Santé saine en 2020 : Voici les 10 principes à adopter

Certaines mauvaises habitudes alimentaires sont dommageables à votre santé. Pour remedier au fait, nous vous proposons  d\\\’éviter certaines habitudes pour que 2020 soit une année de santé pour chacun de vous.

1.Tous les aliments que vous consommez après 20h sont comme du Poison pour votre corps.

2.Si vous pouvez suivre la thérapie de l\\\’eau pendant 3 mois religieusement, votre peau, votre corps et vos organes commenceront à fonctionner bien.

3.Savez-vous que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée; Si vous devez sauter un repas, ça ne devrait pas être le petit déjeuner.

4.Savez-vous que trop de viande rouge est très dangereux pour votre santé.

5.Savez-vous les gens qui sourient toujours vivent plus longtemps, ont l\\\’air  plus jeune et sont plus en bonne santé.

6.Pour chaque bouteille de boisson gazeuse que vous consommez, vous venez de prendre 9 cubes de sucre, et cela prend 7 jours pour que cela sorte de votre corps; Les hommes augmentent leur probabilité d\\\’avoir une crise cardiaque de 20 pour cent.

7.La viande frite est un tueur, dommageable pour votre corps.

8.Les personnes qui ne prennent pas le petit déjeuner auront un taux de glycémie inférieur.

9.Tenir vos urines lorsque vous êtes censé lâcher est une autre façon pour vs vous d\\\’endommager votre foie.

10. Ajouter du sel dans votre nourriture quand elle est déjà servie est
Une autre façon de vous empoisonner lentement les organes vitaux.

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Projet Educ\’Eco de Brunelle Guezodjè : de l\’idée à la réalité

Le projet Educ\\\’ Eco de Brunelle Guezodjè, gagnante du concour Week Eco, a vu le il y a une semaine jour pour jour (lundi 09 décembre).
La cérémonie de lancement qui a eu lieu à SOS village des enfants de Dassa. Etaient présents, le premier adjoint au maire de Dassa, le chef du 1er arrondissement, le directeur programme de SOS village des enfants, la coordinatrice de SOS Village des enfants, le directeur de l\\\’école Synergie des grâces, le point focal  Ecolo Trip, les enseignants et les enfants.

Objectif du projet rappelé par Brunelle Guezodjè est de promouvoir le développement durable à travers l\\\’éducation environnementale à la base. Pour les autorités présentes, le projet Educ\\\’Eco est à saluer et à intensifier pour une prise de conscience écocitoyenne à la base. Selon Ludovic Bekou, Formateur et Coach du programme Femme Impact, les gestes les plus basiques et les plus nobles sont celles qui font de notre environnement sain et propre.


 Séance de salubrité en avec les écoliers

Ainsi, à SOS village des enfants de Dassa, de la sensibilisation à la salubrité en passant par les ateliers de bricolage, de fabrication des papiers à crayon,  à l\\\’organisation d\\\’un concour au profit des enfants excéllents où la remise du prix de l\\\’excellence à Djiwa Farid de l\\\’école Kake 5, l\\\’objectif est globalement atteint.


De la remise du prix de l\\\’excellence

Les enfants sont pleinement engagés déjà pour défendre notre environnement. Nous pouvons confirmer que la relève est assurée dxit Brunelle Guezodjè porteuse du projet Educ\\\’Eco. Rappellons que le projet Educ\\\’Eco a couvert les communes de Savalou et de Dassa avec 4 écoles.

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Camp des Jeunes Scientifiques du Bénin : Pari gagné pour le Dr Victorien DOUGNON et les siens

La 1eme édition du camp des jeunes scientifiques du Bénin a eu lieu du 13 au 14 décembre 2019 à l\\\’UAC. Organisée par l\\\’Académie des Jeunes Scientifiques du Bénin, cet évènement a réunit 114 jeunes scientifiques de divers domaines et sélectionnés sur 300 et quelques jeunes. Il a été l\\\’occasion pour les panelistes (Professeurs d\\\’université) de renforcer le niveau des jeunes sur certains aspects de la rédaction scientifique, du leadership scientifique et beaucoup d\\\’autres thématiques.

A l\\\’issue des échanges, plusieurs recommandations ont été faites pour une jeunesse scientifique au service du développement du Bénin. Le Président Dr Victorien Dougnon et le Sécretaire Général Dr Jean Robert Klotoe à la clôture de l\\\’évènement se sont montrés satisfaits du dynamisme des jeunes et ont pris l\\\’engagement de réediter cette rencontre. Ils ont pour leur part prodiguer des conseils aux jeunes (Se mettre en équipe, aux femmes de s\\\’organiser autrement pour s\\\’autonomiser, de rester humble et surtout d\\\’avoir les qualités d\\\’un leader scientifique).

