Journées EcoCitoyennes du Bénin : Pari gagné pour Dev Energy plus

Ouverture hier de la première édition des Journées Ecocitoyennes du Bénin (JEB) organisée par Dev Energy en partenariat avec Konrad Adenauer à Bénin Royal Hotel à Cotonou.

Ce grand évènement a réunit une centaine de participants nationaux et internationaux au nombre desquels nous pouvons citer des élus-locaux, les coopératives de femmes, les acteurs de la société civile, les ministères de l’environnement, de l’eau et de l’agriculture, les chefs de projets, les chercheurs, les formateurs, les entrepreneurs et des personnels d’organismes d’encadrement de onze (11) nationalités diffférentes d’Afrique  le Sénégal, le Togo, le Cameroun, le Niger, le Guinée, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso,Nigéria,Congo,le Mali et bien-sûr, le Bénin qui mettent incessement en œuvre les principes de l’agriculture durable et de la sécurité alimentaire.

Après avoir souhaité la bienvenue aux participants, M. Wakil OLOULADE, Manager de Dev Energy Plus et Promoteur des Journées Ecocitoyennes du Bénin a remercié l’assistance pour l’intérêt porté au forum, avant de rappeler le contexte ayant donné naissance au projet.


A sa suite, Dr. Armand FOPAH LELE, représentant la KONRAD ADENAUER STIFTUNG a essentiellement consacré son mot de bienvenue à la présentation de ladite fondation, ainsi que ses objectifs.

Enfin, la chargée de Projet Madame Carine FALOLOU a rappelé les objectifs des Journées Ecocitoyennes du Bénin, qui ne sont rien d’autres que de :
• Rassembler les synergies entre les différents acteurs qui œuvrent pour la sécurité alimentaire et la lutte contre les changements climatiques.
• Échanger les savoirs et les savoir-faire locaux sur la question du changement climatique, des énergies renouvelables et de la sécurité alimentaire ;
• Proposer des actions à soutenir en faveur de la protection de l’environnement ;
• Professionnaliser les éducateurs à l’environnement ;
• Promouvoir les acteurs de l’environnement en leur offrant une plate-forme d’expression ;
• Susciter des actions communales en vue d’une ville écologique locale et utile ;
• Transmettre des recommandations aux décideurs politiques à travers une déclaration.

Du grand forum scientifique international
Deux panels ont agrément le grand forum scientifique de l’évènement. Le premier a permit aux participants et aux panelistes à savoir Dr Abdoul Salam Koroney de la FSA université de Tilaberi au Niger ; Dr Expédit AGO de la FSA UAC au Bénin d’évaluer la vulnérabilité de la sécurité alomentaire et nutritionnelle aux effets des changements climatiques.
Le second et le dernier panel de la première des Journées EcoCitoyennes du Bénin a été l’occasion pour Dr Hervé Wouapi de l’université de Dschang Cameroun, M. Rivaldo Kpadonou de Green Expertise Bénin et  Mme Judith Bossouvi de la MAEP Bénin de passer en revue dans une ambiance conviviale, les réponses possibles aux défis que représentent le changement climatique pour la sécurité alimentaire surtout en terme d’adaption.
Il faut rappeler que les débats autour des deux panels ont été assez nourris et que pour cette seconde et dernière journée deux autres panels restent à animer pour éclairer les zones d’ombre des participants les thématiques cohérencs des politiques et des interventions relatives au nexus climat alimentation par Harry Jeer Jr VIDEROT de Talent Incubato Bénin, M. Reish Vanel Attipo de ONG OJED Congo et du Dr Edmond Sossoukpe de l’UAC Bénin. Le second par M. Serge Houndonougbo Coordinnateur Projet Biomasse Electricité, du Dr Léonide Sinsin DG ARESS Bénin et de M. Bérenger Amoussou de l’UAC Bénin.

Des stands bien animés et riches en solutions environnementales
A la suite, les participants ont été conviés à faire le tour des stands pour découvrir les différentes possibilités qui s’offrent à eux.
Une quirielles de solutions environnementales sont exposées à savoir:
Africa Immo, qui crée en collaboration avec ses clients (vous) des plantations clés en main avec ou sans terrain. Il s’agit là d’investir dans les tecks et anacardiers qui vous procurent des revenus substantiels.

La Collection K’Omou, qui vous propose des serviettes hygiéniques lavables et durables. Elles viennent en réponse aux serviettes hygiéniques jettables qui polluent l’environnement. De plus, les serviettes de la collection K’omou sont facile à laver, efficaces, économiques, écologiques, confortables et surtout hygiéniques.

