Soutenance de thèse à l’université de Parakou : Le journaliste Ernest Agbota décroche un doctorat en Sociologie des Ressources Naturelles

Le cercle des docteurs de l’université de Parakou s’élargit. Ce jeudi 25 juillet 2024, l’Ecole Doctorale des Sciences Agronomiques et de l’Eau de l’université de Parakou a enregistré un nouveau docteur dans le rang de ses étudiants. Ernest Agbota, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a soutenu sa thèse de doctorat sur le thème << Accessibilité des informations et services agro météorologiques aux producteurs périurbains de vivriers à Parakou >>.

L’objectif, selon l’impétrant, est d’analyser les modes d’accessibilité des producteurs périurbains de vivriers aux informations et services agro météorologiques, afin de proposer aux acteurs impliqués des mesures à prendre pour une meilleure diffusion et accessibilité des informations et des services agro météorologiques, indispensables à la résilience des producteurs face au changement climatique. Pendant plus trois heures de temps, Ernest Agbota a brillamment défendu sa thèse sous le regard aussi bien critique qu’admiratif d’un jury composé de six éminents professeurs dont deux étaient en ligne. Pour le professeur Tatongueba SOUSSOU, examinateur venu de l’université de Kara au Togo, l’impétrant a obtenu des résultats satisfaisants, reposant sur une méthodologie adéquate. Sur la base de la qualité de la présentation, de la pertinence du sujet traité et des résultats de recherche jugés très satisfaisants, le jury présidé par le professeur Jean Bosco Vodounou a décerné à l’impétrant la mention « très honorable ». Une délibération qui a fortement réjoui les parents et amis de Ernest Agbota, venus nombreux soutenir le désormais docteur en Sociologie des Ressources Naturelles.

Pour Ernest Agbota, c’est le couronnement de plusieurs années de recherche sur un sujet très préoccupant pour les producteurs agricoles, surtout dans le contexte actuel du changement climatique. A l’en croire, l’agriculture urbaine et périurbaine n’est pas souvent prise en compte dans les politiques de développement agricole, et donc les producteurs des milieux urbains ne sont pas suffisamment accompagnés par les services compétents en matière d’informations et de services agro météorologiques. Il souligne que  les savoirs écologiques endogènes, qui autrefois permettaient aux agriculteurs de s’adapter aux aléas climatiques, sont en voie de disparition alors que les services fournis par la météo moderne ne couvrent pas suffisamment les besoins réels des producteurs. Toutes choses qui rendent vulnérables les agriculteurs face à la crise climatique.

« Cette thèse se positionne donc comme une orientation pour les politiques visant à améliorer l’accès des producteurs aux informations et services agro météorologiques, indispensables pour une résilience efficace du secteur agricole face au changement climatique », a-t-il clamé. En perspective, le journaliste envisage de poursuivre ses recherches sur les enjeux de l’agriculture de précision au Nord Bénin.

Faut-il le préciser, la thèse soutenue par Ernest Agbota a été dirigée par le professeur Julien Comlan Hadonou, Maître de Conférences des universités du CAMES.

Venance Ayébo TOSSOUKPE




RAYLF 2024: Innocent Antoine HOUEDJI honore le Bénin au Royal African Young Leadership Forum

Le Royal African Young Leadership Forum (RAYLF), qui s’est tenu du 09 au 13 juillet 2024 à Ife, au Nigeria, a mis en lumière des jeunes leaders exceptionnels à travers le continent. Parmi eux, Innocent Antoine HOUEDJI a particulièrement brillé par son engagement et son innovation dans le secteur agricole et foncier.

Lors de la cérémonie de clôture du 13 juillet, Sa Majesté Ooni Adeyeye Enitan Ogunwusi, Ojaja II, l’Ooni d’Ife, a personnellement remis un prix prestigieux à HOUEDJI, soulignant ainsi son impact significatif.

Reconnu pour son leadership et son innovation dans le secteur agricole et foncier, HOUEDJI est l’un des 100 jeunes leaders de 40 pays africains à avoir été récompensés cette année. Ce prix prestigieux souligne son travail acharné et sa vision pour la gouvernance foncière en Afrique, ainsi que pour une agriculture durable et prospère.

Qui est Innocent Antoine HOUEDJI ?