Rappellons que, votre serviteur Megan Valère SOSSOU y était en tant que non seulement Jeune chercheur en Agroclimatologie mais aussi au titre de journaliste d\\\’investigation scientifique. Les yeux sont désormais  rivés sur la prochaine édition

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COP 25 : Stop et fin! La montagne accouche d\’une souris

La conférence climat de l’ONU qui s’est terminée dimanche à Madrid n’a pas été à la hauteur de l’urgence climatique, adoptant un accord a minima sans s’entendre sur des points essentiels en raison des réticences de certains États.

« Je suis déçu du résultat de la COP25 », a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres dans un communiqué.

Déception planétaire?

« La communauté internationale a raté une occasion importante de faire preuve d’une ambition plus grande en matière d’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre), d’adaptation et de financement de la crise climatique », a-t-il insisté. « Nous ne devons pas abandonner, et je n’abandonnerai pas. »
Après une année marquée par des catastrophes climatiques tous azimuts, les appels vibrants de millions de jeunes descendus dans la rue derrière la jeune Suédoise Greta Thunberg, et des rapports scientifiques toujours plus glaçants, les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris étaient sous une pression sans précédent pour cette COP25 présidée par le Chili, mais délocalisée à Madrid en raison de la crise qui frappe le pays d’Amérique du Sud.

La montagne a accouché d\\\’une souris.

Malheureusement au terme de cette conférence qui s\\\’est prolongée de plus de 40 heures son programme initial, tout le monde n’a pas vu dans les textes adoptés dimanche le reflet de cette demande d’actions urgentes et immédiates.
Le texte final appelle effectivement à des « actions urgentes » pour réduire l’écart entre les engagements et les objectifs de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +2 °C, voire +1,5 °C. Mais le langage est « tortueux » et le résultat « médiocre », a estimé Catherine Abreu, du Climate Action Network.

« Les principaux acteurs dont on espérait des avancées n’ont pas répondu aux attentes », a déclaré Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris, notant toutefois que l’alliance des États insulaires, européens, africains et latino-américains, avait permis d’« arracher le moins mauvais résultat possible, contre la volonté des grands pollueurs. »

Un tout pétit pas vers l\\\’avant

Un projet de texte sur les ambitions présenté samedi par la présidence chilienne avait provoqué une levée de boucliers de ces États, forçant à un nouveau round de consultations
L’UE doit maintenant s’atteler à la tâche de présenter en 2020 un rehaussement de ses engagements pour 2030, ce qui pourrait donner le signal à ses partenaires internationaux de suivre l’exemple.
Et méme chez en Afrique, l\\\’Union Africaine doit prendre des mesures pour l\\\’urgence climatique et surtout de la justice climatique.

Quels risques?

Au rythme actuel des émissions de CO2, le mercure pourrait gagner jusqu’à 4 ou 5 °C d’ici la fin du siècle. Et même si les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris respectent leurs engagements, le réchauffement pourrait dépasser les 3 °C.

Que faire?

Alors pour tenter de réduire cet écart, tous les États doivent soumettre d’ici la COP26 à Glasgow l’année prochaine une version révisée de leurs plans de réductions d’émissions. Mais les deux semaines de discussions ont mis en pleine lumière une division flagrante au sein de la communauté internationale en matière d’ambitions.

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Journées EcoCitoyennes du Bénin : Pari gagné pour Dev Energy plus

Ouverture hier de la première édition des Journées Ecocitoyennes du Bénin (JEB) organisée par Dev Energy en partenariat avec Konrad Adenauer à Bénin Royal Hotel à Cotonou.

Ce grand évènement a réunit une centaine de participants nationaux et internationaux au nombre desquels nous pouvons citer des élus-locaux, les coopératives de femmes, les acteurs de la société civile, les ministères de l’environnement, de l’eau et de l’agriculture, les chefs de projets, les chercheurs, les formateurs, les entrepreneurs et des personnels d\\\’organismes d\\\’encadrement de onze (11) nationalités diffférentes d\\\’Afrique  le Sénégal, le Togo, le Cameroun, le Niger, le Guinée, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso,Nigéria,Congo,le Mali et bien-sûr, le Bénin qui mettent incessement en œuvre les principes de l\\\’agriculture durable et de la sécurité alimentaire.

