Femmes et Environnement : RASIPE-ONG lance le Projet d’Appui aux Femmes pour la Transformation du Moringa à Pèrèrè

Dans le contexte actuel des changements climatiques, les femmes constituent un levier important sur lequel l’humanité peut s’appuyer pour atteindre les objectifs du développement durable, notamment en ce qui concerne la conservation de la biodiversité et l’autonomisation de la gent féminine.

Vue d’ensemble des participants à la cérémonie de lancement officiel

Convaincue de cette réalité, l’ONG Recherche-Action en Système d’Information et Protection de l’Environnement (RASIPE-ONG) s’est engagée aux côtés des femmes rurales de la commune de Pèrèrè, à travers le Projet d’Appui aux Femmes pour la Transformation du Moringa (PAFTM), qui vise à renforcer les capacités des femmes de la commune, à promouvoir l’autonomisation économique et à améliorer leurs conditions de vie par la transformation et la commercialisation du moringa.

Réunies au sein de la Coopérative Donorou, les femmes bénéficiaires ont accueilli le lancement officiel dudit projet, ce mercredi 29 mai 2024, dans le village de Sonon, arrondissement de Guinagourou, commune de Pèrèrè. L’évènement a connu la présence du chef de l’arrondissement, du chef du village, des responsables du projet, des femmes bénéficiaires et de la référente de la Maison de la Société Civile du Borgou.

Cérémonie de lancement officiel

Dans son allocution, le président de RASIPE-ONG, Luc ADETONA, a salué la présence effective des participants avant de rappeler les objectifs à atteindre dans le cadre du projet. « Votre présence témoigne de votre engagement et de votre soutien indéfectible à l’égard de l’autonomisation des femmes et du développement durable de notre chère commune, Pèrèrè. Ce projet, fruit de plusieurs mois de préparation et de collaboration, est l’exemple parfait de ce que nous pouvons accomplir lorsque nous unissons nos forces autour d’un objectif commun », a-t-il déclaré. L’objectif étant, selon Luc ADETONA, de contribuer au développement socio-économique des femmes de la commune à travers la valorisation du moringa et la protection de l’environnement.

Pour le Chef d’Arrondissement, monsieur Gado LAFIA, le projet jouera un grand rôle dans l’autonomisation des femmes mais aussi dans la nutrition en milieu rural. « Je demande à RASIPE-ONG de penser à une extension du projet à d’autres villages de l’arrondissement si possible », a-t-il plaidé. Le chef de village, monsieur Gaoué SUANON, fier du choix porté sur sa localité pour abriter ce projet, n’a pas manqué d’exprimer toute sa satisfaction.

« C’est une immense joie pour moi, que les femmes de Sonon bénéficient de ce projet. Je ne peux que remercier les responsables du projet et les partenaires qui les soutiennent, et les bénir afin que de plus grandes portes leur soient ouvertes, pour que Sonon soit encore honoré dans les prochaines années », a-t-il exprimé. Tout en rassurant de sa disponibilité à accompagner la mise en œuvre du projet, Gaoué SUANON a exhorté les bénéficiaires à faire preuve de courage et d’engagement, afin que les objectifs visés soient atteints. Son message est visiblement bien reçu par les femmes de la coopérative qui, à travers leur présidente, ont exprimé toute leur gratitude à l’endroit de RASIPE-ONG.

Engagement des bénéficiaires

Au nom des bénéficiaires, Biba SANDA, présidente de la Coopérative, déclare: « Nous témoignons notre gratitude à RASIPE-ONG et à tous les partenaires qui accompagnent ce projet. Nous promettons de bien entretenir les plants de moringa, et de jouer pleinement notre partition, afin que les attentes de nos donateurs soient comblées ».

Visite de terrain

Caroline ADISSOTOUN, référente de la Maison de la Société Civile du Borgou et représentante des partenaires, a également exhorté les femmes bénéficiaires, de même que les autorités locales, à véritablement accompagner la mise en œuvre du projet, soulignant qu’ « une femme autonomisée, c’est toute une population qui en jouit ».

L’approche participative et interactive de la rencontre a permis aux participants d’exprimer toutes leurs préoccupations sur les différents aspects du projet. Des préoccupations auxquelles Luc ADETONA, président de RASIPE-ONG et chargé du projet, n’a pas manqué d’apporter des clarifications. La rencontre a pris fin par la visite du site d’implémentation du projet, où de jeunes plants de moringa oleifera poussent déjà depuis quelques mois, donnant l’espoir d’un avenir prometteur et durable pour ces femmes rurales battantes de la commune de Pèrèrè.

Faut-il le préciser, le Projet d’Appui aux Femmes pour la Transformation du Moringa est soutenu par la Maison de la Société Civile et principalement par l’Ambassade de France au Bénin, et sera mis en œuvre sur 10 mois. À travers ce projet, RASIPE-ONG contribue à l’atteinte des ODD 1, 2, 5, 12, 13 et 15 des Nations Unies, qui appellent à agir pour l’éradication de la faim, la lutte contre les changements climatiques, l’autonomisation des femmes et la conservation de la biodiversité.

Venance Ayébo TOSSOUKPE




Bénin: 173 migrants béninois reviennent au pays

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) au Bénin, en étroite collaboration avec le Gouvernement du Bénin, a facilité le retour volontaire de cent soixante-treize (173) migrants béninois (14 familles) de la Tunisie à travers son premier vol spécial humanitaire. Ce retour fut rendu possible grâce à l’initiative conjointe UE-OIM qui vise à renforcer la protection et les capacités des migrants de retour volontaire dans leur pays d’origine.

Retour des migrants béninois

Les migrants de retour ont été accueillis par les représentants du Ministère des Affaires étrangères, les représentants du Ministère de l’intérieur et de la sécurité publique, les représentants du Ministères des affaires sociales et micro finances et les représentants du Ministère de la santé, des représentants de la délégation de l’Union Européenne et La Cheffe de Mission de l’OIM Benin Madame Ndiaye Fatou Diallo.  

Madame Myrina Amoussouga Adam-Bongle, Directrice des Béninois de l’extérieur, exprime avec enthousiasme : « C’est avec une immense joie que nous accueillons nos compatriotes au pays »  

À leur arrivée, les migrants de retour volontaire ont reçu une assistance immédiate de l’OIM Bénin, comprenant la fourniture de nourriture, d’eau, de kits d’hygiène, d’un lieu d’hébergement ainsi que l’assistance pour leurs besoins immédiats comme le transport vers les zones de retour définitif, notamment Djougou et ses environs en attendant la seconde phase de l’assistance qui est la mise en place d’activités génératrices de revenu dans le cadre de leur réintégration.  

Après l’étape de la Tunisie où un travail préalable a été fait en termes de collecte d’information, Le personnel de l’OIM Benin a continué avec le processus d’enregistrement et de profilage. Cela permettra d’adapter l’assistance à la réintégration aux besoins des migrants de retour dans leurs communautés d’origine. En parallèle, les agents des Ministères en charge des Affaires Sociales et de la Santé en étroite collaboration avec le personnel de l’OIM Bénin ont apporté un appui psychologique et sanitaire aux migrants dans le besoin et effectué les orientations nécessaires.

Rencontre avec les autorités

Madame Ndiaye Fatou Diallo, Cheffe de mission OIM Benin, exprime sa gratitude envers le Gouvernement Béninois pour sa collaboration continue et dans l’organisation de ce retour volontaire de migrants. Elle souligne l’importance de cette initiative conjointe de l’Union Européenne et de l’OIM, car « elle offre aux migrants désireux de retourner dans leur pays la possibilité de le faire en toute dignité » a-t-elle déclaré. Mme Ndiaye insiste sur le fait «qu’il n’y a aucune honte à migrer, mais que cela devrait se faire de manière régulière et ordonnée » ajoute-t-elle.  