Fondateur de l’organisation internationale « Youth Initiative for Land in Africa (YILAA) », active dans 25 pays, Innocent Antoine HOUEDJI possède une riche expérience en gouvernance foncière et en gestion des données agricoles. Ce prix confirme son engagement à provoquer des changements positifs, à influencer la société et à encourager des partenariats productifs, renforçant ainsi l’image mondiale de l’Afrique. En exprimant sa gratitude, HOUEDJI a déclaré : « Ce prix est une reconnaissance de nos efforts collectifs et une motivation pour aller de l’avant. » Sa vision et son dévouement ont été largement applaudis, augurant de grandes réalisations futures pour YILAA.

Avec plus de 10 ans d’expérience dans le secteur de la terre et de la gouvernance foncière en Afrique, Innocent Antoine HOUEDJI a su se distinguer par ses compétences en gestion, planification d’entreprise, analyse financière, ingénierie logicielle, opérations et analyse décisionnelle. Avant de fonder YILAA en 2019, il a travaillé sur le projet d’accès à la terre de la Millennium Challenge Corporation au Bénin et a occupé divers postes de direction, dont celui de chef de bureau de l’Agence nationale du domaine et du foncier (ANDF) du Bénin.

Une influence régionale et internationale

Expert reconnu, HOUEDJI est membre du groupe de travail régional de l’Observatoire Régional du Foncier Rural en Afrique de l’Ouest (ORFAO) de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et facilite la Plateforme Multi-Acteurs sur la Gouvernance Foncière Sensible aux Jeunes en Afrique, une initiative de l’Union Africaine en partenariat avec la Coalition Mondiale pour l’Accès à la Terre (ILC), l’IGAD, Landesa et YILAA. Il a également collaboré avec de nombreuses institutions internationales, dont la Coalition internationale pour l’accès à la terre, le FIDA, l’UEMOA, la CEDEAO, l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA), la Giz, la Global Land Alliance, la Fondation Cadasta, Kadaster International, le PNUE, l’OIM, l’UNCCD et l’UNFCCC.

L’engagement et la détermination d’Innocent Antoine HOUEDJI promettent de continuer à apporter des changements positifs dans le domaine agricole et foncier en Afrique. Le RAYLF a ainsi non seulement reconnu un leader émérite, mais aussi encouragé une vision transformative pour l’avenir du continent.

Megan Valère SOSSOU




Retour sur le Forum Régional des Médias sur la Santé Infantile, la Vaccination et la Nutrition à Cotonou

Le vendredi 22 décembre 2023, la salle de conférence de l’UNICEF Bénin a servi de cadre à l’atelier de restitution de Cotonou sur le premier Forum Régional des Médias sur la Santé Infantile, la Vaccination et la Nutrition. Un rendez-vous important qui a rassemblé une vingtaine de journalistes, membres du REMAPSEN, toutes catégories de presse confondues.

Dans son discours d’ouverture, Mickael TCHOKPODO, le coordonnateur national du REMAPSEN au Bénin, a souligné le rôle essentiel de l’UNICEF dans la concrétisation de cet événement. « Si l’initiative du forum a prospéré, c’est grâce au soutien indéfectible du bureau régional de l’UNICEF, qui a vu dans l’idée de ce forum la preuve de l’engagement des journalistes pour une cause noble : les enfants, l’avenir de toute nation », a-t-il déclaré. Il a également exprimé sa conviction que cet atelier marquera le début d’une collaboration durable entre l’UNICEF Bénin et le REMAPSEN Bénin.

Aude Rigot, Cheffe du Bureau UNICEF Bénin, a ouvert officiellement l’atelier en félicitant la coordination du REMAPSEN Bénin pour le respect de son engagement. Elle a salué l’organisation de l’atelier de restitution du premier forum des médias sur la santé infantile, la vaccination et la nutrition, qui s’est tenu du 21 au 23 novembre 2023 à Lomé, au Togo. C’est une chance pour le REMAPSEN de tenir cet atelier à quelques jours du prochain cycle de programme de Coopération 2024 – 2026 de l’Unicef Benin.

Au cœur des débats, un panel dédié à la santé infantile, la vaccination, et la nutrition au Bénin, animé par les experts Nicole Paqui, Bonaventure Muhimfura, et Amany Faustin Yao. Cet atelier a été l’occasion d’échanger sur l’état des lieux, les progrès réalisés, et les perspectives à venir en matière de santé infantile en Afrique de l’Ouest et du Centre, ainsi que sur la vaccination des enfants et la nutrition.