Après avoir souhaité la bienvenue aux participants, M. Wakil OLOULADE, Manager de Dev Energy Plus et Promoteur des Journées Ecocitoyennes du Bénin a remercié l\\\’assistance pour l\\\’intérêt porté au forum, avant de rappeler le contexte ayant donné naissance au projet.


A sa suite, Dr. Armand FOPAH LELE, représentant la KONRAD ADENAUER STIFTUNG a essentiellement consacré son mot de bienvenue à la présentation de ladite fondation, ainsi que ses objectifs.

Enfin, la chargée de Projet Madame Carine FALOLOU a rappelé les objectifs des Journées Ecocitoyennes du Bénin, qui ne sont rien d\\\’autres que de :
• Rassembler les synergies entre les différents acteurs qui œuvrent pour la sécurité alimentaire et la lutte contre les changements climatiques.
• Échanger les savoirs et les savoir-faire locaux sur la question du changement climatique, des énergies renouvelables et de la sécurité alimentaire ;
• Proposer des actions à soutenir en faveur de la protection de l’environnement ;
• Professionnaliser les éducateurs à l’environnement ;
• Promouvoir les acteurs de l’environnement en leur offrant une plate-forme d’expression ;
• Susciter des actions communales en vue d’une ville écologique locale et utile ;
• Transmettre des recommandations aux décideurs politiques à travers une déclaration.

Du grand forum scientifique international
Deux panels ont agrément le grand forum scientifique de l\\\’évènement. Le premier a permit aux participants et aux panelistes à savoir Dr Abdoul Salam Koroney de la FSA université de Tilaberi au Niger ; Dr Expédit AGO de la FSA UAC au Bénin d\\\’évaluer la vulnérabilité de la sécurité alomentaire et nutritionnelle aux effets des changements climatiques.
Le second et le dernier panel de la première des Journées EcoCitoyennes du Bénin a été l\\\’occasion pour Dr Hervé Wouapi de l\\\’université de Dschang Cameroun, M. Rivaldo Kpadonou de Green Expertise Bénin et  Mme Judith Bossouvi de la MAEP Bénin de passer en revue dans une ambiance conviviale, les réponses possibles aux défis que représentent le changement climatique pour la sécurité alimentaire surtout en terme d\\\’adaption.
Il faut rappeler que les débats autour des deux panels ont été assez nourris et que pour cette seconde et dernière journée deux autres panels restent à animer pour éclairer les zones d\\\’ombre des participants les thématiques cohérencs des politiques et des interventions relatives au nexus climat alimentation par Harry Jeer Jr VIDEROT de Talent Incubato Bénin, M. Reish Vanel Attipo de ONG OJED Congo et du Dr Edmond Sossoukpe de l\\\’UAC Bénin. Le second par M. Serge Houndonougbo Coordinnateur Projet Biomasse Electricité, du Dr Léonide Sinsin DG ARESS Bénin et de M. Bérenger Amoussou de l\\\’UAC Bénin.

Des stands bien animés et riches en solutions environnementales
A la suite, les participants ont été conviés à faire le tour des stands pour découvrir les différentes possibilités qui s\\\’offrent à eux.
Une quirielles de solutions environnementales sont exposées à savoir:
Africa Immo, qui crée en collaboration avec ses clients (vous) des plantations clés en main avec ou sans terrain. Il s\\\’agit là d\\\’investir dans les tecks et anacardiers qui vous procurent des revenus substantiels.

La Collection K\\\’Omou, qui vous propose des serviettes hygiéniques lavables et durables. Elles viennent en réponse aux serviettes hygiéniques jettables qui polluent l\\\’environnement. De plus, les serviettes de la collection K\\\’omou sont facile à laver, efficaces, économiques, écologiques, confortables et surtout hygiéniques.

N\\\’Sac, vous offre des sacs biodégradables faits à base de papier de ciments en plus de leurs résistances, les sacs de N\\\’Sac sont durables et adaptés à vos besoins.

Soulignons tout de même que le forum scientifique international des journées écocitoyennes du Bénin, s\\\’inscrit dans le cadre du Programme Régional Sécurité Energétique et Changement Climatique en Afrique Subsaharienne, Konrad Adenauer Stiftung.

