Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) : Démarrage du projet d’intégration des mesures d’adaptation au changement climatique

Le démarrage du projet d’intégration des mesures d’adaptation au changement climatique du Complexe Transfrontalier Wap | ADAPT-WAP, mis en œuvre par l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) Sahara and Sahel Observatory – OSS en tant qu’entité régionale de mise en œuvre du Fonds d’Adaptation et géré par l’Unité Régionale d’exécution du projet, toute l’équipe est au complet.
En plus d’établir les premiers contacts avec les différentes institutions et structures nationales concernées des trois pays (Bénin, Burkina Faso et Niger) en vue de l’entrée en vigueur du projet, la tournée devra aboutir à la mise en place d’un calendrier des travaux à mener.

Photos: réunion avec le DG du Centre national de gestion des réserves de faune – CENAGREF avec la participation de représentants d’Africain Parks.

Ainsi, l’équipe de l’Unité régionale d’exécution du projet, conduite par M Louis Blanc TRAORE, Coordonnateur régional du projet, et composée des MM Abdoulkarim BELLO, Expert environnementaliste, Néjib BEN SEOUD, expert financier et Youssef AMADOU, assistant technique, prendra le relais de la mission conduite par M Ben KHATRA dépêchée par l’OSS.

Il est important de rappeler que le projet ADAPT-WAP constitue le premier projet d’envergure régionale soumis au financement du Fonds d’adaptation par l’Observatoire du Sahara et du Sahel, en tant qu’entité régionale de mise en œuvre. Il devrait permettre de renforcer la résilience des écosystèmes et d’améliorer les conditions de vie des populations riveraines face au changement climatique à travers l’établissement d’un système d’alerte précoce multirisques relatifs aux sécheresses, inondations et incendies et la mise en œuvre de mesures concrètes d’adaptation.
Un projet qui vient donc renforcer les actions pour l’atteinte des objectifs  du développement durable.
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Bénin : Vodoun, conservateur de la biodiversité, mythe ou réalité?

Logée naturellement dans une végétation dense, et bien verdoyante, la culture Vodoun au bénéficie de la discrètion où séjourne un air humide combiné à l’éternel mouvement des différentes sortes d’espèces animales.

Le Voudoun, comme identité culturelle et religieuse mais aussi écologique au Bénin


Tant vénéré comme bienfaiteur, et décrié comme malfaiteur, le Vodoun reste et demeure l’ultime solution pour la conservation de des ressources naturelles au Bénin. Lui, qui dispose d’une intimité, ne réclame que respect de son intégrité physique et morale. C’est du moins ce qu’il faut retenir du Chef traditionnel, Dah Baba Assandjè, << le Vodoun suscite la crainte et le respect de la biodiversité qui constitue son éternel empire. 
Au Bénin, ces empires (milieux) sont craintivement appelés « Zoun » en langue nationale Fon et sous-entend en français facile forêt sacrée.
Le Bénin en dispose deux mille neuf cent-quarante (2940) sur son territoire fait savoir le Lieutenant-Colonel Vincent de Paul Béhanzin Chef d’instruction forestière dans le département du Zou. Elles couvrent une superficie de 18 360 hectares soit 0,16% ajoute-il.

Le pays du vodoun, le Bénin, peut-il se frotter les mains d’avoir une partie de sa biodiversité terrestre sous surveillance absolue des divinités traditionnelle

?


En effet, la sacralisation des forets qui se présente comme une forme endogène de conservation de la biodiversité, est l’un des vecteurs de protection de nos ressources animales et végétales. Elle constitue une niche pour les espèces végétales et animales menacées. Nous avons franchi des palissades et rencontrés des espèces végétales comme le Triplochiton scleroxylon, ceïba pentandra, Sterculiotra gacantha, Céleis Zinkeri, les bambous, l’iroko, le figuier, le calcédra, le Néré, le teck et bien d’autres espèces végétales dans lesquelles vadrouillent des reptiles (Rat roussard), cricetome, des insectes, des chauves-souris, des canivores des herbivores et des potamochères. Mais, parlant des différentes sortes de Vodoun qui assurent cette fonction sentinelle de l’écologie béninoise on peut citer, des explications d’un spiritualiste traditionnel : Sakpata « Divinité de la Terre », Dan « Divinité du Serpent », Hêbisso  » Divinité du feu », Ogou « Divinité du Fer », Aïdo- Houedo  » Divinité de l’air », Tohossou « Divinité de l’eau » etc …

