie de la Covid-19, avec ses difficultés sociales et économiques, le monde entier célèbre une fois encore de la Journée internationale de la protection de la couche d’ozone, qui a lieu le 16 septembre de chaque année, 35 ans d’action déjà pour la vie.
Le thème de cette édition 2020 est, « L’ozone pour la vie ». Il nous rappelle que non seulement la crucialité de l’ozone pour la vie, mais aussi les defis pour protéger la couche d’ozone pour les générations présentes et futures.

Protection de la couche d’ozone, le Bénin s’en sort avec un bilan positif
Le Bénin en ratifiant les deux conventions et protocole mis en place par la communauté internationale s’est engagé à réduire les substances chimiques préjudiciables à l’environnement. 
Yvette Gauthé BOKO est le Point Focal National Ozone au Bénin, « le bilan est positif, le Bénin a essayé de respecter les engagements pris en éliminant toutes les substances à risque pour la couche d’ozone, à savoir Fréon 11 et Fréon 12 ». Le protocole a fixé un calendrier d’élimination progressive de la production et de la consommation des substances concernées, selon le Point Focal National Ozone au Bénin, « le Bénin est à plus de 40 pour cent d’élimination des gaz HydroFluoroCarbures, Fréon, R-22 ». Rassurant que, le Bénin a accompagné la communauté internationale dans le cadre du nouvel amendement au protocole de Montréal, celui de Kigali relatif à la réduction de la consommation des substances comme l’hydrofluorocarbure.
Convaincu de ce que la protection de l’environnement est une affaire de tous. Yvette BOKO, souligne que la principale barrière qui existe encore à la protection de la couche d’ozone reste la commercialisation des flutes frigorigènes qui sont des réfrigérants de mauvaise qualité.
Commercialisation des réfrigérants de mauvaise qualité, un problème persistant à la protection de la couche d’ozone
Dans presque toutes les villes du Bénin, de Malanville à Cotonou en passant par Parakou, Natitingou, Bohicon et Porto-Novo, le constat est le même. Des réfrigérants de mauvaise qualité circulent. Sieur N. Calixte est frigoriste à Zakpo dans la commune de Bohicon, il témoigne être conscient du danger lié non seulement à la manipulation des différents gaz mais également de la commercialisation des flutes frigorigènes car poursuit-il, « Il peut y avoir des échappements de gaz ou des incendies dangereux à l’homme et à son environnement ».
Pour le Point Focal National Ozone, il est important qu’ils aient l’agrément recommandé et délivré par le Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable pour commercialiser des réfrigérants de bonne qualité. Mais, ce que dénoncent les consommateurs est le faible pouvoir d’achat pour s’octroyer de vrais réfrigérants écolos. Dame M. Folakè est usagère de bombes aérosol insecticides, elle dispose de trois climatiseurs pour sa maison et d’un congélateur. Elle déplore les avoir payé selon ses capacités financières et dans un pays où les lois ne sont pas souvent appliquées martèle t elle. « Pourquoi l’Etat ne subventionne pas les réfrigérants pour achat s’est elle interrogée ».
Yvette Gauthé BOKO, Point Focal National Ozone a appelé au sens de responsabilité des frigoristes, des commerçants et des consommateurs précisant que force doit resté à la loi, aux arrêtés interministériels et aux décrets qui réglemente le secteur.
Protection de la couche d’ozone, une vie pour deux objectifs
Abordant les perspectives de cet engagement, Madame Yvette Gauthé BOKO a identifié la mise en œuvre de l’amendement de Kigali adopté le 15 Octobre 2016 et entré en vigueur le 1er janvier 2019 que le Bénin a ratifié le 19 Mars 2018 relatif à la réduction des substances Hydrofluorocarbures véritable gaz à effet de serre.
Selon elle, l’atteinte des deux objectifs suivants : renforcer la protection de la couche d’ozone et la lutte contre le changement climatique. A l’en croire, cela signifierait une synergie d’action avec la douane béninoise et une forte implication des consommateurs optant pour des équipements à potentiels de réchauffement global nul, avec une efficacité énergétique élevé et durable.

Pourquoi la protection de la couche d’ozone est-elle une nécessité ?
La couche d’ozone agit comme une barrière protectrice qui retient la plupart des rayons ultra-violets émis par le soleil. Cette protection nous est donc absolument indispensable pour pouvoir supporter le rayonnement solaire. Lorsque la couche d’ozone s’appauvrit, les conséquences sur la santé de l’homme sont bien réelles et se remarquent par l’affaiblissement du système immunitaire, de graves dommages aux yeux, l’accélération du vieillissement de la peau et l’augmentation des cancers de la peau.
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Gestion des déchets Biomédicaux en République du Bénin : Mise en garde du Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable

Le mode de gestion des déchets biomédicaux des formations sanitaires en République du Bénin est défaillant. C’est au vu du danger, qu’ils représentent tant pour le personnel sanitaire que pour les usagers des centres de santé publique que le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable met en garde.
Par Megan Valère SOSSOU

Le communiqué rappelle que les dispositions du décret NO 2002-484 du 15 Novembre 2002 portant gestion rationnelle des déchets biomédicaux en République du Bénin ont précisé clairement les modalités d’entreposage, de transport et de traitement des déchets biomédicaux.
En tout état de cause, la police environnementale et toutes les autres forces habilités, sont instruites pour veiller au respect strict de la règlementation et sanctionner les contrevenants a-t-il souligné dans le communiqué.
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Saison pluvieuse au Nord Bénin : L’Alibori et l’Ouémé menacés par la montée des eaux

Bien qu’il soit un atout pour la culture des sols, la saison pluvieuse dans le septentrion béninois telle annoncée ne sera pas sans conséquence sur certaines communes potentiellement agricoles des départements de l’Alibori et de l’ouémé.
Par Megan Valère SOSSOU

Evolution de la hauteur d’eau au fleuve Niger
Dans un communiqué de presse en date du lundi 17 Aout 2020, le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique se basant sur les analyses de l’Agence Nationale de la Protection Civile (ANPC) a alerté les populations et les autorités des communes de Malanville, Karimama et Bonou sur un éventuel risque lié à la montée des eaux dans les bassins du fleuve Niger et de l’Ouémé.
Selon l’autorité ministérielle, malgré les sensibilisations et les mesures préventive prises par l’Agence Nationale de Protection Civile (ANPC) et les autorités départementales et communales, certains citoyens continuent de faire preuve d’imprudence en adoptant des comportements à risque. Ainsi, pour éviter l’alourdissement des dégâts d’inondation et de noyades, le ministre a rappelé aux populations l’observance des consignes relatives au respect des mesures prises par les autorités politico-administratives. Elles doivent aussi éviter la surcharge des embarcations et respecter les textes en vigueur.
Pour rappel, des relevés effectués et rendus publics par le bulletin d’alerte inondation ont indiqués, mardi 18 Aout 2020 au fleuve Ouémé, 713cm à Zangnando, 591 cm à Bonou et 402 cm à Adjonou pendant que du coté du fleuve Niger, la hauteur d’eau relevée est de 798 cm à Malanville. Selon les prévisions du système d’alerte précoce, cette situation peut s’étendre sur d’autres communes telles que Adjohoun, Athiémé, Dangbo, Grand-Popo, Lokossa, Ouinhi, Zagnanado et Zogbodomey.
De l’alerte jaune à l’orange, ces communes peuvent passer au rouge. 
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Assainissement au Bénin : Le Gouvernement opte pour des villes du Grand Nokoué propres


Par Megan Valère SOSSOU
C’est par un communiqué en date du 28 août 2020 que la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité du Grand Nokoué en partenariat avec les communes et les autorités préfectorales à informer les populations de Cotonou et de Sèmè-Kpodji que les camions bennes à ordures ménagers seront dans certains quartiers.
Une annonce qui fait suite à la première phase des activités de collecte des déchets ménagers de la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué (SGDS-GN) qui a débuté depuis le 1er juillet 2020 et qui se consacre aux villes de Cotonou, Abomey-Calavi, Porto-Novo et Sèmè-kpodji.