L’OIM et ses partenaires continueront de soutenir les migrants de retour dans l’élaboration de plans complets de réintégration, englobant les besoins économiques, sociaux et psychosociaux, et particuliers qui devraient inclure l’identification d’activités génératrices de revenus, le logement, l’éducation,  la formation professionnalisante  pour développer de petites entreprises et renforcement des compétences professionnelles acquises avant et/ou pendant le parcours migratoire ceci pour un potentiel d’insertion dans le marché du travail à travers les programmes de création d’emploi dans le secteur privé ou public.  

Monsieur Cissé Ahmadou, migrant de retour originaire de Djougou, exprime sa joie d’être de retour et encourage ses compatriotes à éviter les routes de la migration irrégulière. « Je n’encouragerai personne à emprunter cette voie, car moi seul sais ce que j’ai vécu lors de mon voyage », déclare-t-il. Avant son départ, Monsieur Cissé Ahmadou avait un travail qui lui permettait de subvenir à ses besoins. De retour à Djougou, il bénéficiera du soutien de l’OIM pour sa réintégration et envisage de reprendre son activité de commerçant.

Megan Valère SOSSOU




Frontière Bénin – Niger: les migrants paient un lourd tribu

La fermeture des frontières entre le Bénin et le Niger, décrétée pour des raisons de sécurité et de contrôle des flux migratoires, a des répercussions profondes sur les migrants et les communautés vivant dans ces deux pays d’Afrique de l’Ouest. Depuis l’instauration de cette mesure, les échanges humains, commerciaux et économiques, autrefois fluides, ont été drastiquement réduits, impactant directement les populations migrantes et leurs moyens de subsistance.

Frontière Bénin – Niger

Le Bénin et le Niger partagent une frontière longue et poreuse, traditionnellement traversée par des migrants pour des raisons économiques, culturelles et familiales. Ces deux pays, situés dans la région sahélienne, ont vu leurs économies et leurs sociétés interdépendantes se développer autour des flux migratoires réguliers. La fermeture de la frontière a mis un terme brutal à cette circulation, coupant l’accès aux marchés transfrontaliers pour des milliers de travailleurs et de commerçants.

Pour de nombreux migrants nigériens vivant au Bénin, la frontière représentait un lien vital avec leurs familles et leurs terres d’origine. Les allers-retours réguliers, qu’ils soient pour participer à des cérémonies familiales, transporter des marchandises ou envoyer de l’argent, étaient essentiels pour maintenir ces connexions. Aujourd’hui, avec l’impossibilité de traverser librement, beaucoup se retrouvent isolés, incapables de subvenir aux besoins de leurs proches restés au Niger.

Conséquences sociales et humanitaires

Sur le plan humanitaire, la fermeture des frontières entre le Bénin et le Niger exacerbe les conditions de vie des migrants, notamment ceux qui vivent dans des zones frontalières. Le manque d’accès aux soins de santé, aux services sociaux et aux aides humanitaires, déjà fragiles, s’est aggravé avec l’isolement provoqué par cette situation. De nombreux migrants se trouvent dans une impasse, incapables de poursuivre leur route vers des destinations plus prometteuses ou de retourner chez eux.

La fermeture a également engendré des tensions sociales entre migrants et communautés d’accueil, en particulier dans les zones urbaines comme Cotonou et Niamey, où la compétition pour les ressources économiques et les emplois est devenue plus rude. Ce climat tendu contribue à une marginalisation accrue des populations migrantes et à des risques accrus de xénophobie.

Face à ces défis, les autorités béninoises et nigériennes, ainsi que les organisations internationales, devront envisager des solutions concertées pour rouvrir progressivement les frontières, tout en assurant la sécurité régionale. La migration, loin d’être un problème, reste un moteur de développement pour les deux pays. Une gestion plus inclusive et coordonnée des flux migratoires pourrait non seulement protéger les migrants, mais aussi renforcer les liens économiques et sociaux entre le Bénin et le Niger.

En attendant, les migrants, pris dans l’étau de la fermeture, continuent de subir les conséquences économiques et sociales de cette situation, en espérant que des solutions durables soient rapidement trouvées pour alléger leur fardeau.

Megan Valère SOSSOU




Santé : Tout savoir sur l’ostéoporose, une maladie insidieuse et peu connue

L’ostéoporose est une maladie insidieuse et méconnue, qui touche des millions de personnes à travers le monde. Elle est caractérisée par une diminution de la densité osseuse et une détérioration de la structure osseuse, rendant les os fragiles et susceptibles de fractures. Souvent asymptomatique jusqu’à ce qu’une fracture survienne, elle est souvent appelée maladie silencieuse.

Plusieurs facteurs contribuent au développement de l’ostéoporose, notamment l’âge, les antécédents familiaux, les hormones, la nutrition et le mode de vie. Selon le Dr. Marie Lambert, rhumatologue, spécialiste des maladies osseuses, les femmes ménopausées et les personnes âgées sont particulièrement à risque en raison des changements hormonaux et de la diminution de l’activité physique observée chez ces dernières.

« Les symptômes de l’ostéoporose peuvent passer inaperçus jusqu’à ce qu’une fracture survienne », a déclaré le Dr. Marie Lambert. Cependant, des signes tels que des fractures fréquentes, une diminution de la taille et des douleurs dorsales peuvent alerter sur la survenue du mal. Le Dr. Lambert souligne également l’importance de la prévention. « Il est crucial de reconnaître ces signes précoces et d’adopter des mesures préventives pour réduire le risque de fractures futures », a-t-il souligné.

La prévention de l’ostéoporose nécessite également d’adopter un mode de vie sain. Cela inclut un régime riche en calcium et en vitamine D, des exercices physiques réguliers, l’arrêt de la consommation de tabac, une consommation modérée d’alcool et des visites régulières chez le médecin pour évaluer la santé osseuse.

Pour le Dr. Marie Lambert, « la prévention est la clé ». Il conseille de consulter un professionnel de la santé pour évaluer le risque d’ostéoporose et de discuter des mesures préventives adaptées à sa situation individuelle en cas de nécessité.

L’ostéoporose peut donc être dévastatrice, mais en comprenant ses causes, ses symptômes et en prenant des mesures préventives, il est possible de réduire son impact sur la vie des victimes.

Elysée HOUNSOU




Retour sur le Forum Régional des Médias sur la Santé Infantile, la Vaccination et la Nutrition à Cotonou

Le vendredi 22 décembre 2023, la salle de conférence de l’UNICEF Bénin a servi de cadre à l’atelier de restitution de Cotonou sur le premier Forum Régional des Médias sur la Santé Infantile, la Vaccination et la Nutrition. Un rendez-vous important qui a rassemblé une vingtaine de journalistes, membres du REMAPSEN, toutes catégories de presse confondues.

Dans son discours d’ouverture, Mickael TCHOKPODO, le coordonnateur national du REMAPSEN au Bénin, a souligné le rôle essentiel de l’UNICEF dans la concrétisation de cet événement. « Si l’initiative du forum a prospéré, c’est grâce au soutien indéfectible du bureau régional de l’UNICEF, qui a vu dans l’idée de ce forum la preuve de l’engagement des journalistes pour une cause noble : les enfants, l’avenir de toute nation », a-t-il déclaré. Il a également exprimé sa conviction que cet atelier marquera le début d’une collaboration durable entre l’UNICEF Bénin et le REMAPSEN Bénin.

Aude Rigot, Cheffe du Bureau UNICEF Bénin, a ouvert officiellement l’atelier en félicitant la coordination du REMAPSEN Bénin pour le respect de son engagement. Elle a salué l’organisation de l’atelier de restitution du premier forum des médias sur la santé infantile, la vaccination et la nutrition, qui s’est tenu du 21 au 23 novembre 2023 à Lomé, au Togo. C’est une chance pour le REMAPSEN de tenir cet atelier à quelques jours du prochain cycle de programme de Coopération 2024 – 2026 de l’Unicef Benin.