De façon générale, il est à retenir que de 2019 à 2023, des avancées significatives ont été accomplies en termes de baisse de la mortalité des enfants de moins de 5 ans, passant de 115 pour mille en 2014 à 80 pour mille en 2022, soit une réduction de 35 points.

Malgré ces progrès encourageants, il demeure impératif de persévérer les acquis, car certaines données continuent de susciter des inquiétudes. Notamment, le constat selon lequel 43% des nourrissons de moins d’un an n’ont pas bénéficié de tous les vaccins recommandés demeure préoccupant. De plus, il est alarmant de noter qu’un sur deux enfants de moins de 5 ans présente un retard de croissance, signalant ainsi une problématique persistante à résoudre.

La rencontre a également été marquée par la lecture des recommandations issues du forum régional porté sur le thème « Rôle et responsabilité des médias dans la promotion de la santé et de la nutrition en Afrique ». Ces recommandations offrent une feuille de route précieuse pour les médias engagés dans la promotion de la santé en Afrique.

Cet atelier de restitution à l’UNICEF Bénin est une preuve de plus de l’engagement des médias béninois en faveur de la santé des enfants, de la vaccination et de la nutrition. Il témoigne du pouvoir des médias dans la sensibilisation et la promotion des enjeux sanitaires. Un rendez-vous qui laisse entrevoir une collaboration fructueuse entre l’UNICEF et le REMAPSEN Bénin.

Megan Valère SOSSOU




Projet SE WADEDJI BOGAN : Savalou désormais mieux informé sur la vaccination

La pandémie de la COVID-19 a laissé des cicatrices profondes à travers le monde, tant en termes de vies humaines perdues que d’impacts économiques dévastateurs. Les tentatives de contenir la propagation du virus ont conduit au développement de vaccins, bien que l’acceptation universelle de ces derniers demeure un défi. Des informations erronées circulant dans l’opinion publique ont semé le doute quant à la sécurité des vaccins, engendrant une psychose qui persiste jusqu’à ce jour. Cette méfiance envers la vaccination se reflète également au Bénin, et plus particulièrement dans la commune de Savalou, où les taux de vaccination demeurent insatisfaisants.

Dans le cadre du concours « Stop fakes news, tous vaccinés, tous sauvés », les jeunes U-reporters de l’ONG Save Our Planet ont lancé officiellement le projet SE WADEDJI BOGAN à Savalou le samedi 18 novembre 2023. Ce projet vise à sensibiliser la population sur l’importance de la vaccination et à contrer les fausses informations liées à la COVID-19.

La salle de réunion de l’arrondissement Aga a été le lieu choisi pour le lancement officiel du projet SE WADEDJI BOGAN à Savalou. Cette initiative a été suivie d’une campagne de sensibilisation à l’importance de la vaccination et la lutte contre les fausses informations, déployée à Savalou Centre et à Savalou Ouest (Tchetti) les 18 et 19 novembre 2023. L’objectif principal était d’informer la population sur l’importance de la vaccination, de démystifier les rumeurs entourant la COVID-19 et de partager des outils et techniques de vérification des fausses informations.

Sensibilisation à Savalou Centre

De nombreux habitants, qu’ils soient élèves, enseignants ou artisans, ont participé activement à ces séances. Certains ont partagé leurs préoccupations initiales quant à la vaccination, mettant en lumière les craintes de risques potentiels pour la santé après la vaccination. Générose DJAHOTO, participant à Tchetti, a témoigné : « Au départ, j’ai hésité, j’ai même refusé carrément que je ne ferai pas la vaccination. Il a fallu d’abord que mon papa aille se faire vacciner, avant que moi-même je ne prenne la décision de le faire. » Abel HOUNNOU, un autre participant, a ajouté : « Par exemple, moi, le jour de la vaccination, ma maman m’appelait et me disait de ne pas me faire vacciner. »

Megan Valère Sossou, lors de sa communication, a souligné l’importance cruciale de la vaccination et a partagé des techniques de vérification des fausses informations liées à la COVID-19. Il a également mis en avant la nécessité de poursuivre les vaccinations de routine, englobant diverses maladies aussi dangereuses que la COVID-19. Les participants, désormais mieux informés, expriment leur soulagement quant à la vaccination et soulignent l’importance de la vérification constante des informations pour éviter de contribuer à la désinformation.