Responsabilité des citoyens résidants dans les villes du Grand Nokoué
Invitant les populations aux pratiques et comportements éco-citoyens à savoir : l’utilisation et l’entretien d’une poubelle adéquate, le recyclage des objets réutilisables, la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué précise dans son communiqué que les camions bennes à ordures vont passer en moyenne 3 fois par semaine dans chaque quartier pour la collecte des déchets solides ménagers.
Responsabilité de la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué
Pour Rappel, la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué a pour rôle, la pré-collecte et la collecte des déchets, l’aménagement et l’exploitation des lieux d’enfouissement sanitaire des localités de Ouèssè et de Takon, la salubrité dans toutes ses composantes. Elle s’occupe également du suivi, du contrôle informatisé de l’ensemble des prestations à réaliser de même que la mise en place d’un support informatique de cartographie et de gestion dynamique de toutes les données spatiales et géographiques. La réorganisation du cadre institutionnel de la filière, l’instauration d’un mécanisme de participation des acteurs, l’information, l’éducation ainsi que la sensibilisation de la population à travers un plan d’information, font aussi partie de ses missions.
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Recyclage des déchets plastiques en Afrique : Enjeux socioéconomiques et environnementaux


Les déchets plastiques sont reconnus comme l’un des polluants les plus dangereux au monde. En Afrique le problème devient de plus en plus alarmant et selon les estimations de l’ONU, jusqu’à 5 milliards de déchets plastiques sont mis en circulation chaque année dans le monde.

Par Megan Valère SOSSOU
DOUNTIO SAHA Ursula Doriane est enseignante de formation en thermique et énergétique, entrepreneure dans le domaine de l’énergie renouvelable, dans le recyclage des déchets plus précisément en installation et entretien des bio digesteurs pour la production du Biogaz, en installation solaire, en production et vente du charbon écologique et des pavés écologiques. Son entreprise conçue pour ce fait est Paulownia Tech. Elle nous parlera des enjeux socioéconomiques et environnementaux du recyclage des déchets plastiques.

Pourquoi le choix du nom de Paulownia Tech à votre entreprise ?
C’est le nom d’un des arbres les plus écologiques connues sur la planète terre que j’apprécie beaucoup. Originaire de la chine qui absorbe 10 fois plus le dioxyde de carbone CO2 que les autres arbres, grâce à ces feuilles, il purifie l’air et ces racines nettoient le sol et aussi ces racines travaillent comme aspirateur des déchets. Une autre particularité est qu’il s’adapte à tous les types de sol.

Rappelez nous le contexte de gestion des déchets plastique dans votre pays.
Parlant du contexte de la gestion des déchets plastique au Cameroun, selon le Ministère de l’Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement Durable, le Cameroun produit jusqu’à 600 000 tonnes de plastiques et face à la gravité de cette situation, le gouvernement avait interdit en 2014 l’utilisation des emballages plastiques non bio dégradables principalement ceux de faible densité et à usage unique. Malheureusement ces dernières continuent de circuler, c’est la raison pour laquelle présentement, l’accent est mis sur le recyclage. Il faut mentionner aussi que des structures produisant des déchets plastiques en grande quantité, qui s’est tout de même penchées vers le recyclage. Et donc le Cameroun compte aujourd’hui de plus en plus d’entreprise qui se lance dans la gestion des déchets plastiques.

Et quelles en sont les conséquences ?
La mauvaise gestion des déchets plastiques entraine déjà l’insalubrité des routes ce qui favorise une pollution physique et le développement aussi de certains insectes qui sont des vecteurs de maladies. Egalement on en enregistre des disparitions de certaines espèces aquatiques due à l’enchevêtrement des animaux par les emballages plastiques. Par exemple, les torture de mer au niveau d’EBODJE un village littoral du Cameroun. A Douala, il ya des pluies acides dues l’incinération des déchets plastiques. De plus, il y a la perturbation des mécanismes hormonaux et l’appauvrissement des sols.

Quelles sont les opportunités qui s’offrent à un citoyen qui se lance dans le recyclage des déchets plastiques ?
Un citoyen qui se lance dans le recyclage des déchets plastiques doit savoir qu’il le faire pour lui-même car loin d’être un secteur pourvoyeur d’emploi, c’est directement une source de revenu pour le citoyen, fortement encouragé par le gouvernement. Le citoyen a tout a gagné en se lançant dans le recyclage des déchets plastiques.
Qu’avez-vous à dire par rapport à la sensibilisation
Pour éviter les déchets plastiques, je pense qu’il faille prêcher par le bon exemple et montrer qu’on peut se faire de l’argent en protégeant la planète. Mais déjà, je rappelle que le but n’est pas que de recycler mais de stopper les plastiques.
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31 Août, Journée mondiale du blog : EcoCitoyens TV aux anges!

En cette journée mondiale du Blog, je tiens à vous remercier, lectorat francophone et francophile même anglophone que vous êtes, pour cette formidable aventure.
Selon les statistiques à moi fournies par Google Analytic, le blog EcoCitoyens TV est à 13 457 vues avec une centaine d’articles soigneusement écrits et une dizaine de vidéos.

Il  joue ainsi un rôle à part entière dans la prise de conscience écologique en Afrique et à travers le monde car nous sommes aussi suivi dans une trentaine de pays au monde.
En raison de la situation sanitaire actuelle et de la dépendance des questions environnementales de celles sanitaires.