N’Sac, vous offre des sacs biodégradables faits à base de papier de ciments en plus de leurs résistances, les sacs de N’Sac sont durables et adaptés à vos besoins.

Soulignons tout de même que le forum scientifique international des journées écocitoyennes du Bénin, s’inscrit dans le cadre du Programme Régional Sécurité Energétique et Changement Climatique en Afrique Subsaharienne, Konrad Adenauer Stiftung.

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Drame à Pèrèrè : Voici comment un chasseur a tué un pétit garçon

Comment se promener dans les bois, la brousse, les forêts, les savanes etc.. sans se faire tirer dessus? 
La question qui taraude l’esprit des béninois à l’annonce de ce drame à Pèrèrè au nord Bénin où un petit garçon a été abattu par un chasseur ce dimanche. Le chasseur dit l’avoir confondu à une pintade. Le garçon est mort sur le coup. Le tireur est mis aux arrêts. La chasse au Bénin reste l’activité qui menace plus la sécurité publique. N’y a t il pas des dispositions qui reglementent l’activité? La détention d’arme ne préoccupe par nos gouvernants? A t on une statistique des nombreux animaux qui disparaissent suite à la chasse? Combien de gens sont morts en sourdine dans cette activité criminelle.
Des interrogations pourtant pertinentes qui ne trouveront pas de réponses favorables.
La biodiversité béninoise disparait ainsi silencieusement.
Il nous faut, si l’activité doit exister, réglémenter le port d’arme de chasse. Revoir la liste des animaux supposés être chassés. Nous avons le droit de circuler dans l’espace vert, dans la végétation qu’on s’efforce de protéger.
Vivement que cette affaire ne passe pas sous silence. EcoCitoyens TV invite les citoyens béninois surtout les pratiquants de la chasse à plus de vigilance et de prendre conscience de l’atteinte de l’activité de chasse sur l’équilibre écosystémique. Toutes nos condoléances à la famille brusquement éplorée.
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COP 25 : Récapitulatif des débats du vendredi et du Samedi

Les ambitions des NDCs, entendez  »contributions nationales déterminées en débat le vendredi passé à Madrid. Initiée par le Président de la COP 25, Mme Carolina Smimmicht cette rencontre avec les pays parties, avait pour but, de discuter des efforts globaux visant à lutter contre le réchauffement climatique et de partager des points de vue sur les voies et moyens pour réduire l’écart d’ambition à l’horizon 2020 et un debat ouvert axé dur les opportunités en harmonie avec le développement économique et social, pour allier les 3 piliers du développement durable. 

Les représentants de gouvernement, associations et points focaux des CDNs pays ont pris part à la rencontre.
Il ressort de l’avis général, que des efforts doivent encore être fournis au plan national de chaque pays, si on veut atteindre les objectifs de réduction de co2, responsable du réchauffement climatique. C’est donc avec beaucoup d’interrogations, mais surtout de scepticisme que cette rencontre bilan et perspective, si on puis dire de la mise en oeuvre des efforts relatifs aux contributions nationales déterminées, s’est achevée.
Toujours le vendredi passé………….

 »La finance- climat pour une mise en oeuvre effective des CDNs en Afrique de l’Ouest », est le thème au centre du débat.
La vulnérabilité des pays de la sous-région, le rôle des institutions, la place des femmes et des jeunes dans cette littéraire étaient au coeur de la rencontre.
Ainsi, s’agissant de la mise en œuvre, le dispositif institutionnel, la révision  »pre-2020 » est prévue pour des pays comme le Niger, la Guinée ou encore le Mali.
Pour les défis, la qualité des données climatiques, la participation effective de l’ensemble des acteurs, le renforcement et l’application du cadre réglementaire, le transfert de technologies et le dispositif communicationel, ont été mentionnés.
Dans une telle situation, les institutions régionales, doivent intervenir en instituant des plate formes d’échanges, en vue de favoriser  »la solidarité régionale » dira l’intervenant.

Au demeurant, il ressort le besoin d’une réflexion stratégique et une dynamique à enclacher pour la mise en oeuvre effective des CDNs au niveau des pays de la sous- région ouest africaine.
Les flux financiers et multilatéraux, au niveau global et africain, n’ont pas été occultés. Au cours des débats, les participants ont voulu savoir davantage sur la finance climat en Afrique de l’ouest, les procédures de financement, et l’implication des femmes dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans l’espace CEDEAO.
Hier Samedi………..