Sensibilisation à Tchetti

Mirabelle ADJI, participante à Savalou Centre, a déclaré : « Je suis fière d’avoir participé au projet SE WADEDJI BOGAN. Je suis contente des informations qu’on m’a données à propos de la vaccination. J’en parlerai avec mes amis ». Thierry DADEGNON a promis : « Avec tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, je vais pouvoir sensibiliser mon entourage que c’est bon de se faire vacciner et d’être vigilant par rapport aux fausses informations. »

Les participants, munis de leurs attestations de participation, ont exprimé leur gratitude à l’ONG Save Our Planet d’avoir choisi la commune de Savalou pour cette initiative.

Il est à rappeler que le projet SE WADEDJI BOGAN bénéficie du soutien de l’Unicef Bénin et de l’Ambassade de la France au Bénin avec pour objectif de lutter contre la désinformation en sensibilisant la population sur l’importance de la vaccination et la lutte contre les fausses informations.

Venanace Ayebo TOSSOUKPE




Les Jardins de l’Espoir recrute des experts et des prestataires de services pour l’initiative AQSAEP

Le projet Initiative d’Assurance Qualité et de Maîtrise Financière des Systèmes d’Agroécologie Paysanne « De la Fourche à la Fourchette » a été approuvé en juin 2022 par le Global Greengrants Fund (GGF), sur recommandation du Agroecology Fund (AEF).

Son objectif est de mettre en place un modèle d’assurance qualité agroécologique réplicable à l’échelle régionale (AQSAEP) et d’accroître durablement les revenus des agroécologistes, tout en renforçant leur résilience face aux effets du changement climatique. 

Dans le cadre de la capitalisation des acquis de ce financement, l’organisation Les Jardins de l’Espoir a élaboré plusieurs fiches cette année sur des thématiques précises. 

Pour assurer la bonne réalisation des opérations de ce projet, il est prévu de recruter des consultant(e)s ou cabinets de consultation, des employés, ainsi que des prestataires de services. Le présent avis est publié pour le recrutement des expert(e)s ou cabinets, d’employés et de prestataires de services en vue de l’exécution des activités prévues dans le cadre du projet.

Retrouvez ici l’intégralité du communiqué d’appel à candidature

Megan Valère SOSSOU




Pollution & Gaspillage : les fêtes de fin d’année sont elles écolo?

EcoCitotens TV se doit de faire une campagne de sensibilisation à une consommation plus sobre et plus raisonnée. Les béninois commencent à consommer de manière exponentielle des produits de tous genres ainsi nous tendons vers une surconsommation pendant que animaux et végétaux disparaissent à un rythme inquiétant, les sols arables s’épuisent, nos déchets polluent l’air, l’eau et le sol, le climat se dérègle au point de menacer la vie un peu partout sur Terre.  Nous devons impérativement réduire notre consommation.
Nous vous invitons donc à vous inspirer de cette proposition pour un Temps des fêtes sans achat à outrance. Mise en pratique dès maintenant, la simplicité nous épargnera non seulement des vendredis noirs, mais, et surtout, un avenir plus que sombre.

Les fêtes de fin d’année avec ses atteintes à l’environnement

Les fêtes de fin d’année vont (très) vite arriver et c’est tant mieux ! Ce sera pour toujours un temps de pause et de retrouvailles avec la famille et les copains, bien ancré dans la tradition. Mais cette année est un peu différente pour moi : j’ai une grosse envie de changement. Depuis un bon temps je m’inquiète beaucoup pour notre avenir, et comme vous le savez, toutes les informations qui passent sur le changement climatique me touchent et je commence à saisir ma propre responsabilité dans ce désastre.
Alors voilà, mon souhait le plus cher pour cette fin d’année : passer un Noël qui tende le plus possible vers le zéro déchet. Concrètement pour les cadeaux que vous ne manquerez pas de vous offrir, ça implique : zéro cadeau en plastique, zéro produit du bout du monde, zéro piles, zéro emballage.

Avec le flot de l’offre commerciale en ces temps ci, il y a toujours le choix entre payer et acheter, faire des sorties sport ou culture, des produits locaux, utiles et éthiques.
Vous me connaissez bien et vous vous dites que j’exagère, que je veux certainement être en première ligne de la transition écolo et que je devrais balayer devant ma porte avant de faire la morale aux autres. Vous avez entièrement raison et je suis loin de la perfection, c’est pour ça justement que j’ai besoin de vous ! Nous pouvons prendre le temps d’en reparler ensemble en particulier.
Il faut tourner le dos à l’achat de nourriture non nécessaire qui finira probablement aux poubelles et de produits qui ne seront utilisés que rarement et qui seront oubliés au fond du garde-manger ou du réfrfêtes
teur.