EcoCitoyens TV abodera désormais les sujets sur l’environnement et la santé.
J’avoue être très ému de vos diverses réactions et étonnants cmmentaires. Je vous remercie du fond du coeur.
Et comme toujours, je travaille à l’instant même à vous offrir le meilleur. J’affine d’ors et déjà mes plumes numériques de sorte à les rendre plus savoureuses et digestes au goût des fidèles lecteurs que vous êtes.
Pour rappel, les blogs constituent de nouveaux moyens d’expression dans nos sociétés. Ils sont présents sur le net depuis 1993, Tim Berners Lee fut le premier a créé le premier site internet de l’histoire. Il devient sans doute le premier blogger de l’histoire, sans le savoir.
Coups de gueules, coups de cœurs, journaux intimes, albums photos, vies privées, successions de liens… on trouve réellement de tout dans la planète blog que d’aucuns nomment parfois la blogosphère.
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La JCI Bohicon Wanilo améliore le cadre de vie de Bohicon

Pour la propriété de la ville carrefour du Bénin, Bohicon, la JCI Bohicon Wanilo donne 30 poubelles. Une initiative salué vivement par le maire.
Suivez le reportage de Jonas GNANHLO ici 👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇

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Cadre de vie à Bohicon : La JCI Bohicon Wanilo fait don de 30 poubelles à la commune



La JCI Bohicon-Wanilo a une fois de plus marqué la ville carrefour d’un projet dénommé ‘’ Améliore ton cadre de vie’’.
C’était dans la matinée du vendredi 28 Août 2020 à la mairie de Bohicon. Objectif, sensibiliser sur l’hygiène de cadre de vie et procéder à la remise d’un nombre important de poubelles. Le rendu du projet s’est effectué en présence de l’autorité communale, le Maire de la commune de Bohicon Ruffino d’Almeida, le Chef-Service Environnement, le Chef de l’arrondissement I Bohicon et toute l’équipe dirigeante de la JCI Bohicon-Wanilo présidée par M. Saturnin GNAMBAKPO.
 Pour Modeste AKADJAME, Directeur du Projet il s’agit de contribuer à l’amélioration du cadre de vie de la population de Bohicon.



« Je remercie Monsieur le maire et son conseil communal» dixit Saturnin GNAMBAKPO, Président JCI Bohicon-Wanilo précisant qu’il entend avec leur collaboration mettre en œuvre d’autres projets pour le grand bonheur de la population de Bohicon.

Prenant la parole au nom du conseil communal, le maire de la commune de Bohicon salue l’initiative, « Ces poubelles viennent à point nommé. Au nom du conseil communal, je remercie la JCI en générale et la JCI Bohicon-Wanilo en particulier pour ce geste fort louable ». Il a pour finir inviter toute la population de Bohicon à fournir l’effort qu’il faut pour maintenir leur environnement toujours sain.


30 Poubelles pour la propriété de Bohicon

Trente (30) poubelles dont 20 en forme cylindrique déposables parterre et 10 autres en forme conique suspendues en l’air, viennent ainsi d’être réceptionnées.

Le chef Service-Environnement a pris l’engagement ferme de veiller au bon usage des dons reçus.

La cérémonie qui a réuni une vingtaine de participants s’est achevée à la satisfaction de tous.
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Bénin: Recrutement de 100 gardes forestiers

Au Bénin, le Ministère du cadre de vie et du développement durable lance le concours de recrutement de 100 gardes forestiers.
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Francis FAGNON opine sur le droit à l’eau et à l’assainissement au Bénin

Accès à l’eau et à l’assainissement : Etat des lieux et perspectives
Pour la 10e célébration du Droit à l’eau et à l’assainissement, Francis FAGNON fait le bilan et émet des propositions
Interview réalisé par Megan Valère SOSSOU
Le 28 Juillet 2020, le monde entier célebrait le dixième anniversaire de la journée du droit à leau et à l’assainissement. En prélude à cette célébration nous recevons un acteur de ce domaine très sensible pour les populations rurales qu’urbaines.
Veuillez bien vous présenter cher monsieur.

Je suis Francis FAGNON, Ingénieur Environnementaliste, Vice président National du Réseau Béninois du Parlement Mondial de la Jeunesse pour l’Eau et membres actif de plusieurs OSC.
Vous qui êtes un acteur remarquable du domaine de l’eau et de l’assainissement, dites nous quelle appréciation faites vous de la situation actuelle du droit à l’eau et à l’assainissement au Bénin ?

Je voudrais rappeler que l’eau et l’assainissement sont indissociables mais toutes fois, pour régler les questions de discriminations de l’assainissement de base, le Droit à l’eau est devenu un droit distinct du Droit à l’Assainissement. 
Ainsi, opiner sur l’état du Droit à l’Eau et à l’Assainissement au Bénin, nous emmène à apprécier le niveau de réalisation de l’ODD 6 car au regard des principes ou exigences de ce Droit , reconnu en juillet 2010 par les Nations Unie, on note une forte similitude avec  l’ODD 6 , « Accès universel et équitable à l’eau potable, à un coût abordable d’ici 2030 », qui n’est rien d’autre que la matérialisation du Droit à l’eau et à l’assainissement. 
De façon générale, le Bénin peine à couvrir au plan national un taux de 45 % d’effectivité du Droit à l’eau et à l’Assainissement et je rappelle que dans ses 45 % la couverture en disponibilité de l’eau en milieu rural et urbain à elle seule fait près de 70 %.
Pourquoi le droit à l’eau et à l’assainissement est un droit fondamental ?

Le droit à l’eau et à l’assainissement puise tout son fondement dans le droit de l’homme car l’Eau est la vie et la vie est une chose sacrée qu’il faut protéger contre toute nuisance.  Aucun humain ne peut s’en passer. L’eau est au coeur de tout développement, au coeur de l’environnement, tout comme le droit de faire ses besoins aisément.
A vous suivre, il y a certainement des défis à relever pour la jouissance effective des communautés du droit à l’eau et à l’assainissement au Bénin.

Absolument, beaucoup d’efforts restent encore à faire pour l’effectivité du Droit à l’Eau et à l’assainissement au Bénin. Si au 21ième siècle, des gens continuent de boire l’eau des marigots, des fleuves et autres, c’est bien grave. Au regard des différents enjeux, l’eau et l’assainissement sont considérés comme des droits inaliénables pour tous. Des zones restent encore non atteintes comme le village sankpiti dans la commune de Djidja où les populations s’abreuvent encore avec l’eau du fleuve, à Okoutagba dans la commune de Bantè, c’est pareil. A bemberekè, dans certains villages aussi, nous avions de ses problèmes là. Tout ces constats viennent compromettre les efforts consentis dans l’effectivité de ce droit.

Quel message aviez vous, à l’endroit des décideurs politiques notamment le l’exécutif ?
Que le gouvernement commence par régler les questions de l’hygiène et de l’assainissement au même titre que celui des investissements dans l’Eau, car Il ne s’est à rien qu’on investisse des milliards pour que l’eau soit disponible en zone urbaine alors que les populations rurales s’approvisionnent encore en eau malpropre. Il urge d’augmenter la dotation budgétaire au secteur de l’hygiène et de l’assainissement pour prévenir les maladies infectieuses ou hydriques et parasitaires. Egalement, d’aménager et valoriser les puits artésiens sur l’ensemble du territoire national cela pourrait contribuer à la jouissance complète de ce droit.
Que direz-vous en guise de conclusion ?