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Drame à Pèrèrè : Voici comment un chasseur a tué un pétit garçon

Comment se promener dans les bois, la brousse, les forêts, les savanes etc.. sans se faire tirer dessus? 
La question qui taraude l\\\’esprit des béninois à l\\\’annonce de ce drame à Pèrèrè au nord Bénin où un petit garçon a été abattu par un chasseur ce dimanche. Le chasseur dit l\\\’avoir confondu à une pintade. Le garçon est mort sur le coup. Le tireur est mis aux arrêts. La chasse au Bénin reste l\\\’activité qui menace plus la sécurité publique. N\\\’y a t il pas des dispositions qui reglementent l\\\’activité? La détention d\\\’arme ne préoccupe par nos gouvernants? A t on une statistique des nombreux animaux qui disparaissent suite à la chasse? Combien de gens sont morts en sourdine dans cette activité criminelle.
Des interrogations pourtant pertinentes qui ne trouveront pas de réponses favorables.
La biodiversité béninoise disparait ainsi silencieusement.
Il nous faut, si l\\\’activité doit exister, réglémenter le port d\\\’arme de chasse. Revoir la liste des animaux supposés être chassés. Nous avons le droit de circuler dans l\\\’espace vert, dans la végétation qu\\\’on s\\\’efforce de protéger.
Vivement que cette affaire ne passe pas sous silence. EcoCitoyens TV invite les citoyens béninois surtout les pratiquants de la chasse à plus de vigilance et de prendre conscience de l\\\’atteinte de l\\\’activité de chasse sur l\\\’équilibre écosystémique. Toutes nos condoléances à la famille brusquement éplorée.
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COP 25 : Récapitulatif des débats du vendredi et du Samedi

Les ambitions des NDCs, entendez \\\’\\\’contributions nationales déterminées en débat le vendredi passé à Madrid. Initiée par le Président de la COP 25, Mme Carolina Smimmicht cette rencontre avec les pays parties, avait pour but, de discuter des efforts globaux visant à lutter contre le réchauffement climatique et de partager des points de vue sur les voies et moyens pour réduire l\\\’écart d\\\’ambition à l\\\’horizon 2020 et un debat ouvert axé dur les opportunités en harmonie avec le développement économique et social, pour allier les 3 piliers du développement durable. 

Les représentants de gouvernement, associations et points focaux des CDNs pays ont pris part à la rencontre.
Il ressort de l\\\’avis général, que des efforts doivent encore être fournis au plan national de chaque pays, si on veut atteindre les objectifs de réduction de co2, responsable du réchauffement climatique. C\\\’est donc avec beaucoup d\\\’interrogations, mais surtout de scepticisme que cette rencontre bilan et perspective, si on puis dire de la mise en oeuvre des efforts relatifs aux contributions nationales déterminées, s\\\’est achevée.
Toujours le vendredi passé………….

\\\’\\\’La finance- climat pour une mise en oeuvre effective des CDNs en Afrique de l\\\’Ouest\\\’\\\’, est le thème au centre du débat.
La vulnérabilité des pays de la sous-région, le rôle des institutions, la place des femmes et des jeunes dans cette littéraire étaient au coeur de la rencontre.
Ainsi, s\\\’agissant de la mise en œuvre, le dispositif institutionnel, la révision \\\’\\\’pre-2020\\\’\\\’ est prévue pour des pays comme le Niger, la Guinée ou encore le Mali.
Pour les défis, la qualité des données climatiques, la participation effective de l\\\’ensemble des acteurs, le renforcement et l\\\’application du cadre réglementaire, le transfert de technologies et le dispositif communicationel, ont été mentionnés.
Dans une telle situation, les institutions régionales, doivent intervenir en instituant des plate formes d\\\’échanges, en vue de favoriser \\\’\\\’la solidarité régionale\\\’\\\’ dira l\\\’intervenant.

Au demeurant, il ressort le besoin d\\\’une réflexion stratégique et une dynamique à enclacher pour la mise en oeuvre effective des CDNs au niveau des pays de la sous- région ouest africaine.
Les flux financiers et multilatéraux, au niveau global et africain, n\\\’ont pas été occultés. Au cours des débats, les participants ont voulu savoir davantage sur la finance climat en Afrique de l\\\’ouest, les procédures de financement, et l\\\’implication des femmes dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans l\\\’espace CEDEAO.
Hier Samedi………..