Gaspillage et pollution pendant les fêtes

Par ailleurs, pour aller plus loin dans la lutte au gaspillage et à la pollution, il faut viser une meilleure efficacité de nos terres en se tournant vers une alimentation à base de végétaux et la plus près de nous possible. D’abord, c’est selon moi un non-sens d’utiliser autant de ressources (eau, nourriture, surface agricole, carburant pour le transport, etc) pour élever du bétail. Une alimentation à base de plantes utilise les ressources d’une manière beaucoup plus efficace et celle-ci s’inscrit donc mieux dans la philosophie minimaliste. De plus, s’approvisionner via des sources locales diminue le transport associé aux aliments et permet une plus grande proximité avec le producteur et donc, une moins grande dépendance aux aliments importés. L’alimentation dans la sobriété permet donc d’économiser, d’être en meilleure santé et d’avoir un impact environnemental plus faible. Sur ce, EcoCitoyens TV vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année.🤗

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Santé saine en 2020 : Voici les 10 principes à adopter

Certaines mauvaises habitudes alimentaires sont dommageables à votre santé. Pour remedier au fait, nous vous proposons  d’éviter certaines habitudes pour que 2020 soit une année de santé pour chacun de vous.

1.Tous les aliments que vous consommez après 20h sont comme du Poison pour votre corps.

2.Si vous pouvez suivre la thérapie de l’eau pendant 3 mois religieusement, votre peau, votre corps et vos organes commenceront à fonctionner bien.

3.Savez-vous que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée; Si vous devez sauter un repas, ça ne devrait pas être le petit déjeuner.

4.Savez-vous que trop de viande rouge est très dangereux pour votre santé.

5.Savez-vous les gens qui sourient toujours vivent plus longtemps, ont l’air  plus jeune et sont plus en bonne santé.

6.Pour chaque bouteille de boisson gazeuse que vous consommez, vous venez de prendre 9 cubes de sucre, et cela prend 7 jours pour que cela sorte de votre corps; Les hommes augmentent leur probabilité d’avoir une crise cardiaque de 20 pour cent.

7.La viande frite est un tueur, dommageable pour votre corps.

8.Les personnes qui ne prennent pas le petit déjeuner auront un taux de glycémie inférieur.

9.Tenir vos urines lorsque vous êtes censé lâcher est une autre façon pour vs vous d’endommager votre foie.

10. Ajouter du sel dans votre nourriture quand elle est déjà servie est
Une autre façon de vous empoisonner lentement les organes vitaux.

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Projet Educ’Eco de Brunelle Guezodjè : de l’idée à la réalité

Le projet Educ’ Eco de Brunelle Guezodjè, gagnante du concour Week Eco, a vu le il y a une semaine jour pour jour (lundi 09 décembre).
La cérémonie de lancement qui a eu lieu à SOS village des enfants de Dassa. Etaient présents, le premier adjoint au maire de Dassa, le chef du 1er arrondissement, le directeur programme de SOS village des enfants, la coordinatrice de SOS Village des enfants, le directeur de l’école Synergie des grâces, le point focal  Ecolo Trip, les enseignants et les enfants.

Objectif du projet rappelé par Brunelle Guezodjè est de promouvoir le développement durable à travers l’éducation environnementale à la base. Pour les autorités présentes, le projet Educ’Eco est à saluer et à intensifier pour une prise de conscience écocitoyenne à la base. Selon Ludovic Bekou, Formateur et Coach du programme Femme Impact, les gestes les plus basiques et les plus nobles sont celles qui font de notre environnement sain et propre.


 Séance de salubrité en avec les écoliers

Ainsi, à SOS village des enfants de Dassa, de la sensibilisation à la salubrité en passant par les ateliers de bricolage, de fabrication des papiers à crayon,  à l’organisation d’un concour au profit des enfants excéllents où la remise du prix de l’excellence à Djiwa Farid de l’école Kake 5, l’objectif est globalement atteint.


De la remise du prix de l’excellence

Les enfants sont pleinement engagés déjà pour défendre notre environnement. Nous pouvons confirmer que la relève est assurée dxit Brunelle Guezodjè porteuse du projet Educ’Eco. Rappellons que le projet Educ’Eco a couvert les communes de Savalou et de Dassa avec 4 écoles.