Pour conclure cet entretien, je voudrais simplement nous rappeler que le Droit à l’eau et à l’assainissement ne sera effectif que si nous jouons notre partition en évitant les surtaxes de l’eau en milieu rural qu’en milieu urbain, en travaillant à rendre l’eau disponible, salubre et de qualité acceptable, accessibles physiquement, financièrement et sans danger aucun à tous. Et c’est la raison de notre combat.
Monsieur Francis FAGNON, nous vous remercions de votre disponibilité

C’est moi qui vous remercie cher Journaliste.
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Recrutement : Chargé.e de Communication GCCA+ Afrique de l’Ouest

Chargé.e de Communication GCCA+ Afrique de l’Ouest (H/F)

Département Développement durable – DD > Pôle Climat et Biodiversité
Mis en ligne le : 03/08/2020

 AFRIQUE SUBSAHARIENNE  TOGO LOMÉ

Postuler

RÉF.
2020/CDCGADL/5785

TYPE D’OFFRE
Poste terrain

TYPE DE CONTRAT
CDD

DATE LIMITE DE CANDIDATURE
28/08/2020 20:00

DURÉE
1 an renouvelable

Description de la mission

Le/la chargé.e de communication aura la responsabilité de mettre en œuvre les actions de la stratégie de communication du projet, dont les cinq objectifs stratégiques sont les suivants :

  • Objectif stratégique 1 : Rendre accessibles et compréhensibles pour toutes les cibles les documents socles de politique publique climat aux niveaux national et régional.
  • Objectif stratégique 2 : Positionner et crédibiliser la CEDEAO comme leader sur les problématiques climatiques dans la région et à l’international.
  • Objectif stratégique 3 : Mobiliser les acteurs à travers leur prise de conscience des enjeux climatiques, leur participation pour diffuser des solutions durables en vue du renforcement de la résilience des communautés et leur plaidoyer envers les Etats de la région.
  • Objectif stratégique 4 : Assurer une visibilité continue et cohérente du programme et de son bailleur principal.
  • Objectif stratégique 5 : Partager avec les organisations régionales et les pays membres de la CEDEAO un socle commun d’informations, compétences, résultats et connaissances sur l’action climatique.

Le/la chargé.e de communication sera en charge des tâches suivantes :

  • Produire les contenus des supports de communication/visibilité du projet ;
  • Animer la réflexion sur le calendrier et les sujets (pitchs) des articles mensuels à produire ;
  • Rédiger les articles mensuels mettant en valeur les activités/actualités du projet en lien avec le contexte régional et international (calendrier des négociations par exemple, conférences, sujets de société, etc) ;
  • Coordonner le relais et la publication des articles sur les sites internet des parties prenantes du projet et dans les newsletters (Expertise France, ARAA, GCCA+ Intra-ACP) ;
  • Consolider une base de contacts en vue de la diffusion des contenus produits par le projet ;
  • Community management : animer le « pool » des personnes ressources pour les réseaux sociaux autour du projet (pool composé de l’ARAA, EF, la Commission, le CILSS, le Secrétariat ACP) : définir un calendrier des actualités, préparer les postes, relayer aux personnes ressources, relancer et suivre.
  • Veiller à la mise à jour régulière des supports « fondamentaux » et des sites internet des parties prenantes sur le projet ;
  • Etablir et gérer une bibliothèque numérique avec les documents externes ressources du projet (publications techniques, supports de com, vidéos, etc).
  • Gérer les relations avec les prestataires en charge du design/graphisme des différents supports.
  • Décliner la stratégie de communication en plans de communication annuels et semestriels, mettre en œuvre ces actions ;
  • Contribuer à la structuration d’une veille d’informations pertinentes pour le projet ;
  • Concevoir les plans de communications autour de chaque évènement opérationnel du projet (ateliers) et les mettre en œuvre ;
  • Créer une relation de confiance avec les représentants des médias et assurer la visibilité médiatique du projet, ceci incluant notamment les actions de communication lors de l’organisation ou la participation à des évènements internationaux (conférences de presse, communiqués de presse, réseaux sociaux…), l’organisation de reportages et/ ou de débats télévisés et radiophoniques dans les domaines d’intervention du projet, etc.
  • Participer aux réflexions stratégiques au sein de la CEDEAO, aux côtés de l’UCP, sur la structuration d’un plan de communication autour de la stratégie régionale climat (outils, canaux, techniques) ;
  • Mettre en place un système permettant de documenter les leçons apprises et les bonnes pratiques pendant la vie du projet ;
  • Contribuer à la réflexion sur les besoins d’évolution des outils de diffusion des connaissances.

 

Description du projet ou contexte

Alliance Mondiale pour le Changement Climatique Plus, volet Afrique de l’Ouest (AMCC+ AO / GCCA+ WA)

L’Alliance Mondiale pour le Changement Climatique Plus (AMCC+ ou GCCA+), est la deuxième phase d’une initiative du même nom lancée par la Commission européenne (CE) en 2007 en vue de renforcer le dialogue et la coopération dans le domaine de la lutte contre le changement climatique entre l’Union européenne (UE) et les pays en développement les plus vulnérables.

Cette deuxième phase vise notamment à prendre en compte l’évolution des enjeux de développement et ainsi à contribuer à la réalisation des Objectifs de Développement Durable définis par les Nations Unies, et à la mise en œuvre de l’Accord de Paris.

L’initiative GCCA+ continue de soutenir les pays à travers deux piliers qui se renforcent mutuellement: le dialogue politique et technique et le soutien à la mise en place de politiques nationales et régionales d’adaptation et d’atténuation au changement climatique, avec une insistance plus forte sur la gestion des connaissances sur le climat et leur communication.

Les priorités pour le GCCA+ sont les suivantes :

  1. Renforcer la capacité scientifique et technique de la sous-région pour réduire la vulnérabilité au changement climatique ;
  2. Promouvoir l’intégration des aspects du changement climatique dans les politiques, stratégies, programmes et projets de développement aux niveaux sous régional et national ;
  3. Soutenir le développement et la mise en œuvre de programmes et de projets sous régionaux et nationaux sur l’adaptation au changement climatique.

L’initiative GCCA+ se décline en i) un volet « Global » composé de programmes déclinés par pays sous la supervision des Délégations locales de l’UE, et ii) un volet «Intra ACP» sous coordination du Secrétariat ACP à Bruxelles. Ce dernier volet est lui-même divisé en volets sous régionaux et Expertise France a été désignée pour gérer la délégation de fonds pour l’Afrique de l’Ouest.

Le volet régional Afrique de l’Ouest

Le projet GCCA+ Afrique de l’Ouest mis en œuvre par Expertise France pour un budget de 12.1 M€ sur 5 ans bénéficie de deux ancrages régionaux : le portage politique du projet par la CEDEAO, et un ancrage technique au niveau du CILSS, qui mettra par ailleurs en œuvre une partie des activités.

Le GCCA+ Afrique de l’Ouest a officiellement démarré le 1 janvier 2018 et a commencé par une phase de préfiguration de 12 mois visant à aboutir à une définition partagée des résultats et activités du projet. Le projet est actuellement en pleine phase de mise en œuvre.