L’Autorité du Bassin du Niger (ABN) qui regroupe plusieurs pays du bassin du Niger était au pavillon de la francophonie hier, samedi. Objectif, déterminer le rôle des parlementaires et des institutions de financement dans la protection du fleuve victime des actions anthropiques, la lutte contre le réchauffement climatique dans le bassin, dont des millions de personnes en dépendent étaient parmi les interventions.
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Aménagement et Conflits liés à l’eau dans les bas-fonds à Kandi : Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE dévoile les résultats de sa recherche

L’eau, ressource indispensable dans tous les domaines d’activités et inégalement partagée continue d’être à l’origine de plusieurs conflits communautaires.  C’est justement, ce à quoi s’est intéressée la recherche de ce jeune scientifique.
En effet, ce Samedi 07 Décembre à l’Université de Parakou, Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE a soutenu les résultats de sa recherche en Géophysique portée sur le thème : « Problématique d’aménagement et conflit de l’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi » devant un jury composé de trois membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU Examinateur, le Professeur VOUDOUNOU Jean Bosco Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur.
Après avoir rappelé l’objectif de son étude qui consiste à contribuer à l’aménagement et à la gestion des conflits d’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi, l’impétrant s’est évertué à presenter les résultats de sa recherche qui se résument comme suit : les bas-fonds sont fortements exploités par divers acteurs ainsi, les conflits qui naissent de l’usage de l’eau se règlent plus à 34% à l’amiable contre 28% au tribunal dans le même temps, 38 % des exploitants règlent autrement leurs conflits.

Selon son étude, la proximité de la population aux sites d’exploitations, la disponibilité des produits maraichers de contre saison, la création d’emploi pour les manœuvres constituent des facteurs indispensables à l’aménagement des bas-fonds pour non seulement enrayer les conflits destructeurs mais aussi permettre un développement des communautés riveraines.

L’impétrant qui n’est pas à sa première recherche, puis qu’il a bientôt deux mois qu’il a soutenu un autre mémoire de Licence Professionnelle à l’Ecole Nationale Supérieur d’Aménagement et de Gestion des Aires Protégées (Ex ANSAGAP), Option Faune et Flore sur le thème « Analyse diagnostique de la conservation des chauves souris dans la ville de parakou et ses environs.

Après quelques échanges meublés de questions-réponses, le jury largement satisfait de la brillante présentation des résultats de cette recherche, sanctionne les mérites de l’impétrant par la mention Très bien avec une note de 16,50/20. Une bonne nouvelle qui enchante parents et amis venus nombreux pour le soutenir.

Dans cette foule joyeuse, l’heureux du jour nous déclare être fier du travail abattu et n’entend pas s’arrêter en si bon chemin dans la recherche scientifique. Cette recherche scientifique qui contribue au développement durable si et seulement si les gouvernants s’approprient les résultats et les appliquent a t – il ajouté.

Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE, un jeune scientifique au parcours hors pairs, force l’admiration
Rappelons que Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE  puis que c’est de lui qu’il s’agit ex Directeur Exécutif de l’ONG Tourisme Education et Protection de l’Environnement au Bénin, est le Président en exercice de l’Association Internationale des Etudiants en Agronomie et Sciences Connexes. Il est également l’actuel Coordonnateur de service de transformation agroalimentaire de l’ONG OLA AFRICA, et Chargé à la communication et à la formation de l’ONG Environnement Vert pour un Développement Durable. A cela s’ajoute sa qualité de grand orateur de l’espace UEMOA.
Vous souhaitez prendre contact avec l’impétrant? Tel: +229 67 38 78 06
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De la justice climatique pour nos enfants : une production du Journaliste Ernest AGBOTA

Nul doute que le changement climatique affecte sur tous les plans la vie de nos enfants. En raison de leur vulnérabilité à faire face aux multiples assauts du rechauffement climatique, les enfants développent des maux parfois fatales. A cet effet, il urge de mettre en place des  mesures réparatoires et solidaires envers ces derniers. C’est ce qui est appelé ici, rendre la justice climatique. 

Et c’est absolument fort de cela que, Ernest AGBOTA, Journaliste à l’Office de Radio et télévision du Bénin Antenne de Parakou  a réalisé une production pour inciter à une justice climatique pour nos enfants. Un travail bien fait qui lui a valu le 1er prix de la catégorie Radiodiffusion du concour de l’UPMB en partenariat avec l’UNICEF, en prélude à la célébration des 30ans de l’adoption de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE). Voici la version audio👉 https://soundcloud.com/prince-ernest-agbota/de-la-justice-climatique-pour-nos-enfants
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Approvisionnement en eau potable à Parakou : Iskadarou PARAPE CHABI expose les résultats de sa recherche

L’eau, un élément indipensable à toute vie, était au centre d’une étude dont les résultats ont été dévoilés au grand public. En effet, le mardi 03 Décembre dernier à l’Université de Parakou, l’étudiant PARAPE CHABI  Iskadarou a soutenu les résultats de son thème intitulé: « Approvisionnement en eau de surface dans la commune de Parakou: Cas de la SONEB » devant un jury composé de deux membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU, Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur. 