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Camp des Jeunes Scientifiques du Bénin : Pari gagné pour le Dr Victorien DOUGNON et les siens

La 1eme édition du camp des jeunes scientifiques du Bénin a eu lieu du 13 au 14 décembre 2019 à l’UAC. Organisée par l’Académie des Jeunes Scientifiques du Bénin, cet évènement a réunit 114 jeunes scientifiques de divers domaines et sélectionnés sur 300 et quelques jeunes. Il a été l’occasion pour les panelistes (Professeurs d’université) de renforcer le niveau des jeunes sur certains aspects de la rédaction scientifique, du leadership scientifique et beaucoup d’autres thématiques.

A l’issue des échanges, plusieurs recommandations ont été faites pour une jeunesse scientifique au service du développement du Bénin. Le Président Dr Victorien Dougnon et le Sécretaire Général Dr Jean Robert Klotoe à la clôture de l’évènement se sont montrés satisfaits du dynamisme des jeunes et ont pris l’engagement de réediter cette rencontre. Ils ont pour leur part prodiguer des conseils aux jeunes (Se mettre en équipe, aux femmes de s’organiser autrement pour s’autonomiser, de rester humble et surtout d’avoir les qualités d’un leader scientifique).

Rappellons que, votre serviteur Megan Valère SOSSOU y était en tant que non seulement Jeune chercheur en Agroclimatologie mais aussi au titre de journaliste d’investigation scientifique. Les yeux sont désormais  rivés sur la prochaine édition

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COP 25 : Stop et fin! La montagne accouche d’une souris

La conférence climat de l’ONU qui s’est terminée dimanche à Madrid n’a pas été à la hauteur de l’urgence climatique, adoptant un accord a minima sans s’entendre sur des points essentiels en raison des réticences de certains États.

« Je suis déçu du résultat de la COP25 », a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres dans un communiqué.

Déception planétaire?

« La communauté internationale a raté une occasion importante de faire preuve d’une ambition plus grande en matière d’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre), d’adaptation et de financement de la crise climatique », a-t-il insisté. « Nous ne devons pas abandonner, et je n’abandonnerai pas. »
Après une année marquée par des catastrophes climatiques tous azimuts, les appels vibrants de millions de jeunes descendus dans la rue derrière la jeune Suédoise Greta Thunberg, et des rapports scientifiques toujours plus glaçants, les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris étaient sous une pression sans précédent pour cette COP25 présidée par le Chili, mais délocalisée à Madrid en raison de la crise qui frappe le pays d’Amérique du Sud.

La montagne a accouché d’une souris.

Malheureusement au terme de cette conférence qui s’est prolongée de plus de 40 heures son programme initial, tout le monde n’a pas vu dans les textes adoptés dimanche le reflet de cette demande d’actions urgentes et immédiates.
Le texte final appelle effectivement à des « actions urgentes » pour réduire l’écart entre les engagements et les objectifs de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +2 °C, voire +1,5 °C. Mais le langage est « tortueux » et le résultat « médiocre », a estimé Catherine Abreu, du Climate Action Network.

« Les principaux acteurs dont on espérait des avancées n’ont pas répondu aux attentes », a déclaré Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris, notant toutefois que l’alliance des États insulaires, européens, africains et latino-américains, avait permis d’« arracher le moins mauvais résultat possible, contre la volonté des grands pollueurs. »

Un tout pétit pas vers l’avant

Un projet de texte sur les ambitions présenté samedi par la présidence chilienne avait provoqué une levée de boucliers de ces États, forçant à un nouveau round de consultations
L’UE doit maintenant s’atteler à la tâche de présenter en 2020 un rehaussement de ses engagements pour 2030, ce qui pourrait donner le signal à ses partenaires internationaux de suivre l’exemple.
Et méme chez en Afrique, l’Union Africaine doit prendre des mesures pour l’urgence climatique et surtout de la justice climatique.

Quels risques?

Au rythme actuel des émissions de CO2, le mercure pourrait gagner jusqu’à 4 ou 5 °C d’ici la fin du siècle. Et même si les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris respectent leurs engagements, le réchauffement pourrait dépasser les 3 °C.

Que faire?

Alors pour tenter de réduire cet écart, tous les États doivent soumettre d’ici la COP26 à Glasgow l’année prochaine une version révisée de leurs plans de réductions d’émissions. Mais les deux semaines de discussions ont mis en pleine lumière une division flagrante au sein de la communauté internationale en matière d’ambitions.

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