L\\\’Autorité du Bassin du Niger (ABN) qui regroupe plusieurs pays du bassin du Niger était au pavillon de la francophonie hier, samedi. Objectif, déterminer le rôle des parlementaires et des institutions de financement dans la protection du fleuve victime des actions anthropiques, la lutte contre le réchauffement climatique dans le bassin, dont des millions de personnes en dépendent étaient parmi les interventions.
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Aménagement et Conflits liés à l\’eau dans les bas-fonds à Kandi : Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE dévoile les résultats de sa recherche

L’eau, ressource indispensable dans tous les domaines d\\\’activités et inégalement partagée continue d\\\’être à l\\\’origine de plusieurs conflits communautaires.  C\\\’est justement, ce à quoi s\\\’est intéressée la recherche de ce jeune scientifique.
En effet, ce Samedi 07 Décembre à l\\\’Université de Parakou, Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE a soutenu les résultats de sa recherche en Géophysique portée sur le thème : « Problématique d’aménagement et conflit de l’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi » devant un jury composé de trois membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU Examinateur, le Professeur VOUDOUNOU Jean Bosco Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur.
Après avoir rappelé l\\\’objectif de son étude qui consiste à contribuer à l’aménagement et à la gestion des conflits d’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi, l\\\’impétrant s\\\’est évertué à presenter les résultats de sa recherche qui se résument comme suit : les bas-fonds sont fortements exploités par divers acteurs ainsi, les conflits qui naissent de l’usage de l’eau se règlent plus à 34% à l\\\’amiable contre 28% au tribunal dans le même temps, 38 % des exploitants règlent autrement leurs conflits.

Selon son étude, la proximité de la population aux sites d’exploitations, la disponibilité des produits maraichers de contre saison, la création d’emploi pour les manœuvres constituent des facteurs indispensables à l\\\’aménagement des bas-fonds pour non seulement enrayer les conflits destructeurs mais aussi permettre un développement des communautés riveraines.

L\\\’impétrant qui n\\\’est pas à sa première recherche, puis qu\\\’il a bientôt deux mois qu\\\’il a soutenu un autre mémoire de Licence Professionnelle à l\\\’Ecole Nationale Supérieur d\\\’Aménagement et de Gestion des Aires Protégées (Ex ANSAGAP), Option Faune et Flore sur le thème \\\ »Analyse diagnostique de la conservation des chauves souris dans la ville de parakou et ses environs.

Après quelques échanges meublés de questions-réponses, le jury largement satisfait de la brillante présentation des résultats de cette recherche, sanctionne les mérites de l\\\’impétrant par la mention Très bien avec une note de 16,50/20. Une bonne nouvelle qui enchante parents et amis venus nombreux pour le soutenir.

Dans cette foule joyeuse, l\\\’heureux du jour nous déclare être fier du travail abattu et n\\\’entend pas s\\\’arrêter en si bon chemin dans la recherche scientifique. Cette recherche scientifique qui contribue au développement durable si et seulement si les gouvernants s\\\’approprient les résultats et les appliquent a t – il ajouté.

Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE, un jeune scientifique au parcours hors pairs, force l\\\’admiration
Rappelons que Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE  puis que c\\\’est de lui qu\\\’il s\\\’agit ex Directeur Exécutif de l\\\’ONG Tourisme Education et Protection de l\\\’Environnement au Bénin, est le Président en exercice de l\\\’Association Internationale des Etudiants en Agronomie et Sciences Connexes. Il est également l\\\’actuel Coordonnateur de service de transformation agroalimentaire de l\\\’ONG OLA AFRICA, et Chargé à la communication et à la formation de l\\\’ONG Environnement Vert pour un Développement Durable. A cela s\\\’ajoute sa qualité de grand orateur de l\\\’espace UEMOA.
Vous souhaitez prendre contact avec l\\\’impétrant? Tel: +229 67 38 78 06
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Gestion des déchets biomédicaux : la croix et la bannière dans les hôpitaux

Ainsi, le mode de gestion des déchets biomédicaux des formations sanitaires au Bénin. L\\\’acte 1 de notre enquête se pose dans des communes où la gestion des déchets biomédicaux continue d\\\’être un casse tête pour les responsables des centres de santé. Ce fait, dû au manque de ressource et de rigueur dans l’application des principes normatifs en termes de gestion des déchets biomédicaux, représente un danger tant pour le personnel sanitaire que pour les usagers de ces centres de soins. La présente enquête fait l’inventaire de la situation d\\\’assainissement et de l\\\’hygiène dans nos centres de santé. Surtout en ce qui concerne lz gestion des déchets biomédicaux.