Le cas passionnant de la forêt sacrée  de Avocanzoun dans la commune de Djidja au centre Bénin



Pour Dah Avocanzoun Sekofolé, Chef coutumier et Supérieur hiérarchique de la forêt sacrée Avocanzoun sise à Djidja, arrondissement de Agondji dans le village Avocanzoun, tout comme la forêt sacrée de Avocanzoun les milieux naturels qui hébergent des divinités, sont des lieux sacrés de prière, d’imploration aux ancestres, de rites et de rythmes du Vodoun. La forêt sacrée d’Avocanzoun, vaste de 16 hectares constitue l’ancienne demeure de Tata Avocan, était le lieu d’imploration de la divinité en cas de longue saison sèche. Dah Adandokpossi Houndéguéssi Kpozounmè renchérit que des interdits d’y faire la chasse et de couper des arbres sont connus de tous et respectés. À en croire ce dernier, les divinités protègent toute la communauté mais exigent en retour que leurs intégrité et intimité soient préservées.
Un adepte raconte : <<Il y a trois ans, deux individus pourchassant une biche avec des feux de brousse aux abords de la forêt de Avocanzoun et qui sont rentrés dans la forêt ne se sont plus retournés ni retrouvés jusqu’à présent>>. Et voilà qui vient renforcer la croyance et la crainte à la divinité dans toute la communauté d’Avocanzoun.


Une croyance traditionnelle qui fait du bien à l’homme et à la nature


Nonobstant, les riverains rencontrés ne désarment pas du respect à la divinité ni à son habitat. Ils estiment que c’est en s’inscrivant dans la logique de tisser la nouvelle corde à l’ancienne que cet héritage continue d’exister. Certes, toutes leurs activités sont plus ou moins limitées mais c’est quelques fois le prix à payer pour qu’ils aient l’écoute attentive et favorable des divinités ancestrales. Pas plus pour dire comment le respect de la mémoire des ancêtres peut permettre à toute une communauté de bénéficier des avantages socio-culturels, réligieux, spirituels et écologiques de cette forêt. Affirmons tout de même que c’est une forme de conservation positive des ressources naturelles, elle contribue contre vents et marées au rétablissement de l’équilibre écosystémique. 


Le Bénin peut bien se frotter les mains non seulement d’avoir une partie de sa biodiversité terrestre sous surveillance des divinités traditionnelles mais aussi d’avoir sa pharmacie verte. Comme pour justifier que  cette forme de conservation des ressources naturelles, reste et demeure une solution à la protection des plantes médicinales dixit le tradi-thérapeute, Amantèkpo. Il soutient que si la médecine traditionnelle continue de survivre, c’est grâce à toutes ces formes traditionnelles ou modernes de conservation forestière. 

Toutefois, les acteurs (traditionnalistes, Chef coutunmies etc…) semblent divisés sur la question du mythe ou de la réalité de ce rôle discrèt du Vodoun. En effet, pour certains, il existe des fois qu’ils sont obligés de créer un mythe prétextant le vodoun pour protéger les ressources naturelles. Car argumentent-ils c’est la seule et première force que craignent les béninois.  
Pour d’autres c’est sans commentaire, tous les interdits faits autours du vodoun restent et demeurent une réalité. Il suffit d’essayer de transgresser un des interdits pour rafler le lots de malédictions.

Dah Atannon, Chef traditionnel à Zouzonkanmè dans la commune de Savalou fait partie de ces derniers qui continuent de croire fermement à l’efficacité du vodoun dans la protection de la biodiversité. Il a pour sa part étayé son argumentation par le rappel des événements des années 80 où l’ancien Chef d’Etat le Feu Général Mathieu Kérékou qui avait ordonné une gigantesque opération d’abattage de toutes les espèces d’arbres qui abrite des divinités, prétextant ainsi qu’elles sont à l’origine des multiples échecs de sa gouvernance. Une opération d’abattage qui par conséquent, a provoqué une grande famine et une longue période sèche au Bénin. 