Au cœur des débats, un panel dédié à la santé infantile, la vaccination, et la nutrition au Bénin, animé par les experts Nicole Paqui, Bonaventure Muhimfura, et Amany Faustin Yao. Cet atelier a été l’occasion d’échanger sur l’état des lieux, les progrès réalisés, et les perspectives à venir en matière de santé infantile en Afrique de l’Ouest et du Centre, ainsi que sur la vaccination des enfants et la nutrition.

De façon générale, il est à retenir que de 2019 à 2023, des avancées significatives ont été accomplies en termes de baisse de la mortalité des enfants de moins de 5 ans, passant de 115 pour mille en 2014 à 80 pour mille en 2022, soit une réduction de 35 points.

Malgré ces progrès encourageants, il demeure impératif de persévérer les acquis, car certaines données continuent de susciter des inquiétudes. Notamment, le constat selon lequel 43% des nourrissons de moins d’un an n’ont pas bénéficié de tous les vaccins recommandés demeure préoccupant. De plus, il est alarmant de noter qu’un sur deux enfants de moins de 5 ans présente un retard de croissance, signalant ainsi une problématique persistante à résoudre.

La rencontre a également été marquée par la lecture des recommandations issues du forum régional porté sur le thème « Rôle et responsabilité des médias dans la promotion de la santé et de la nutrition en Afrique ». Ces recommandations offrent une feuille de route précieuse pour les médias engagés dans la promotion de la santé en Afrique.

Cet atelier de restitution à l’UNICEF Bénin est une preuve de plus de l’engagement des médias béninois en faveur de la santé des enfants, de la vaccination et de la nutrition. Il témoigne du pouvoir des médias dans la sensibilisation et la promotion des enjeux sanitaires. Un rendez-vous qui laisse entrevoir une collaboration fructueuse entre l’UNICEF et le REMAPSEN Bénin.

Megan Valère SOSSOU




Projet SE WADEDJI BOGAN : Savalou désormais mieux informé sur la vaccination

La pandémie de la COVID-19 a laissé des cicatrices profondes à travers le monde, tant en termes de vies humaines perdues que d’impacts économiques dévastateurs. Les tentatives de contenir la propagation du virus ont conduit au développement de vaccins, bien que l’acceptation universelle de ces derniers demeure un défi. Des informations erronées circulant dans l’opinion publique ont semé le doute quant à la sécurité des vaccins, engendrant une psychose qui persiste jusqu’à ce jour. Cette méfiance envers la vaccination se reflète également au Bénin, et plus particulièrement dans la commune de Savalou, où les taux de vaccination demeurent insatisfaisants.

Dans le cadre du concours « Stop fakes news, tous vaccinés, tous sauvés », les jeunes U-reporters de l’ONG Save Our Planet ont lancé officiellement le projet SE WADEDJI BOGAN à Savalou le samedi 18 novembre 2023. Ce projet vise à sensibiliser la population sur l’importance de la vaccination et à contrer les fausses informations liées à la COVID-19.

La salle de réunion de l’arrondissement Aga a été le lieu choisi pour le lancement officiel du projet SE WADEDJI BOGAN à Savalou. Cette initiative a été suivie d’une campagne de sensibilisation à l’importance de la vaccination et la lutte contre les fausses informations, déployée à Savalou Centre et à Savalou Ouest (Tchetti) les 18 et 19 novembre 2023. L’objectif principal était d’informer la population sur l’importance de la vaccination, de démystifier les rumeurs entourant la COVID-19 et de partager des outils et techniques de vérification des fausses informations.

Sensibilisation à Savalou Centre

De nombreux habitants, qu’ils soient élèves, enseignants ou artisans, ont participé activement à ces séances. Certains ont partagé leurs préoccupations initiales quant à la vaccination, mettant en lumière les craintes de risques potentiels pour la santé après la vaccination. Générose DJAHOTO, participant à Tchetti, a témoigné : « Au départ, j’ai hésité, j’ai même refusé carrément que je ne ferai pas la vaccination. Il a fallu d’abord que mon papa aille se faire vacciner, avant que moi-même je ne prenne la décision de le faire. » Abel HOUNNOU, un autre participant, a ajouté : « Par exemple, moi, le jour de la vaccination, ma maman m’appelait et me disait de ne pas me faire vacciner. »

Megan Valère Sossou, lors de sa communication, a souligné l’importance cruciale de la vaccination et a partagé des techniques de vérification des fausses informations liées à la COVID-19. Il a également mis en avant la nécessité de poursuivre les vaccinations de routine, englobant diverses maladies aussi dangereuses que la COVID-19. Les participants, désormais mieux informés, expriment leur soulagement quant à la vaccination et soulignent l’importance de la vérification constante des informations pour éviter de contribuer à la désinformation.

Sensibilisation à Tchetti

Mirabelle ADJI, participante à Savalou Centre, a déclaré : « Je suis fière d’avoir participé au projet SE WADEDJI BOGAN. Je suis contente des informations qu’on m’a données à propos de la vaccination. J’en parlerai avec mes amis ». Thierry DADEGNON a promis : « Avec tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, je vais pouvoir sensibiliser mon entourage que c’est bon de se faire vacciner et d’être vigilant par rapport aux fausses informations. »

Les participants, munis de leurs attestations de participation, ont exprimé leur gratitude à l’ONG Save Our Planet d’avoir choisi la commune de Savalou pour cette initiative.

Il est à rappeler que le projet SE WADEDJI BOGAN bénéficie du soutien de l’Unicef Bénin et de l’Ambassade de la France au Bénin avec pour objectif de lutter contre la désinformation en sensibilisant la population sur l’importance de la vaccination et la lutte contre les fausses informations.

Venanace Ayebo TOSSOUKPE




Les Jardins de l’Espoir recrute des experts et des prestataires de services pour l’initiative AQSAEP

Le projet Initiative d’Assurance Qualité et de Maîtrise Financière des Systèmes d’Agroécologie Paysanne « De la Fourche à la Fourchette » a été approuvé en juin 2022 par le Global Greengrants Fund (GGF), sur recommandation du Agroecology Fund (AEF).

Son objectif est de mettre en place un modèle d’assurance qualité agroécologique réplicable à l’échelle régionale (AQSAEP) et d’accroître durablement les revenus des agroécologistes, tout en renforçant leur résilience face aux effets du changement climatique. 

Dans le cadre de la capitalisation des acquis de ce financement, l’organisation Les Jardins de l’Espoir a élaboré plusieurs fiches cette année sur des thématiques précises. 

Pour assurer la bonne réalisation des opérations de ce projet, il est prévu de recruter des consultant(e)s ou cabinets de consultation, des employés, ainsi que des prestataires de services. Le présent avis est publié pour le recrutement des expert(e)s ou cabinets, d’employés et de prestataires de services en vue de l’exécution des activités prévues dans le cadre du projet.

Retrouvez ici l’intégralité du communiqué d’appel à candidature

Megan Valère SOSSOU




Pollution & Gaspillage : les fêtes de fin d’année sont elles écolo?

EcoCitotens TV se doit de faire une campagne de sensibilisation à une consommation plus sobre et plus raisonnée. Les béninois commencent à consommer de manière exponentielle des produits de tous genres ainsi nous tendons vers une surconsommation pendant que animaux et végétaux disparaissent à un rythme inquiétant, les sols arables s’épuisent, nos déchets polluent l’air, l’eau et le sol, le climat se dérègle au point de menacer la vie un peu partout sur Terre.  Nous devons impérativement réduire notre consommation.
Nous vous invitons donc à vous inspirer de cette proposition pour un Temps des fêtes sans achat à outrance. Mise en pratique dès maintenant, la simplicité nous épargnera non seulement des vendredis noirs, mais, et surtout, un avenir plus que sombre.