L’étudiant n’a pas offusqué l’objectif de sa recherche, celui d’évaluer les systèmes d’pprovisionnement en eau de surface existant dans la commune de Parakou. De cette étude, il ressort que la pluviométrie moyenne dans la commune de Parakou de 1988 à 2018 qui est de 1183,13 mm lui permet de disposer d’une quantité d’eau de surface plus ou moins permanente. 

Toutefois, il faut rappeler que l’eau subit des étapes de traitement du point de pompage jusqu’à la station de traitement avant d’être servi à la population. Par ailleurs, environ 40℅ de la population rencontre des difficultés à s’approvisionner en eau potable.
Après échange meublé de questions-réponses, le suspince n’a duré que quelques minutes pour que le jury largement satisfait de la présentation, décerne à l’impétrant une note de 17/20 avec la mention très bien.
Contact de l’impétrant: 94 37 04 16
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Impacts de l écorçage sur la biodiversité : Mention très bien pour Castro EKPALIGUIDIME

L’écorçage, une pratique courante à Parakou a fait l’objet d’une étude dont les résultats ont été exposés le mardi 03 Décembre 2019 à l’Université de Parakou.
L’étudiant, EKPALIGUIDIME Dino Castro en situation de soutenance a étayé sa recherche sur les « Impacts de l’écorçage sur la biodiversité dans la commune de Parakou : Cas du Caïcédra, du Néré et du Karité ». 

Devant un jury composé de deux membres, le Professeur Jean Bosco VODOUNOU Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur, l’impétrant a fait savoir l’objectif de sa recherche qui n’est rien d’autre que de déterminer les impacts de l’écorçage sur la biodiversité dans la commune de Parakou en 2019. 

Cette étude qui s’est articulièrement portée sur khaya senegalensis, Parkia biglobosa et vitellaria paradoxa a permit d’aboutir aux résultats suivants :  Les Fon et apparentés, Bariba et apparentés, Dendi et apparentés, Nago et apparentés et les Peulhs sont les groupes rencontrés et qui exploitent plus ces écorces. L’écorce et les fruits constituent les organes les plus utilisés sept (07) catégories d’usage. Au total 17 espèces appartenants à 17 genres regroupés en 7 Familles sont recensées. Le périmètre très peu diversifié, a connu d’importante dégradation. Et enfin, le reboisement et la surveillance du périmètre sont les principales mesures de protection et conservation de la biodiversité envisagées.

Après cette brillante présentation, le jury à la suite des questions-réponses a sanctionné les mérites de cet environnementaliste par la mention très bien avec une note de 17/20, faisant ainsi exploser de joie parents et d’amis. L’impétrant tout aussi content, a affirmé continuer sur cette lançée scientifique.
Contact de l’impétrant : 94 35 21 01
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Les journalistes environnementaux du Togo s associent: le pas du Togo sur le Bénin

Pendant qu’au Bénin, les dizaines de journalistes environnementaux tergiverssent à s’associer, les journalistes togolais ont fait un pas en avance en s’associant malgré leur effectif minime de 4. C’est ce bravour que nous tentons d’encourager à travers cet article.
C’est conscients du grand rôle des médias dans l’accès à l’information face aux multiples enjeux environnementaux en Afrique et plus précisement au Togo que des journalistes togolais pro environnement se sont réunis pour relever le grand défi du sciècle. 

Lancée officiellement le mercredi 27 novembre passé à Lomé, l’Association Togolaise des Journalistes Engagés pour l’Environnement (ATJ2E) s’est donnée pour missions d’informer, d’éduquer, et de former sur les enjeux environnementaux actuels.
L’Association Togolaise des Journalistes Engagés pour l’Environnement en abregé ATJ2E regroupe les professionnels de médias et de la communication s’engage à jouer pleinement sa partition à la gestion durable de l’environnement et à la lutte contre le changement climatique. 
A travers, des productions, des supports de communications, émissions radio-télés, des articles, l’ATJ2E entend sensibiliser régulièrement les Togolais sur des actions écocitoyennes et de travailler en collaboration avec les pouvoirs publics, les Collectivités Locales, réseaux thématique, les Associations et l’ensemble des acteurs œuvrant en faveur de la protection l’environnement.
Pour son Président Hector NANMANGUE de Vert Togo la création de cette association est donc l’aboutissement  d’un travail de longue  haleine, d’une réflexion assez poussée  et  surtout d’une volonté farouche de conjuguer les efforts pour  la protection de  l’environnement et dans la lutte contre le changement climatique. 