Les boites de sécurité à la maternité du centre de santé. Il est à noter que ces boites sont destinées à recueillir des tests rapides de grossesses, du sida, gants et autres.U
Une poubelle en plastique dans l’hôpital de Boko. De l’analyse de cette photo, on remarque la poubelle n’est pas en bonne état, de même elle est remplie de toute sorte de déchets. En ce qui concerne les services d’hygiènes, seules les structures sanitaires de PADRE-PIO, de BOKO et le CS de N’dali en possèdent. Les autres structures n’en possèdent pas. Les aides-soignantes ou les infirmiers sont ceux qui jouent le rôle des agents d’hygiènes et sont donc exposé aux risques de contamination.

Nous sommes tout d\\\’abord ici en présence d\\\’un incinérateur de type cubilot utilisé dans le centre de santé de N’dali. De l’observation de cette photo, on remarque quel’incinérateur est séparé de la fosse à cendre. Ensuite, d\\\’un incinérateur de type Montfort utilisé à l’hôpital de Boko. De l’analyse de ce dernier incinérateur, on constate que  ce dernier est électronique disposant d’un système d’allumage permettant la combustion de tout genre de déchets.
Seul le centre de BOKO dispose d’incinérateurs de type Montfort  et incinère très tard dans la nuit. Le CS de N’dali et de PADRE-PIO disposent quant à euxd’un incinérateur de type Cubilot Mais ces fours, ne fonctionnant pas en continu, engendrent de fortes variations de température. Or, ces variations engendrent une combustion incomplète ainsi qu’une pollution d’air. Aussi, assiste-t-on souvent à un brulage à l’air libre par des formations sanitaires lorsque l’incinérateur se trouve en panne.
Voici comment se passe le brûlage des déchets biomédicaux au cabinet de soins de bouandobou n’ayant pas de contrat avec les structures de collectes procèdent au brûlage des déchets en plein air. Le brûlage s’effectue généralement à l’air libre et ou dans des trous. Cette pratique est préjudiciable à l’environnement, parce qu’elle est source d’une pollution de l’air. En outre, la méthode laisse une quantité importante de résidus non brûlés, de sorte que le problème de l’élimination reste entier.
En général, il faut retenir que la plupart  des formations sanitaires ne respecte pas  les conditions du décret N°2002-484 du 15 Novembre portant  gestion rationnelle des déchets biomédicaux en République du Bénin , tel que le respect du principe  de collecte séparative  à la source , l’inexistence d’un service  d’hygiène et d’argent d’hygiènes dans ces structures , la non disponibilité de poubelle requises pour la collecte  et la non désinfection des déchets avant leur élimination surtout en utilisant des méthodes peu efficaces. Ceci contribue à la  pollution de la ville et de l’environnement.
En raison de tous cela et en notre qualité de journaliste, nous proposons que des séances de sensibilisation à l’endroit des formations sanitaires pour que la gestion des déchets biomédicaux dans les centres soit assuré par  des structures disposant  d’une autorisation pour la gestion des déchets biomédicaux. Nous reviendrons surément plus tard pour un constat de l\\\’éffectivité des engagements pris par les responsables à notre passage.
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Approvisionnement en eau potable à Parakou : Iskadarou PARAPE CHABI expose les résultats de sa recherche

L’eau, un élément indipensable à toute vie, était au centre d\\\’une étude dont les résultats ont été dévoilés au grand public. En effet, le mardi 03 Décembre dernier à l\\\’Université de Parakou, l’étudiant PARAPE CHABI  Iskadarou a soutenu les résultats de son thème intitulé: « Approvisionnement en eau de surface dans la commune de Parakou: Cas de la SONEB » devant un jury composé de deux membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU, Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur. 

L\\\’étudiant n\\\’a pas offusqué l\\\’objectif de sa recherche, celui d\\\’évaluer les systèmes d’pprovisionnement en eau de surface existant dans la commune de Parakou. De cette étude, il ressort que la pluviométrie moyenne dans la commune de Parakou de 1988 à 2018 qui est de 1183,13 mm lui permet de disposer d’une quantité d’eau de surface plus ou moins permanente. 

Toutefois, il faut rappeler que l’eau subit des étapes de traitement du point de pompage jusqu’à la station de traitement avant d’être servi à la population. Par ailleurs, environ 40℅ de la population rencontre des difficultés à s’approvisionner en eau potable.
Après échange meublé de questions-réponses, le suspince n’a duré que quelques minutes pour que le jury largement satisfait de la présentation, décerne à l\\\’impétrant une note de 17/20 avec la mention très bien.
Contact de l\\\’impétrant: 94 37 04 16
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