Les fêtes de fin d’année avec ses atteintes à l’environnement

Les fêtes de fin d’année vont (très) vite arriver et c’est tant mieux ! Ce sera pour toujours un temps de pause et de retrouvailles avec la famille et les copains, bien ancré dans la tradition. Mais cette année est un peu différente pour moi : j’ai une grosse envie de changement. Depuis un bon temps je m’inquiète beaucoup pour notre avenir, et comme vous le savez, toutes les informations qui passent sur le changement climatique me touchent et je commence à saisir ma propre responsabilité dans ce désastre.
Alors voilà, mon souhait le plus cher pour cette fin d’année : passer un Noël qui tende le plus possible vers le zéro déchet. Concrètement pour les cadeaux que vous ne manquerez pas de vous offrir, ça implique : zéro cadeau en plastique, zéro produit du bout du monde, zéro piles, zéro emballage.

Avec le flot de l’offre commerciale en ces temps ci, il y a toujours le choix entre payer et acheter, faire des sorties sport ou culture, des produits locaux, utiles et éthiques.
Vous me connaissez bien et vous vous dites que j’exagère, que je veux certainement être en première ligne de la transition écolo et que je devrais balayer devant ma porte avant de faire la morale aux autres. Vous avez entièrement raison et je suis loin de la perfection, c’est pour ça justement que j’ai besoin de vous ! Nous pouvons prendre le temps d’en reparler ensemble en particulier.
Il faut tourner le dos à l’achat de nourriture non nécessaire qui finira probablement aux poubelles et de produits qui ne seront utilisés que rarement et qui seront oubliés au fond du garde-manger ou du réfrfêtes
teur.

Gaspillage et pollution pendant les fêtes

Par ailleurs, pour aller plus loin dans la lutte au gaspillage et à la pollution, il faut viser une meilleure efficacité de nos terres en se tournant vers une alimentation à base de végétaux et la plus près de nous possible. D’abord, c’est selon moi un non-sens d’utiliser autant de ressources (eau, nourriture, surface agricole, carburant pour le transport, etc) pour élever du bétail. Une alimentation à base de plantes utilise les ressources d’une manière beaucoup plus efficace et celle-ci s’inscrit donc mieux dans la philosophie minimaliste. De plus, s’approvisionner via des sources locales diminue le transport associé aux aliments et permet une plus grande proximité avec le producteur et donc, une moins grande dépendance aux aliments importés. L’alimentation dans la sobriété permet donc d’économiser, d’être en meilleure santé et d’avoir un impact environnemental plus faible. Sur ce, EcoCitoyens TV vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année.🤗

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Santé saine en 2020 : Voici les 10 principes à adopter

Certaines mauvaises habitudes alimentaires sont dommageables à votre santé. Pour remedier au fait, nous vous proposons  d’éviter certaines habitudes pour que 2020 soit une année de santé pour chacun de vous.

1.Tous les aliments que vous consommez après 20h sont comme du Poison pour votre corps.

2.Si vous pouvez suivre la thérapie de l’eau pendant 3 mois religieusement, votre peau, votre corps et vos organes commenceront à fonctionner bien.

3.Savez-vous que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée; Si vous devez sauter un repas, ça ne devrait pas être le petit déjeuner.

4.Savez-vous que trop de viande rouge est très dangereux pour votre santé.

5.Savez-vous les gens qui sourient toujours vivent plus longtemps, ont l’air  plus jeune et sont plus en bonne santé.

6.Pour chaque bouteille de boisson gazeuse que vous consommez, vous venez de prendre 9 cubes de sucre, et cela prend 7 jours pour que cela sorte de votre corps; Les hommes augmentent leur probabilité d’avoir une crise cardiaque de 20 pour cent.

7.La viande frite est un tueur, dommageable pour votre corps.

8.Les personnes qui ne prennent pas le petit déjeuner auront un taux de glycémie inférieur.

9.Tenir vos urines lorsque vous êtes censé lâcher est une autre façon pour vs vous d’endommager votre foie.

10. Ajouter du sel dans votre nourriture quand elle est déjà servie est
Une autre façon de vous empoisonner lentement les organes vitaux.

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Projet Educ’Eco de Brunelle Guezodjè : de l’idée à la réalité

Le projet Educ’ Eco de Brunelle Guezodjè, gagnante du concour Week Eco, a vu le il y a une semaine jour pour jour (lundi 09 décembre).
La cérémonie de lancement qui a eu lieu à SOS village des enfants de Dassa. Etaient présents, le premier adjoint au maire de Dassa, le chef du 1er arrondissement, le directeur programme de SOS village des enfants, la coordinatrice de SOS Village des enfants, le directeur de l’école Synergie des grâces, le point focal  Ecolo Trip, les enseignants et les enfants.

Objectif du projet rappelé par Brunelle Guezodjè est de promouvoir le développement durable à travers l’éducation environnementale à la base. Pour les autorités présentes, le projet Educ’Eco est à saluer et à intensifier pour une prise de conscience écocitoyenne à la base. Selon Ludovic Bekou, Formateur et Coach du programme Femme Impact, les gestes les plus basiques et les plus nobles sont celles qui font de notre environnement sain et propre.


 Séance de salubrité en avec les écoliers

Ainsi, à SOS village des enfants de Dassa, de la sensibilisation à la salubrité en passant par les ateliers de bricolage, de fabrication des papiers à crayon,  à l’organisation d’un concour au profit des enfants excéllents où la remise du prix de l’excellence à Djiwa Farid de l’école Kake 5, l’objectif est globalement atteint.


De la remise du prix de l’excellence

Les enfants sont pleinement engagés déjà pour défendre notre environnement. Nous pouvons confirmer que la relève est assurée dxit Brunelle Guezodjè porteuse du projet Educ’Eco. Rappellons que le projet Educ’Eco a couvert les communes de Savalou et de Dassa avec 4 écoles.

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Camp des Jeunes Scientifiques du Bénin : Pari gagné pour le Dr Victorien DOUGNON et les siens

La 1eme édition du camp des jeunes scientifiques du Bénin a eu lieu du 13 au 14 décembre 2019 à l’UAC. Organisée par l’Académie des Jeunes Scientifiques du Bénin, cet évènement a réunit 114 jeunes scientifiques de divers domaines et sélectionnés sur 300 et quelques jeunes. Il a été l’occasion pour les panelistes (Professeurs d’université) de renforcer le niveau des jeunes sur certains aspects de la rédaction scientifique, du leadership scientifique et beaucoup d’autres thématiques.

A l’issue des échanges, plusieurs recommandations ont été faites pour une jeunesse scientifique au service du développement du Bénin. Le Président Dr Victorien Dougnon et le Sécretaire Général Dr Jean Robert Klotoe à la clôture de l’évènement se sont montrés satisfaits du dynamisme des jeunes et ont pris l’engagement de réediter cette rencontre. Ils ont pour leur part prodiguer des conseils aux jeunes (Se mettre en équipe, aux femmes de s’organiser autrement pour s’autonomiser, de rester humble et surtout d’avoir les qualités d’un leader scientifique).

Rappellons que, votre serviteur Megan Valère SOSSOU y était en tant que non seulement Jeune chercheur en Agroclimatologie mais aussi au titre de journaliste d’investigation scientifique. Les yeux sont désormais  rivés sur la prochaine édition

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COP 25 : Stop et fin! La montagne accouche d’une souris

La conférence climat de l’ONU qui s’est terminée dimanche à Madrid n’a pas été à la hauteur de l’urgence climatique, adoptant un accord a minima sans s’entendre sur des points essentiels en raison des réticences de certains États.

« Je suis déçu du résultat de la COP25 », a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres dans un communiqué.

Déception planétaire?

« La communauté internationale a raté une occasion importante de faire preuve d’une ambition plus grande en matière d’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre), d’adaptation et de financement de la crise climatique », a-t-il insisté. « Nous ne devons pas abandonner, et je n’abandonnerai pas. »
Après une année marquée par des catastrophes climatiques tous azimuts, les appels vibrants de millions de jeunes descendus dans la rue derrière la jeune Suédoise Greta Thunberg, et des rapports scientifiques toujours plus glaçants, les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris étaient sous une pression sans précédent pour cette COP25 présidée par le Chili, mais délocalisée à Madrid en raison de la crise qui frappe le pays d’Amérique du Sud.