En savoir plus sur les actualités du projet : https://www.expertisefrance.fr/actualite?id=754627

Profil souhaité

  • Etre au moins titulaire d’un diplôme de BAC+2 ou BAC+3 ;
  • Avoir au moins 4 années d’expérience à un poste de chargé de communication ;
  • Avoir une expérience de travail au sein d’une ONG, agence de coopération ou institution ;
  • Avoir de l’expérience en community management (animation des réseaux sociaux);
  • Justifier d’une expérience en développement d’outils et de contenus de communication pour la visibilité d’un projet ou d’une organisation ;
  • Etre capable de rédiger des rapports de capitalisation, analytiques et synthétiques, sur les expériences et leçons apprises (aussi bien issues de solutions pratiques de terrain que de politiques publiques) en vue d’un partage et d’une éventuelle réplication ;
  • Avoir une connaissance des enjeux liés à l’environnement, aux ressources naturelles et/ou changements climatiques dans la région ouest-africaine ;
  • Maitrise des outils informatiques: Word, Power Point, Publisher, Photoshop, Indesign ou équivalent ;
  • Avoir une très bonne maitrise écrite et orale du français et de l’anglais, le portugais étant un atout.

Informations complémentaires

  • Dossier de candidature : CV + Lettre de motivation

Les candidats shortlistés seront contactés pour un entretien et un test écrit.

  • Prise de poste : dès que possible
  • Rémunération : 1500€ à 2500€ bruts par mois en fonction du profil et de l’expérience

Date limite de candidature : 28/08/2020 20:00

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Webinars Africa Eco-Citizen Days, 2020

Après le succès formidable des Journées Eco-citoyennes du Benin (JEB) en 2019, DEV-ENERGY lance la deuxième édition  des JEB devenues  Africa Eco-Citizen Days (AED) qui se tiendront les 1er, 02 et 03 septembre 2020.
En raison de l’urgence sanitaire mondiale, AED se tiendra en webinaires autour du thème:  COVID-19-Résilience pour l’atteinte des Objectifs 2030 du nexus Climat-Eau-Energie-Environnement.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour vous inscrire. 👇
NB : La participation est gratuite et donne droit à une attestation. 
_*Africa Eco-Citizen Days 2020…
_Demeurons engager pour l’atteinte des ODD._
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Appel candidatures pour Jeunes innovateurs ODD du Pacte mondial des Nations Unies 2020


Le programme Jeunes innovateurs ODD est une opportunité pour les entreprises participantes du Pacte mondial des Nations Unies d’identifier les jeunes talents au sein de leurs organisations afin de collaborer et d’accélérer l’innovation commerciale vers les objectifs de développement durable (ODD). 
Ce programme d’accélération de dix mois incite les futurs chefs d’entreprise et acteurs du changement à développer et à mettre en œuvre des solutions innovantes grâce à de nouvelles technologies, initiatives et modèles commerciaux et à atteindre les objectifs de durabilité de leur entreprise.
Le programme Young SDG Innovators est conçu pour engager les talents les plus brillants et les meilleurs de votre entreprise non seulement pour faire progresser vos efforts de développement durable, mais aussi pour stimuler l’innovation et fournir des solutions tangibles avec une valeur marchande potentielle pour votre entreprise.
Aperçu du programme
Au cours de ce programme accélérateur de neuf mois, certains jeunes professionnels («innovateurs») des entreprises participantes au Pacte mondial des Nations Unies:
Connectez-vous à de jeunes professionnels entreprenants dans le pays et du monde entier pour tirer parti des objectifs de développement durable comme catalyseur pour le développement de nouveaux produits et services pertinents pour leur entreprise.
Collaborez avec des leaders d’opinion dans une série d’exercices d’équipe et d’opportunités d’apprentissage interactives impliquant des défis du monde réel, des commentaires et des sparring par les pairs, ainsi que du mentorat et du coaching.
Développer des compétences d’apprentissage organisationnel qui permettront aux employés de différentes fonctions de développer des solutions innovantes pour atteindre les objectifs de développement durable grâce à de nouvelles technologies, initiatives et modèles commerciaux.
Avantages pour les participants
Ressources d’apprentissage et de développement: Un programme complet avec un mélange d’occasions d’apprentissage, y compris des ateliers en ligne et en personne, des études de cas, des visites d’entreprises et des forums de discussion.
Expérience professionnelle: connectez-vous avec d’autres unités d’affaires et collaborez sur des projets innovants relatifs à l’entreprise et à l’industrie.
Accompagnement, mentorat et opportunités de réseautage entre pairs: établissez des relations de travail et apprenez de certains des esprits les plus brillants travaillant sur la durabilité et l’innovation du monde entier.
Faites partie d’un réseau mondial de jeunes professionnels de premier plan issus de certaines des plus grandes entreprises de tous les continents.
Éligibilités
En tant qu’entreprise participant au Pacte mondial des Nations Unies et à votre réseau local du Pacte mondial, votre entreprise est éligible pour nommer de jeunes professionnels très performants pour le programme. Ce programme est conçu pour cibler:
Des employés hautement performants dans une entreprise participante au Pacte mondial des Nations Unies
35 ans ou moins
Intérêt pour l’innovation des modèles d’affaires, la durabilité et les technologies de rupture
Date limite: 01 novembre 2020
Inscrivez vous ici
https://www.unglobalcompact.org/take-action/global-impact-initiatives/apply-ysip-company
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Recrutement pour un programme lié aux changements climatiques

AVIS DE RECRUTEMENT N°PNUD/IC/DDCI/01/07/2020

CONSULTANT INDIVIDUEL

Pays : BENIN
Description de la mission : Intégration du Genre dans le NDC actualisé et stratégie pour sa prise en compte
dans la mise en oeuvre du NDC au Bénin
Nom du projet : PROJET PLAN NATIONAL D’ADAPTATION
Durée de la mission/services (le cas échéant) : Quarante (40) h/jrs (sur une période de 3 mois maximale).
L’offre doit être soumise, avec la mention « Consultant Genre, CDN », à l’adresse suivante
Programme des Nations Unies pour le Développement
Lot 111 Zone Résidentielle Cotonou
Mr Le Représentant Résident a.i.
Tél : 21.31.30.45/46
ou par courrier électronique à l’adresse offreprocurement.ben@undp.org au plus tard le 31/07/2020 à 10 h 00. Dans ce dernier cas, aucun envoie ne peut dépasser 5Go et plusieurs envoies sont autorisés. Toute demande d’éclaircissements doit être envoyée par écrit ou par courrier électronique à l’adresse offreinfo.ben@undp.org . L’entité chargée du recrutement au PNUD répondra par écrit ou par courrier électronique, et enverra à tous les soumissionnaires les copies des réponses écrites avec toutes les clarifications nécessaires, sans mentionner l’auteur de la question.

1. CONTEXTE
Les changements climatiques sont une véritable menace pour l’environnement, la réduction de la pauvreté et le développement durable. Ils constituent de ce fait, une des préoccupations majeures de l’humanité. Le Bénin, à l’instar de tous les autres pays du monde et de la communauté internationale, participe activement à la lutte pour contrer les effets des changements climatiques, à travers la signature et la mise en oeuvre de diverses conventions y relatives.
La décision de la CoP25, FCCC/CP/2019/L.3 reconnait que les Parties devraient, lorsqu’elles prennent des mesures pour faire face aux changements climatiques, respecter, promouvoir et examiner leurs obligations respectives en ce qui concerne les droits des personnes handicapées et des personnes en situation de vulnérabilité, et le droit au développement, ainsi qu’en matière d’égalité de genre, d’autonomisation des femmes et d’équité entre les générations.
En application de cette disposition ci-dessus, le Bénin a déjà nommé un Point Focal, coordonnatrice nationale pour l’égalité de genre et changements climatiques, chargée de la négociation, de la mise en oeuvre et du suivi des mesures relatives à la prise en compte des questions liées au genre dans le financement de l’action climatique, renforçant ainsi les capacités des femmes.
Pour donner un appui à cette initiative, le PNUD s’est alors engagé aux côtés d’autres partenaires, à financer le volet genre dans l’actualisation des CDN. Le présent avis vise le recrutement d’une Expertise nationale individuelle et indépendante qui travaillera à la prise en compte du genre et changements climatiques dans le CDN aussi bien dans son actualisation que dans sa mise en oeuvre.