L’Association Togolaise des Journalistes Engagés pour l’Environnement (ATJ2E) reste ouverte à tous les professionnels de médias engagés pour la sauvegarde de l’environnement.
Elle est composée de 4 membres :
Hector NAMMANGUE,   Président de l’Association (Vert-Togo)
Gabriel BLIVI,  Secrétaire Général de l’Association ( Nouvelle Afrique.com)
Charles KOLOU,  Chargé de Communication (Focus Info)
Nicholas KOUDOHA, le Chargé d’Organisation (Planète Ecologie)
Charlie AYIH, le Trésorier (Eartartist.com)
Vivement que le Bénin emboite le pas au togo mais de source bien renseignée affirme qu’un comité travaille déjà à fédérer les journalistes environnementaux du Bénin dans un creuset pour ensemble relever le défi du sciècle, celui de préserver l’environnement pour les générations futures.
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Le Journal Le Rural célèbre 1 an d’existence sur fond d’innovation : Découvrez!

Le 1er Journal béninois spécialisé dans l’information agricole et rurale dénommé « Le Rural » célèbre son premier anniversaire sur fond d’innovation. En prélude à cet évènement, il inaugure son nouveau siège et organises d’importantes activités. 

Au nombre des activités prévues se trouve l’organisation d’une conférence débat sur le thème : Place des médias dans la promotion des chaînes de valeurs agropastorales au Bénin le 13 Décembre 2019 à 9h au nouveau siège du dit Journal à Zoca ( Abomey Calavi).
Inscrivez vous massivement  à travers ce lien pour y participer👉https://fr.surveymonkey.com/r/KVNJ6F8
Rappellons que Le Rural est un hebdomadaire édité par le cabinet AFRICAN INITIATIVES GROUP BÉNIN (AIG BÉNIN), établit au Bénin depuis 2015 et spécialisé dans l’appui conseils, la formation, la communication et la promotion de l’agriculture. Le Journal Le Rural est à retrouver dans la presse écrite et en ligne avec un grand nombre de lecteurs tant au Bénin qu’à l’international.

D’ailleurs, c’est ce cabinet qui vous offre l’opportunité  de mieux gérer les sociétés coopératives à travers une formation qu’il organise le 21 Décembre au siège du Groupe de Presse Le Rural.
Prenez le rendez vous pour le développement agricole du Bénin.
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COP 25 : Des enfants du monde en première ligne ceux du Bénin plaident pour une charte des ecocitoyens

La COP 25 sur le climat se poursuit à Madrid en Espagne avec les enfants du monde dont la voix a été portée par ceux du Bénin, ont présenté ce mardi au pavillon de la francophonie,  »une charte des ecocitoyens » sur la protection de l’environnement. Charte qui prévoit des attitudes ecocitoyens, comme ne pas salir le cadre de vie, mettre les ordures dans les poubelles, ne pas gaspiller l’eau, éteindre la lumière quand on en a pas forcément besoin et beaucoup d’autres recommandations.

Paemela Adegounon 13 ans, dira que  »les enfants doivent protéger la nature, car c’est nous la génération future. Aux enfants de se réveiller, de s’impliquer dans la protection de l’environnement ».

Sur la question des sachets plastiques, elle dira que  » c’est un phénomène préoccupant au Bénin et dans plusieurs pays du monde. Ce que nous faisons les enfants, c’est de sensibiliser les enfants, car c’est nous qui pouvons changer les choses et faire changer les choses… ».

S’agissant de l’initiative elle même Constance Genevee Coordinatrice Générale de l’association ‘ les ‘tresseurs de cordes », qui intervient dans le cadre de l’environnement dans la même lancée, affirmera que  » ce sont les enfants qui peuvent changer les choses. Nous devons les accompagner, pour sa mise en oeuvre ».

Pour les enfants, il s’agit selon elle,  »principalement de porter la voix des enfants du monde, pour que l’initiative de la charte aille plus loin… »

Elle ajoute que l’objectif de son association, c’est d’impliquer les enfants dans la protection de la nature, qu’ils doivent apprendre à aimer, à protéger surtout.

Pour élargir justement cette initiative, puisque le phénomène climatique est mondial et surtout plus préoccupant en Afrique, elle ajoute qu’il il est prévu dans un avenir très proche, d’organiser des camps de 2 semaines, comme nous le faisons chaque année, dans tous les pays du monde et en Afrique surtout où les problèmes environnementaux sont plus pressants ».

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