La montagne a accouché d’une souris.

Malheureusement au terme de cette conférence qui s’est prolongée de plus de 40 heures son programme initial, tout le monde n’a pas vu dans les textes adoptés dimanche le reflet de cette demande d’actions urgentes et immédiates.
Le texte final appelle effectivement à des « actions urgentes » pour réduire l’écart entre les engagements et les objectifs de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +2 °C, voire +1,5 °C. Mais le langage est « tortueux » et le résultat « médiocre », a estimé Catherine Abreu, du Climate Action Network.

« Les principaux acteurs dont on espérait des avancées n’ont pas répondu aux attentes », a déclaré Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris, notant toutefois que l’alliance des États insulaires, européens, africains et latino-américains, avait permis d’« arracher le moins mauvais résultat possible, contre la volonté des grands pollueurs. »

Un tout pétit pas vers l’avant

Un projet de texte sur les ambitions présenté samedi par la présidence chilienne avait provoqué une levée de boucliers de ces États, forçant à un nouveau round de consultations
L’UE doit maintenant s’atteler à la tâche de présenter en 2020 un rehaussement de ses engagements pour 2030, ce qui pourrait donner le signal à ses partenaires internationaux de suivre l’exemple.
Et méme chez en Afrique, l’Union Africaine doit prendre des mesures pour l’urgence climatique et surtout de la justice climatique.

Quels risques?

Au rythme actuel des émissions de CO2, le mercure pourrait gagner jusqu’à 4 ou 5 °C d’ici la fin du siècle. Et même si les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris respectent leurs engagements, le réchauffement pourrait dépasser les 3 °C.

Que faire?

Alors pour tenter de réduire cet écart, tous les États doivent soumettre d’ici la COP26 à Glasgow l’année prochaine une version révisée de leurs plans de réductions d’émissions. Mais les deux semaines de discussions ont mis en pleine lumière une division flagrante au sein de la communauté internationale en matière d’ambitions.

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Journées EcoCitoyennes du Bénin : Pari gagné pour Dev Energy plus

Ouverture hier de la première édition des Journées Ecocitoyennes du Bénin (JEB) organisée par Dev Energy en partenariat avec Konrad Adenauer à Bénin Royal Hotel à Cotonou.

Ce grand évènement a réunit une centaine de participants nationaux et internationaux au nombre desquels nous pouvons citer des élus-locaux, les coopératives de femmes, les acteurs de la société civile, les ministères de l’environnement, de l’eau et de l’agriculture, les chefs de projets, les chercheurs, les formateurs, les entrepreneurs et des personnels d’organismes d’encadrement de onze (11) nationalités diffférentes d’Afrique  le Sénégal, le Togo, le Cameroun, le Niger, le Guinée, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso,Nigéria,Congo,le Mali et bien-sûr, le Bénin qui mettent incessement en œuvre les principes de l’agriculture durable et de la sécurité alimentaire.

Après avoir souhaité la bienvenue aux participants, M. Wakil OLOULADE, Manager de Dev Energy Plus et Promoteur des Journées Ecocitoyennes du Bénin a remercié l’assistance pour l’intérêt porté au forum, avant de rappeler le contexte ayant donné naissance au projet.


A sa suite, Dr. Armand FOPAH LELE, représentant la KONRAD ADENAUER STIFTUNG a essentiellement consacré son mot de bienvenue à la présentation de ladite fondation, ainsi que ses objectifs.

Enfin, la chargée de Projet Madame Carine FALOLOU a rappelé les objectifs des Journées Ecocitoyennes du Bénin, qui ne sont rien d’autres que de :
• Rassembler les synergies entre les différents acteurs qui œuvrent pour la sécurité alimentaire et la lutte contre les changements climatiques.
• Échanger les savoirs et les savoir-faire locaux sur la question du changement climatique, des énergies renouvelables et de la sécurité alimentaire ;
• Proposer des actions à soutenir en faveur de la protection de l’environnement ;
• Professionnaliser les éducateurs à l’environnement ;
• Promouvoir les acteurs de l’environnement en leur offrant une plate-forme d’expression ;
• Susciter des actions communales en vue d’une ville écologique locale et utile ;
• Transmettre des recommandations aux décideurs politiques à travers une déclaration.

Du grand forum scientifique international
Deux panels ont agrément le grand forum scientifique de l’évènement. Le premier a permit aux participants et aux panelistes à savoir Dr Abdoul Salam Koroney de la FSA université de Tilaberi au Niger ; Dr Expédit AGO de la FSA UAC au Bénin d’évaluer la vulnérabilité de la sécurité alomentaire et nutritionnelle aux effets des changements climatiques.
Le second et le dernier panel de la première des Journées EcoCitoyennes du Bénin a été l’occasion pour Dr Hervé Wouapi de l’université de Dschang Cameroun, M. Rivaldo Kpadonou de Green Expertise Bénin et  Mme Judith Bossouvi de la MAEP Bénin de passer en revue dans une ambiance conviviale, les réponses possibles aux défis que représentent le changement climatique pour la sécurité alimentaire surtout en terme d’adaption.
Il faut rappeler que les débats autour des deux panels ont été assez nourris et que pour cette seconde et dernière journée deux autres panels restent à animer pour éclairer les zones d’ombre des participants les thématiques cohérencs des politiques et des interventions relatives au nexus climat alimentation par Harry Jeer Jr VIDEROT de Talent Incubato Bénin, M. Reish Vanel Attipo de ONG OJED Congo et du Dr Edmond Sossoukpe de l’UAC Bénin. Le second par M. Serge Houndonougbo Coordinnateur Projet Biomasse Electricité, du Dr Léonide Sinsin DG ARESS Bénin et de M. Bérenger Amoussou de l’UAC Bénin.

Des stands bien animés et riches en solutions environnementales
A la suite, les participants ont été conviés à faire le tour des stands pour découvrir les différentes possibilités qui s’offrent à eux.
Une quirielles de solutions environnementales sont exposées à savoir:
Africa Immo, qui crée en collaboration avec ses clients (vous) des plantations clés en main avec ou sans terrain. Il s’agit là d’investir dans les tecks et anacardiers qui vous procurent des revenus substantiels.

La Collection K’Omou, qui vous propose des serviettes hygiéniques lavables et durables. Elles viennent en réponse aux serviettes hygiéniques jettables qui polluent l’environnement. De plus, les serviettes de la collection K’omou sont facile à laver, efficaces, économiques, écologiques, confortables et surtout hygiéniques.

N’Sac, vous offre des sacs biodégradables faits à base de papier de ciments en plus de leurs résistances, les sacs de N’Sac sont durables et adaptés à vos besoins.

Soulignons tout de même que le forum scientifique international des journées écocitoyennes du Bénin, s’inscrit dans le cadre du Programme Régional Sécurité Energétique et Changement Climatique en Afrique Subsaharienne, Konrad Adenauer Stiftung.