2. ÉTENDUE DES TRAVAUX, RESPONSABILITÉS ET DESCRIPTION ANALYTIQUE DES TRAVAUX PROPOSÉS
L’objectif global de la mission est d’assurer que le Genre dans sa dimension changements climatiques est intégré au CDN actualisé et qu’une stratégie claire est définie pour sa prise en compte dans la mise en oeuvre dudit CDN. Pour des informations détaillées, veuillez, vous reporter à l’annexe 1, ci-dessous

3. QUALIFICATIONS ET EXPERIENCES REQUISES
I. Qualifications académiques
• X diplôme universitaire de niveau minimum BAC+5 en science sociale, sciences de l’environnement,
planification du développement, suivi-évaluation ou tout autre domaine connexe
II. Années d’expérience : Voir TDR
III. Compétences : Voir TdR

4. DOCUMENTS A INCLURE LORS DE LA SOUMISSION DE L’OFFRE
Les Consultants intéressés doivent soumettre les documents et renseignements suivants pour
prouver leurs qualifications :
1. Offre technique : Voir TdR
2. Offre financière : Voir TdR
3. CV personnel, en y incluant l’expérience acquise dans des projets similaires et au moins 3
références.

5. ÉVALUATION
Les consultants individuels seront évalués comme suit :

Analyse cumulative
En utilisant cette méthode d’évaluation pondérée, un contrat sera attribué au consultant individuel
dont l’offre a été évaluée et déterminée comme étant, à la fois :
a) Efficace/conforme/acceptable, et
b) Comme ayant’ reçu le score le plus élevé, déterminé à partir d’un ensemble prédéfini
de critères techniques et financiers pondérés, spécifiques à la demande.
* Poids des critères techniques ; [à déterminer] 70%
* Poids des critères financiers ; [à déterminer] 30 %
Seuls les candidats qui obtiennent un minimum de 70 points sur 100 au point a) seront
pris en compte pour l’évaluation financière

Annexe 1- TERMES DE RÉFÉRENCE disponible sur le site du PNUD à l’adresse :

http://www.bj.undp.org/content/benin/fr/home/operations/procurement/

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Covid-19: Le sort mitigé réservé aux eaux usées du lavage des mains


Devenir un réflexe pour la majorité des béninois, le lavage des mains à l’eau et au savon figure parmi les meilleures manières de lutter contre la propagation du coronavirus, la Covid-19.
Ainsi, pendant que le nombre de personnes testées positives au Coronavirus, Covid-19 ne cesse d’augmenter en République du Bénin, comme dans les autres pays africains où la barre des 500 000 cas ont été récemment franchit, la problématique de la gestion des eaux usée issues du lavage des mains continue d’être un casse-tête quotidien pour les populations.
Après avoir fait un tour dans les villes phares du département du Zou, on s’aperçoit que la majorité des Eglises, Mosquée, Lieu de vente, Entreprises, Administration publique et ménages ont mis en place des dispositifs de lavage des mains modernes ou traditionnels plus ou moins acceptables en vue de permettre à tout visiteur d’accomplir ce geste simple, mais protecteur.
Mais la question à laquelle les gens sur le terrain tentent à peine de répondre est: Comment les eaux usées issues du lavage des mains sont gérées ? Nous les déversons à la rue ou dans les caniveaux ont-ils déclarés avec assurance en violation fragrante du code d’hygiène publique en République du Bénin en son article 3.
Pourtant, le ministère de la Santé avait recommandé quavant de verser dans la nature, il faut décontaminer au chlore les eaux usées avant canalisation. De plus, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a recommandé que les eaux usées résultant du lavage des mains doivent être recueillies et traitées en toute sécurité avec du chlore avant d’être redirigées vers les égouts ou vers un puits dinfiltration. 
Pour M. Assongba, Chargé de l’hygiène et de l’assainissement dans un centre de santé privé à Bohicon « sil se retrouvait qu’un malade s’était lavé les mains, il aurait déjà libéré quelques pathogènes du virus » et donc poursuit il « le déversement dans la nature de ces eaux usées constitue un grand risque de propagation à condition quelles ne soient pas bien gérée ». Parlant des puits d’infiltration, le Technicien des déchets médicaux quil faut y déverser les eaux traitées à condition que la nappe phréatique se trouve à 2 m du fond du puits au minimum.
Le problème ne date pas de lère de Covid-19, puisqu’une étude publiée en 2018 affirme quen Afrique subsaharienne environ 95 % des eaux usées sont directement déversées dans la nature sans aucun traitement ce qui représente des sources de pollution pour les ressources en eau. Il est très important de gérer selon les normes les eaux usées issues du lavage des mains pour non seulement une vraie lutte contre le coronavirus, Covid-19, mais aussi pour éviter dautres pathologies.
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Journée Mondiale du Serpent : Ce reptile utile mais incompris


C’est dans un contexte marqué par la crise sanitaire de la Covid-19, générée fort probablement par une mauvaise relation entre l’homme et la nature que le monde entier célèbre ce 16 Juillet 2020 la journée mondiale du serpent.
https://photos.app.goo.gl/kiBeA5esFmbsHD8E9
De leur caractère sacré en Afrique plus particulièrement au Bénin à leur rôle crucial dans le maintien de l’équilibre écologique, les serpents méritent tout simplement d’être célébrés. Dès lors, le 16 juillet de chaque année est ainsi, réservé pour célébrer ces créatures fascinantes. Une occasion idéale de sensibiliser et de plus découvrir ces reptiles carnivores, qui sont sur le point de disparaître, principalement à cause des mythes et des superstitions qui les entourent.
Le Serpent et ses principales caractéristiques
Les serpents, ce sont des animaux vertébrés appartenant à l’un des nombreux groupes de reptiles (Squamates). Ils ont un corps long et élancé, pas de jambes, pas de paupières, pas d’oreilles, et sont recouverts d’écailles qui présentent la particularité d’être ectothermes. Les serpents meurent en nombre alarmant, en raison de l’urbanisation, de la chasse, et de la mauvaise impression généralisée des hommes sur les serpents. Un comportement de vigilance qui risque de faire disparaitre en une seule génération les différentes espèces de serpents existants de part le monde pourtant très utiles. 
D’ailleurs, un spécialiste du serpent conseille qu’une telle vigilance peut être évitée si les gens sont plus conscients des comportements des serpents. Car à l’en croit, environ un quart seulement des serpents sont venimeux et ils préféreraient tous éviter le contact humain s’ils le pouvaient.
Culture, Agriculture, Ecosystème et la Médecine, utilité du serpent
En effet, cest depuis le début des temps, que les serpents ont une mauvaise réputation, jugés mauvais, diabolique, sournois et meurtrier. Pourtant, les serpents fascinent de nombreuses civilisations depuis des milliers d’années et sont considérés comme une puissante créature mythologique dans de nombreuses cultures au monde comme la culture Fon des AGBODJE à Ouidah et à Savalou avec les Python. 
Eu égard leur rôle dans le maintien de l’équilibre de l’écosystème, les serpents jouent aussi un rôle essentiel dans le contrôle des cultures face aux proies rongeuses telles que les rats et les souris. Ils sont importants aussi de part leur venin, extrait souvent pour le traitement de certaines maladies et la fabrication d’anti venin pour la morsure de serpent.
Au regard des différents points de vue, cette journée mondiale du serpent contribue grandement à la conservation dun reptile parfois dangereux mais souvent mal représenté au sein des populations. Rappelons une fois encore que malgré les apparences, les serpents sont assez inoffensifs et la plupart deux ne sont pas venimeux. Ce n’est non plus une raison pour se faire mordre volontiers par un serpent, ni de les attaquer, ni de les élever.
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Risque imminent d’électrocution à haute tension à Ouidah