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Drame à Pèrèrè : Voici comment un chasseur a tué un pétit garçon

Comment se promener dans les bois, la brousse, les forêts, les savanes etc.. sans se faire tirer dessus? 
La question qui taraude l’esprit des béninois à l’annonce de ce drame à Pèrèrè au nord Bénin où un petit garçon a été abattu par un chasseur ce dimanche. Le chasseur dit l’avoir confondu à une pintade. Le garçon est mort sur le coup. Le tireur est mis aux arrêts. La chasse au Bénin reste l’activité qui menace plus la sécurité publique. N’y a t il pas des dispositions qui reglementent l’activité? La détention d’arme ne préoccupe par nos gouvernants? A t on une statistique des nombreux animaux qui disparaissent suite à la chasse? Combien de gens sont morts en sourdine dans cette activité criminelle.
Des interrogations pourtant pertinentes qui ne trouveront pas de réponses favorables.
La biodiversité béninoise disparait ainsi silencieusement.
Il nous faut, si l’activité doit exister, réglémenter le port d’arme de chasse. Revoir la liste des animaux supposés être chassés. Nous avons le droit de circuler dans l’espace vert, dans la végétation qu’on s’efforce de protéger.
Vivement que cette affaire ne passe pas sous silence. EcoCitoyens TV invite les citoyens béninois surtout les pratiquants de la chasse à plus de vigilance et de prendre conscience de l’atteinte de l’activité de chasse sur l’équilibre écosystémique. Toutes nos condoléances à la famille brusquement éplorée.
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COP 25 : Récapitulatif des débats du vendredi et du Samedi

Les ambitions des NDCs, entendez  »contributions nationales déterminées en débat le vendredi passé à Madrid. Initiée par le Président de la COP 25, Mme Carolina Smimmicht cette rencontre avec les pays parties, avait pour but, de discuter des efforts globaux visant à lutter contre le réchauffement climatique et de partager des points de vue sur les voies et moyens pour réduire l’écart d’ambition à l’horizon 2020 et un debat ouvert axé dur les opportunités en harmonie avec le développement économique et social, pour allier les 3 piliers du développement durable. 

Les représentants de gouvernement, associations et points focaux des CDNs pays ont pris part à la rencontre.
Il ressort de l’avis général, que des efforts doivent encore être fournis au plan national de chaque pays, si on veut atteindre les objectifs de réduction de co2, responsable du réchauffement climatique. C’est donc avec beaucoup d’interrogations, mais surtout de scepticisme que cette rencontre bilan et perspective, si on puis dire de la mise en oeuvre des efforts relatifs aux contributions nationales déterminées, s’est achevée.
Toujours le vendredi passé………….

 »La finance- climat pour une mise en oeuvre effective des CDNs en Afrique de l’Ouest », est le thème au centre du débat.
La vulnérabilité des pays de la sous-région, le rôle des institutions, la place des femmes et des jeunes dans cette littéraire étaient au coeur de la rencontre.
Ainsi, s’agissant de la mise en œuvre, le dispositif institutionnel, la révision  »pre-2020 » est prévue pour des pays comme le Niger, la Guinée ou encore le Mali.
Pour les défis, la qualité des données climatiques, la participation effective de l’ensemble des acteurs, le renforcement et l’application du cadre réglementaire, le transfert de technologies et le dispositif communicationel, ont été mentionnés.
Dans une telle situation, les institutions régionales, doivent intervenir en instituant des plate formes d’échanges, en vue de favoriser  »la solidarité régionale » dira l’intervenant.

Au demeurant, il ressort le besoin d’une réflexion stratégique et une dynamique à enclacher pour la mise en oeuvre effective des CDNs au niveau des pays de la sous- région ouest africaine.
Les flux financiers et multilatéraux, au niveau global et africain, n’ont pas été occultés. Au cours des débats, les participants ont voulu savoir davantage sur la finance climat en Afrique de l’ouest, les procédures de financement, et l’implication des femmes dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans l’espace CEDEAO.
Hier Samedi………..

L’Autorité du Bassin du Niger (ABN) qui regroupe plusieurs pays du bassin du Niger était au pavillon de la francophonie hier, samedi. Objectif, déterminer le rôle des parlementaires et des institutions de financement dans la protection du fleuve victime des actions anthropiques, la lutte contre le réchauffement climatique dans le bassin, dont des millions de personnes en dépendent étaient parmi les interventions.
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Aménagement et Conflits liés à l’eau dans les bas-fonds à Kandi : Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE dévoile les résultats de sa recherche

L’eau, ressource indispensable dans tous les domaines d’activités et inégalement partagée continue d’être à l’origine de plusieurs conflits communautaires.  C’est justement, ce à quoi s’est intéressée la recherche de ce jeune scientifique.
En effet, ce Samedi 07 Décembre à l’Université de Parakou, Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE a soutenu les résultats de sa recherche en Géophysique portée sur le thème : « Problématique d’aménagement et conflit de l’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi » devant un jury composé de trois membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU Examinateur, le Professeur VOUDOUNOU Jean Bosco Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur.
Après avoir rappelé l’objectif de son étude qui consiste à contribuer à l’aménagement et à la gestion des conflits d’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi, l’impétrant s’est évertué à presenter les résultats de sa recherche qui se résument comme suit : les bas-fonds sont fortements exploités par divers acteurs ainsi, les conflits qui naissent de l’usage de l’eau se règlent plus à 34% à l’amiable contre 28% au tribunal dans le même temps, 38 % des exploitants règlent autrement leurs conflits.

Selon son étude, la proximité de la population aux sites d’exploitations, la disponibilité des produits maraichers de contre saison, la création d’emploi pour les manœuvres constituent des facteurs indispensables à l’aménagement des bas-fonds pour non seulement enrayer les conflits destructeurs mais aussi permettre un développement des communautés riveraines.

L’impétrant qui n’est pas à sa première recherche, puis qu’il a bientôt deux mois qu’il a soutenu un autre mémoire de Licence Professionnelle à l’Ecole Nationale Supérieur d’Aménagement et de Gestion des Aires Protégées (Ex ANSAGAP), Option Faune et Flore sur le thème « Analyse diagnostique de la conservation des chauves souris dans la ville de parakou et ses environs.

Après quelques échanges meublés de questions-réponses, le jury largement satisfait de la brillante présentation des résultats de cette recherche, sanctionne les mérites de l’impétrant par la mention Très bien avec une note de 16,50/20. Une bonne nouvelle qui enchante parents et amis venus nombreux pour le soutenir.

Dans cette foule joyeuse, l’heureux du jour nous déclare être fier du travail abattu et n’entend pas s’arrêter en si bon chemin dans la recherche scientifique. Cette recherche scientifique qui contribue au développement durable si et seulement si les gouvernants s’approprient les résultats et les appliquent a t – il ajouté.

Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE, un jeune scientifique au parcours hors pairs, force l’admiration
Rappelons que Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE  puis que c’est de lui qu’il s’agit ex Directeur Exécutif de l’ONG Tourisme Education et Protection de l’Environnement au Bénin, est le Président en exercice de l’Association Internationale des Etudiants en Agronomie et Sciences Connexes. Il est également l’actuel Coordonnateur de service de transformation agroalimentaire de l’ONG OLA AFRICA, et Chargé à la communication et à la formation de l’ONG Environnement Vert pour un Développement Durable. A cela s’ajoute sa qualité de grand orateur de l’espace UEMOA.
Vous souhaitez prendre contact avec l’impétrant? Tel: +229 67 38 78 06
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De la justice climatique pour nos enfants : une production du Journaliste Ernest AGBOTA

Nul doute que le changement climatique affecte sur tous les plans la vie de nos enfants. En raison de leur vulnérabilité à faire face aux multiples assauts du rechauffement climatique, les enfants développent des maux parfois fatales. A cet effet, il urge de mettre en place des  mesures réparatoires et solidaires envers ces derniers. C’est ce qui est appelé ici, rendre la justice climatique. 

Et c’est absolument fort de cela que, Ernest AGBOTA, Journaliste à l’Office de Radio et télévision du Bénin Antenne de Parakou  a réalisé une production pour inciter à une justice climatique pour nos enfants. Un travail bien fait qui lui a valu le 1er prix de la catégorie Radiodiffusion du concour de l’UPMB en partenariat avec l’UNICEF, en prélude à la célébration des 30ans de l’adoption de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE). Voici la version audio👉 https://soundcloud.com/prince-ernest-agbota/de-la-justice-climatique-pour-nos-enfants
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Approvisionnement en eau potable à Parakou : Iskadarou PARAPE CHABI expose les résultats de sa recherche

L’eau, un élément indipensable à toute vie, était au centre d’une étude dont les résultats ont été dévoilés au grand public. En effet, le mardi 03 Décembre dernier à l’Université de Parakou, l’étudiant PARAPE CHABI  Iskadarou a soutenu les résultats de son thème intitulé: « Approvisionnement en eau de surface dans la commune de Parakou: Cas de la SONEB » devant un jury composé de deux membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU, Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur. 