Le danger est là.  Le risque imminent d’une électrocution à haute tension  plane au dessus des citoyens de la ville de Ouidah. 
En effet, la haute tension qui ceinture la recette perception, le tribunal de 1ere instance et la mairie de Ouidah cohabite dangereusement avec les grands arbres qui ont une forte conduictibilté à cause de leurs humidité permanente et surtout en cette période de forte pluie.  Pour qui connaît ses effets destructeurs,  la haute tension n’est pas un jeu d’enfant et il ne faut pas s’y hasarder. C’est pourquoi il urge que quelque chose soit urgement fait pour éviter le pire.  Les populations de Ouidah et les riverains de ce quartier de la ville historique appellent la première autorité,  le maire Christian Houétchénou  à agir pour la quiétude des uns et des autres et pour la préservation des vies humaines .

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1925-2025: Bientôt 100 ans, Inondations à Cotonou

Il me plaît bien de partager ces images avec vous, pour qu’on en fasse une analyse diachronique comparée à la vue que nous avons aujourd’hui de Cotonou et de ses environs.
Bientôt *100 ans, 

Tant tôt, Urbanisation, tant tôt Aménagement, tant tôt assainissement et nous voici à l’asphaltage. Oui, asphaltage sur une plaine inondable😱 c’est tout, sauf technique.

Cotonou est victime de ses caractéristiques physiques accentuée par l’exode rurale des années, je ne sais quand?🤔
Déconcentrez Cotonou et ses environs chers politiques. *Cotonou n’est pas une ville durable* et d’ici là nous allons raconter l’histoire de demain à nos enfants. *une ville du nom de Cotonou à exister ici*😰🤦🏿‍♂️
Travaillons à déconcentrer Cotonou et ses environs franchement😎
*EcoCitoyens TV*
*ONG Save Our Planet*
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Criminalité faunique à Parakou : Des pointes divoires déléphants saisies


Par Constance AGOSSA
La commune de Parakou au centre dune nouvelle attaque faunique. Dans la journée du vendredi 26 juin 2020, une équipe mixte de la Police Républicaine de Parakou, renforcée par des éléments de lInspection Forestière du Borgou avec lappui technique du Programme Appui à lapplication des lois sur la faune et la flore au Bénin (Aalf-Bénin) ont arraisonné sept (7) pointes divoires déléphants pesant 19,25 kg un présumé trafiquant arrêté. Pris en flagrant délit de commercialisation des sept (7) pointes divoires, il risque de lourde peine car léléphant étant une espèce intégralement protégée, la commercialisation, limportation et lexportation de ses trophées ou de ses dépouilles sont interdites par larticle 154 de la loi n°2002-16 du 18 octobre 2004 portant régime de la faune en République du Bénin et de son texte dapplication. Le présumé trafiquant risque de lourdes peines vue les sanctions affiliées à cette infraction. Nous invitons chacun de nous à prendre garde de la protection de notre biodiversité. Il y a va de léquilibre de nos écosystèmes mais plus de notre santé.
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Déchets plastiques : Roosevelt Olusegun SOVI, un génie de la valorisation des déchets plastiques au Bénin

Aujourd’hui, journée mondiale sans sacs plastiques. 
Nous célébrons un jeune homme, héros de la lutte contre les déchets plastiques. Mais avant, savez-vous que dans le contexte actuel marqué par la pandémie du coronavirus, covid-19, qu’il y a eu une flambée des déchets plastiques dans le monde entier ? Une pandémie qui commence à opérer des choix difficiles à court terme entre la santé et l’environnement. 
Pourtant, en République du Bénin, une loi suscitée par une mobilisation éco citoyenne, peine à délivrer l’environnement (eau, sol, animaux, végétaux, air) et la santé d’un désastre sans précédent. Sur toute l’étendue du territoire béninois, des sacs/sachets plastiques continuent de dicter leur loi au détriment de la loi N 2017-39 du 26 Décembre 2017 portant interdiction de la production, l’importation, l’exportation, de la commercialisation, de la détention, de la distribution et de l’utilisation de sachets en plastique non bio dégradables en République du Bénin. C’est à croire qu’aucune loi n’avait été votée.
Pendant que, les déchets plastiques créent tout un désastre à la nature avec pour effet, plus de 500 milliards de sacs plastiques distribués chaque année dans le monde soit près de 16 000 sacs plastiques chaque seconde. Dans le même temps, seuls 5% du plastique utilisé au niveau mondial sont recyclés. 
Le casse-tête que pose la maitrise de ce phénomène, trouve son origine dans les différentes alternatives proposées pour améliorer la gestion des déchets plastiques existants, en créant des économies circulaires suivant les principes des 3R la réduction, la réutilisation, et le recyclage. Heureusement, le Bénin s’est trouvé son génie en la matière. Il s’agit d’un jeune homme la trentaine, qui a eu la géniale idée de relever le grand défi de la valorisation des déchets plastiques en République du Bénin. 
Il se nomme SOVI Olusegun Yemalin Roosevelt, titulaire d’un Certificat d’Aptitude Professionnelle en mécanique industrielle. Il s’est très tôt servi de son esprit innovant pour transformer vos déchets plastiques (nos déchets plastiques) en des matériaux utiles à notre société : Des tables à bancs pour écoliers, des pots de fleurs, des pavées….