L’étudiant n’a pas offusqué l’objectif de sa recherche, celui d’évaluer les systèmes d’pprovisionnement en eau de surface existant dans la commune de Parakou. De cette étude, il ressort que la pluviométrie moyenne dans la commune de Parakou de 1988 à 2018 qui est de 1183,13 mm lui permet de disposer d’une quantité d’eau de surface plus ou moins permanente. 

Toutefois, il faut rappeler que l’eau subit des étapes de traitement du point de pompage jusqu’à la station de traitement avant d’être servi à la population. Par ailleurs, environ 40℅ de la population rencontre des difficultés à s’approvisionner en eau potable.
Après échange meublé de questions-réponses, le suspince n’a duré que quelques minutes pour que le jury largement satisfait de la présentation, décerne à l’impétrant une note de 17/20 avec la mention très bien.
Contact de l’impétrant: 94 37 04 16
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Impacts de l écorçage sur la biodiversité : Mention très bien pour Castro EKPALIGUIDIME

L’écorçage, une pratique courante à Parakou a fait l’objet d’une étude dont les résultats ont été exposés le mardi 03 Décembre 2019 à l’Université de Parakou.
L’étudiant, EKPALIGUIDIME Dino Castro en situation de soutenance a étayé sa recherche sur les « Impacts de l’écorçage sur la biodiversité dans la commune de Parakou : Cas du Caïcédra, du Néré et du Karité ». 

Devant un jury composé de deux membres, le Professeur Jean Bosco VODOUNOU Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur, l’impétrant a fait savoir l’objectif de sa recherche qui n’est rien d’autre que de déterminer les impacts de l’écorçage sur la biodiversité dans la commune de Parakou en 2019. 

Cette étude qui s’est articulièrement portée sur khaya senegalensis, Parkia biglobosa et vitellaria paradoxa a permit d’aboutir aux résultats suivants :  Les Fon et apparentés, Bariba et apparentés, Dendi et apparentés, Nago et apparentés et les Peulhs sont les groupes rencontrés et qui exploitent plus ces écorces. L’écorce et les fruits constituent les organes les plus utilisés sept (07) catégories d’usage. Au total 17 espèces appartenants à 17 genres regroupés en 7 Familles sont recensées. Le périmètre très peu diversifié, a connu d’importante dégradation. Et enfin, le reboisement et la surveillance du périmètre sont les principales mesures de protection et conservation de la biodiversité envisagées.

Après cette brillante présentation, le jury à la suite des questions-réponses a sanctionné les mérites de cet environnementaliste par la mention très bien avec une note de 17/20, faisant ainsi exploser de joie parents et d’amis. L’impétrant tout aussi content, a affirmé continuer sur cette lançée scientifique.
Contact de l’impétrant : 94 35 21 01
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Les journalistes environnementaux du Togo s associent: le pas du Togo sur le Bénin

Pendant qu’au Bénin, les dizaines de journalistes environnementaux tergiverssent à s’associer, les journalistes togolais ont fait un pas en avance en s’associant malgré leur effectif minime de 4. C’est ce bravour que nous tentons d’encourager à travers cet article.
C’est conscients du grand rôle des médias dans l’accès à l’information face aux multiples enjeux environnementaux en Afrique et plus précisement au Togo que des journalistes togolais pro environnement se sont réunis pour relever le grand défi du sciècle. 

Lancée officiellement le mercredi 27 novembre passé à Lomé, l’Association Togolaise des Journalistes Engagés pour l’Environnement (ATJ2E) s’est donnée pour missions d’informer, d’éduquer, et de former sur les enjeux environnementaux actuels.
L’Association Togolaise des Journalistes Engagés pour l’Environnement en abregé ATJ2E regroupe les professionnels de médias et de la communication s’engage à jouer pleinement sa partition à la gestion durable de l’environnement et à la lutte contre le changement climatique. 
A travers, des productions, des supports de communications, émissions radio-télés, des articles, l’ATJ2E entend sensibiliser régulièrement les Togolais sur des actions écocitoyennes et de travailler en collaboration avec les pouvoirs publics, les Collectivités Locales, réseaux thématique, les Associations et l’ensemble des acteurs œuvrant en faveur de la protection l’environnement.
Pour son Président Hector NANMANGUE de Vert Togo la création de cette association est donc l’aboutissement  d’un travail de longue  haleine, d’une réflexion assez poussée  et  surtout d’une volonté farouche de conjuguer les efforts pour  la protection de  l’environnement et dans la lutte contre le changement climatique. 

L’Association Togolaise des Journalistes Engagés pour l’Environnement (ATJ2E) reste ouverte à tous les professionnels de médias engagés pour la sauvegarde de l’environnement.
Elle est composée de 4 membres :
Hector NAMMANGUE,   Président de l’Association (Vert-Togo)
Gabriel BLIVI,  Secrétaire Général de l’Association ( Nouvelle Afrique.com)
Charles KOLOU,  Chargé de Communication (Focus Info)
Nicholas KOUDOHA, le Chargé d’Organisation (Planète Ecologie)
Charlie AYIH, le Trésorier (Eartartist.com)
Vivement que le Bénin emboite le pas au togo mais de source bien renseignée affirme qu’un comité travaille déjà à fédérer les journalistes environnementaux du Bénin dans un creuset pour ensemble relever le défi du sciècle, celui de préserver l’environnement pour les générations futures.
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Le Journal Le Rural célèbre 1 an d’existence sur fond d’innovation : Découvrez!

Le 1er Journal béninois spécialisé dans l’information agricole et rurale dénommé « Le Rural » célèbre son premier anniversaire sur fond d’innovation. En prélude à cet évènement, il inaugure son nouveau siège et organises d’importantes activités. 

Au nombre des activités prévues se trouve l’organisation d’une conférence débat sur le thème : Place des médias dans la promotion des chaînes de valeurs agropastorales au Bénin le 13 Décembre 2019 à 9h au nouveau siège du dit Journal à Zoca ( Abomey Calavi).
Inscrivez vous massivement  à travers ce lien pour y participer👉https://fr.surveymonkey.com/r/KVNJ6F8
Rappellons que Le Rural est un hebdomadaire édité par le cabinet AFRICAN INITIATIVES GROUP BÉNIN (AIG BÉNIN), établit au Bénin depuis 2015 et spécialisé dans l’appui conseils, la formation, la communication et la promotion de l’agriculture. Le Journal Le Rural est à retrouver dans la presse écrite et en ligne avec un grand nombre de lecteurs tant au Bénin qu’à l’international.

D’ailleurs, c’est ce cabinet qui vous offre l’opportunité  de mieux gérer les sociétés coopératives à travers une formation qu’il organise le 21 Décembre au siège du Groupe de Presse Le Rural.
Prenez le rendez vous pour le développement agricole du Bénin.
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COP 25 : Des enfants du monde en première ligne ceux du Bénin plaident pour une charte des ecocitoyens

La COP 25 sur le climat se poursuit à Madrid en Espagne avec les enfants du monde dont la voix a été portée par ceux du Bénin, ont présenté ce mardi au pavillon de la francophonie,  »une charte des ecocitoyens » sur la protection de l’environnement. Charte qui prévoit des attitudes ecocitoyens, comme ne pas salir le cadre de vie, mettre les ordures dans les poubelles, ne pas gaspiller l’eau, éteindre la lumière quand on en a pas forcément besoin et beaucoup d’autres recommandations.

Paemela Adegounon 13 ans, dira que  »les enfants doivent protéger la nature, car c’est nous la génération future. Aux enfants de se réveiller, de s’impliquer dans la protection de l’environnement ».

Sur la question des sachets plastiques, elle dira que  » c’est un phénomène préoccupant au Bénin et dans plusieurs pays du monde. Ce que nous faisons les enfants, c’est de sensibiliser les enfants, car c’est nous qui pouvons changer les choses et faire changer les choses… ».

S’agissant de l’initiative elle même Constance Genevee Coordinatrice Générale de l’association ‘ les ‘tresseurs de cordes », qui intervient dans le cadre de l’environnement dans la même lancée, affirmera que  » ce sont les enfants qui peuvent changer les choses. Nous devons les accompagner, pour sa mise en oeuvre ».

Pour les enfants, il s’agit selon elle,  »principalement de porter la voix des enfants du monde, pour que l’initiative de la charte aille plus loin… »

Elle ajoute que l’objectif de son association, c’est d’impliquer les enfants dans la protection de la nature, qu’ils doivent apprendre à aimer, à protéger surtout.

Pour élargir justement cette initiative, puisque le phénomène climatique est mondial et surtout plus préoccupant en Afrique, elle ajoute qu’il il est prévu dans un avenir très proche, d’organiser des camps de 2 semaines, comme nous le faisons chaque année, dans tous les pays du monde et en Afrique surtout où les problèmes environnementaux sont plus pressants ».

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Genre et Climat : Une cérémonie pour primer des solutions à la cop 25

Les femmes subissent le plus les effets néfastes du changement climatique mais elles ne sont non plus en marge pour y apporter des solutions. C’est ainsi que des prix seront decernés aux meilleures solutions qui resolvent la question du genre et du climat.

Cette cérémonie de remise de Prix Solutions Genre et Climat
Women Gender Constituency est prévue ce 9 Décembre 2019 de 14h45 à 16h15 nous dira Babarca Sene Collaborateur et Partenaire de EcoCitoyens Tv.
La cérémonie aura lieu à Capacity Building Hub PCCB à IFEMA / Feria de Madrid ; une activité lors de la Cop25 qui verra la participation de sommités avec des orateurs principaux qui incluent ;
-Mme Téresa Ribera Ministre de l’Environnement Espagne invitée
-Dr Maria Flachs Barth Secrétaire d’État Parlementaire BMZ,Ministre du Gouvernement d’Ecosse invitée
– Fekita Moelo Utoikamanu Haute Représentante des PMA,PDSL et PIED 
-Kerstiberge Direction de l’Énergie et du Changement climatique d’Ecosse 
-Dr Rose Mwebaza Directrice du CTCN
-Rita Mishaan Présidente du PCCB
Laureat/es et Representant/es de la Constituante Femmes et Genre de la CCNUCC
La cérémonie  prévue le 9 Décembre 2019 de 14h45 à 16h15, aura lieu à Capacity Building Hub PCCB à IFEMA / Feria de Madrid à la COP25.
babacar Séne babaclimat ^journal Agropasteur »
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Changement Climatique : Les négociations à la COP 25 se poursuivent (Madrid)

La COP 25 dite COP Bleue qui devrait se tenir au Brésil puis au chili s’est ouverte finalement à Madrid la capitale Espagnole.
Voici le point fait par le collaborateur partenaire EcoCitoyens Tv, Babarca Sene du journal Agropasteur & Babaclimat
« Il faudrait réduire les émissions de CO2 de 7,6% par an, chaque année dès l’an prochain…2020 » pour ’atteindre l’objectif idéal de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +1,5°C par rapport à l’ère préindustrielle
La COP25 Madrid 2019   s’est ouverte ce lundi 2 décembre à l’Ifema de Madrid et se prolongera jusqu’au 13  décembre 2019  au même  oû l’Humanité, toute entiere subit les assauts du dérèglement climatique.
Ce dérèglement  a presque atteint aujourd’hui  le point culminant de son paroxysme  d’oû l’urgence à l’Action ; l’Action climatique reste une  évidence pour des actions concretes immédiates et radicale que l’on ne plus remettre à plus tard en paraphrasant le Ministre Espagnole de l’Environnement  Mme Téresa Ribera dont son pays accueille l’organisation de la COP25 après désistement du Chili lors d’un briefing, le Chili a néanmoins assuré  la présidence de la Cop25
 Le Sécretaire général de l’ONU  Antonio Guterres a déclaré dimanche lors du message adressé que “Le point de non-retour n’est plus loin à l’horizon, il est en vue et se rapproche de nous à toute vitesse”.
Il a fustigé et dénoncé les engagements “totalement insuffisants” contre le réchauffement.
Selon M. Guerres “Depuis des décennies, l’espèce humaine est en guerre contre la planète et la planète rend coup pour coup. Nous devons mettre fin à notre guerre contre la nature”, a-t-il annoncé.
optimisme ou pessimisme d’atteinte des objectif de l’accord?
Quelques jours plus tôt, le Programme de l’ONU pour l’environnement portait un coup aux espoirs d’atteindre l’objectif idéal de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +1,5°C par rapport à l’ère préindustrielle
Il faudrait pour cela réduire les émissions de CO2 de 7,6% par an, chaque année dès l’an prochain.
Babacar Séne journal Agropasteur / babaclimat
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Recrutement : Helvetas recherche des experts dans divers domaines

  • Eau potable, eau de production et climat

  • Education de base, compétences et emplois jeunes
  • Gouvernance et paix
  • En vue d’étoffer sa base de données de personnes ressources, HELVETAS souhaite recevoir des CV d’experts dans chacun de ses domaines d’intervention. Ces experts seront sollicités en fonction des opportunités, soit pour acquérir de nouveaux projets, soit pour étoffer des équipes de projets ou exécuter des mandats et des missions spécifiques.

    • Analyse des besoins et dispositifs de formation,
    • Nomenclature de métiers,
    • Développement de curricula, référentiels et plans de formation dans i) Agriculture et sciences associées ; ii) Artisanat et tourisme ; iii) TIC et économie numérique
    • Spécialistes en suivi de programmes de développement ou de formation
    • Expertise dans la validation des acquis et certification de la formation professionnelle au Bénin.

    Développement organisationnel/institutionnel

    • Audit organisationnel des organisations socioprofessionnelles,
    • Structuration des organisations professionnelles et des dispositifs de concertation,
    • Mise en place des plans de renforcement des organisations, et leur évaluation
    • Planificateurs, évaluateurs

    Entreprenariat et développement économique

    • Ingénierie de l’entreprenariat avec toutes les approches associées,
    • Accompagnement des entreprises,
    • Dispositifs financiers  à l’entreprenariat
    • Cadre juridique de l’entreprenariat et des entreprises

    Agriculture, élevage, pêche, sylviculture et changements climatiques

    • Ingénieur agronome ; ingénieur des eaux forêts et chasse, environnementaliste, pastoraliste zootechnicien, pisciculteur, spécialiste du changement climatique, Energies renouvelables
    • Agriculture intelligente, agriculture durable, agroécologie
    • Irrigation ; Chaines de valeur et filières ; Agroalimentaire et nutrition.

    Eau assainissement

    • Ingénierie de l’eau
    • Ingénierie de l’assainissement
    • Génie civil, hydrauliciens géologues

    Autres

    • Chercheurs
    • Spécialiste du suivi-évaluation
    • Journaliste communicateur
    • Editeur, Spécialiste marketing et publiciste
    • Administrateur de ressources humaines
    • Informaticien créateur d’applications et de solutions

    Les personnes intéressées peuvent envoyer leur CV actualisés à l’adresse suivante : CD.Benin@helvetas.org  et Olga.Bakou@helvetas.org

    NB.

    1. CV de moins de 5pages et de taille 2Mo 
    2. Expérience supérieure à 5 ans
    3. Date limite  : 5 déc. 2019
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