Doué et toujours animé d’un esprit de création, Roosevelt SOVI, totalise plusieurs années d’expériences dans la fabrication des machines de transformation agricole et agro-alimentaires ajouté à son excellente expertise  qui a su l’imposer dans la valorisation des déchets plastiques. Voici son message à vous dans cette vidéo
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PALIRED : Des journalistes en session de formation sur l’investigation en matière de lutte contre la corruption

Dans le cadre du Programme d’Appui à la Lute contre l’Impunité et au Renforcement de l’Etat de Droit en République du Bénin s’est ouvert à Bohicon ce jour, un atelier de formation des professionnels des médias au journalisme d’investigation en matière de lutte contre la corruption. 
Au nombre d’une trentaine, les journalistes participants à cette formation se verront inculquer les techniques de base d’une investigation journalistique en matière de lutte contre la corruption.
Rappelons que ce programme soutient et complète l’Evaluation du Système National d’Intégrité (SNI) du Bénin en contribuant à la mise en œuvre des réformes dans les domaines de la lutte contre la corruption et du renforcement du contrôle. Il est mis en œuvre par Transparency International en partenariat avec son contact national, Social Wach Benin sur financement de l’Union Européenne.
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La JCI Bohicon Wanilo priorise la protection de l’environnement


La Jeune Chambre Internationale Bohicon Wanilo a marqué ce mois de juin d’un projet d’éducation environnementale en milieu scolaire dénommé ‘’Priorité Environnement’’. Objectifs, commémoré le mois de l’environnement et apporté une touche citoyenne dans la lutte contre le changement climatique.


Tout a commencé dans la matinée du vendredi 26 Juin 2020 au Collège d’Enseignement Général de Todo dans l’arrondissement de Sodohomè, par un rappel des mesures contre la crise sanitaire liée au coronavirus, Covid-19, où les responsables de la Jeune Chambre Internationale Bohicon Wanilo, ont fait dons des masques aux enseignants et apprenants venus nombreux à cette activité. Ceci, en renforcement au respect strict des mesures pour contrer le coronavirus, Covid-19.
Ainsi, les membres de cette prestigieuse organisation ont eu à sensibiliser les apprenants et enseignants du CEG Todo (Sodohomè) sur l’importance de protéger leur cadre de vie et d’étude.
Dans une ambiance de convivialité avec les enseignants et élèves, les membres de la Jeune Chambre Internationale Bohicon Wanilo ont ensuite procédés à la mise en terre de trois cent (300) plants. Sous la supervision technique des agents forestiers de la zone d’intervention, ces plants, constitués de deux cents (200) plants de tecks et de cent (100) plants fruitiers (Orangers, Cocotiers, Manguiers) ont été mis en terre et arrosé sur trois (03) différents espaces visiblement déserts appartenant au collège hôte.
Pari gagné pour la JCI Bohicon Wanilo

A la fin de activité, Méthode DJOHOUN, membre JCI Bohicon Wanilo et chargé du projet ‘’Priorité Environnement’’, s’est réjouit du succès qu’a connu ce dernier sans toutefois oublier de remercier le parrain du projet PP Mr Thierry GNANSOUNOU.
Le Président de la Jeune Chambre Internationale Bohicon Wanilo, Mr Saturnin GNAMBAKPO, se veut reconnaissant envers tous ceux qui ont fait de ce projet une réussite, c’était une occasion pour sensibiliser les acteurs du monde scolaire sur la protection de l’environnement puis de mettre en terre un certain nombre de plants.
Retrouvez ici la vidéo de l’évènement
https://youtu.be/cLgTyRmPfig
Rappelons que la Jeune Chambre Internationale Bohicon Wanilo fait partie des 47 organisations locales au Bénin de la Jeune Chambre Internationale qui est en effet un mouvement mondial de jeunes citoyens actifs, présent dans plus de 120 pays du monde avec en son sein, plus de 200 000 jeunes.
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Participation citoyenne à Bohicon: de jeunes apprenants désormais mieux aguerris á travers le projet CiTé.BJ

Mettre le numérique au service de la participation citoyenne, c’est le credo du Projet CiTé.BJ de l’Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB). Ce projet a réunit samedi 20 Juin 2020 une centaine de jeunes apprenants des Collèges d’Enseignement Général 1, CEG 3, CEG 5, CEG Sodohomè et CTR de la commune de Bohicon à travers une formation en Civic Tech.
Objectif, renforcé la participation citoyenne des jeunes par l’usage du numérique. A l’entame de la session, les jeunes apprenants répartis en quatre (04) salles de classe, ont été accueillis par les chefs d’établissement et les différents formateurs sous l’observance stricte des mesures barrières dans le contexte de pandémie liée au coronavirus Covid-19.
Pendant 04 heures de temps, ces jeunes participants ont reçu les notions basiques de la citoyenneté numérique et de la gestion du temps avec le téléphone portable Android. Conscients de ce que le numérique encourage via les réseaux sociaux la bonne gouvernance, la démocratie participative, les libertés individuelles et collectives, les jeunes apprenants massivement venus sont désormais mieux aguerris. D’ailleurs, ils promettent s’y engager de vrai dans un espace numérique, devenu le haut lieu des interactions humaines et sociale.
Rappelons que ce programme intitulé « Formation et actions en Civic Tech pour le renforcement de la participation citoyennes à Bohicon » est conçu sous la direction du projet CiTé.bj de l’Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB) et a bénéficié de l’appui technique et financier de la coopération allemande GIZ à travers son Programme d’appui à la Décentralisation et au Développement Communal (PDCC). Il a été conduit par le chargé de mission à la mairie de Bohcion, Géraldo DEHA, le Chargé de programme Laissy Melchisédech SALAMI et deux autres Jeunes leaders de la participation citoyenne, Carmel Alogan et Megan Valère SOSSOU.
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Le début d’une conscience verte Planter, Cest bien ! Entretenir, cest mieux !

Depuis son introduction dans les habitudes des béninois en 1985, il n’arrive un premier juin que des milliers de plants soient mis en terre, chose salvatrice. D’un gouvernement à un autre on a théâtralement assisté au même exercice. Mais à observer de près ou de loin le territoire béninois, les espèces végétales ne font que régresser de m2 en m2. Force est de reconnaître que la Journée de l’arbre n’a apporté aucune solution à la destruction accélérée du couvert végétal au Bénin, y compris des forêts protégées. En réalité, sur 10 000 et quelques plants mis en terre chaque année sous le prétexte de la journée de larbre, à peine 100 survivent. On pourra se demander dès lors là où le bas blesse. C’est visiblement au niveau de l’entretien et du suivi régulier que le problème se pose. Cependant, il urge de changer d’approche et de méthode. Le folklore, ça fait plusieurs années que ça dure et on ne peut plus faire semblant de continuer avec la méthode classique. La pandémie du Covid 19 qui trouve son origine dans le monde écologique peut ainsi nous pousser à réfléchir à autre chose, à mettre en place un tout autre scénario.
Si non, interrogeons-nous, combien d’hectares de forêt avons-nous restaurés ? Combien d’espace avons-nous véritablement reboisé ? Combien sont entretenus et préservés ? Personnellement, j’ai choisi ne mettre en terre aucun plant ce 1er juin 2020. Et pour cause, le bilan négatif du reboisement voulu, il y a 35 ans. Il y a des sites même prisés pour cet éternel recommencement. Je vous conseille de ce fait, de mettre en terre le nombre de plants que vous pourriez suivre incessamment de votre vie et là encore vous n’aurez pas vécu inutilement. Cest alors le début dune conscience verte que je vous inculque. A vos marques, Allez-y !
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