La nostalgie des années 80 est marquée par une transgression de la nature et la sévère réplique de cette dernière. 
Mémé Aholou, ancienne fonctionnaire du développement rural, s’en souvient comme si c’était hier. Elle renchérit que même des animaux sauvages venaient tous assoiffés chercher de l’eau dans les ménages par agressivité. Le Bénin était au bord du gouffre sur le plan de l’alimentation, de l’eau et d’aisance climatique, nos divinités ancestrales se sont fâchées et nous jettent des sorts, déclare Mémé Aholou. Elle ajoute malgré cet évènement plusieurs forêts sacrées ont résistés face à la menace. C’est à cet effet que le même Chef d’Etat le Feu Général Mathieu Kérékou, convaincu des enjeux spirituels et religieux des forêts sacrées, a instauré de la Journée Nationale de l’Arbre au Bénin effective les premiers (1er) Juin de chaque année. Dah Avocanzoun Sekofolé, Chef coutumier et Supérieur hiérarchique de la forêt sacrée Avocanzoun sise à Djidja, arrondissement de Agondji dans le village Avocanzoun, a souhaité qu’à l’immédiat toutes les autres forêts classées ou communautaires soient sacrées au nom de la tradition car pense-il, la sacralisation d’une forêt est d’importance socioculturelle, religieuse et surtout écologique. Car, même la forêt sacrée d’Avocanzoun a connu un renforcement par reboisement intensif. 

Alors, cette histoire des années 80 n’est que le miroir de ce qui pouvait subvenir quand les forêts sacrées, classées ou communautaires disparaîtront.  
Retenons simplement qu’en Afrique, un milieu naturel constitue forcément l’habitat d’une divinité qui surveille et procure du bien à sa communauté. Respectons la mémoire de nos ancêtres en nous occupant plus de l’héritage à nous laisser. Et le Bénin détenant l’unique carte d’identité du Vodoun au monde se doit de valoriser son rôle centrique dans la protection de la biodiversité béninoise. Toutefois, il urge de rappeler que c’est parce que cette biodiversité existe, que nous, nous existons.
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Revivez les Journées Ecocitoyennes du Bénin, 01 mois après

DevEnergy Plus et son Partenaire la fondation Konrad Adenauer peuvent se frotter les mains

Il y a un mois jour pour jour que l’un des plus grands évènements environnementaux au Bénin et sur le continent africain se déroulait à Cotonou. Il s’agit des Journées EcoCitoyennes du Bénin. L’évènement qui a connu la participation d’une centaine d’acteurs de l’environnement du Bénin et de 10 autres pays africains a repositionné la question de la protection de l’environnement et du changement climatique. Initiées par Dev Energy Plus en partenariat avec la fondation Konrad Adenauer. Les participants ont eu droit un forum scientifique international et une foire d’exposition.
Du Panel 1

Le panel n°1, ayant pour thème : << Les effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle aujourd’hui : évaluation de leur vulnérabilité >> a été enrichi par les communications de Dr Abdoul Salam KORONEY, de l’université de Tillaberi (Niger) et Dr Expédit AGO, de l’université d’Abomey-Calavi (Bénin). Sous l’excellente modération de M. Ricardo KPENOU, Journaliste à l’ORTB. Les causes et les effets du changement climatique ont été énumérés puis des approches de solutions sont aussi envisagé pour la préservation de l’environnement.
Du Panel 2

Quant au panel 2 qui a eu pour thème : « Adaptation : Réponses possibles aux défis que représente le changement climatique pour la sécurité alimentaire ». Les participants ont eu l’honneur d’être entretenus par Dr. Hervé WOUAPI de l’université de Dschang (Cameroun), M. Rivaldo KPADONOU, de Green Expertise (Bénin) et Mme Judith BOSSOUVI, du ministère béninois de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. Il a été modéré par M. Christian DONGMO, de Acte2Eau (Togo), ce panel a essentiellement servi à réfléchir aux actions concrètes à mener par les acteurs du secteur environnemental pour impliquer chaque africain dans cette lutte, afin de garantir la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour les générations actuelles et celles à venir.
Du Panel 3
Le panel 3 du forum scientifique international Les Journées Ecocitoyennes du Benin avait pour thème : « Coordination, cohérence des politiques et des interventions relatives au nexus climat-alimentation-développement humain ». Sont intervenus pour enrichir M. Harry VIDEROT, Talent Incubator (Bénin), M. Reisch Vanel ATTIPO, ONG OJED, (Congo) et Dr. Edmond SOSSOUKPE, UAC (Bénin). La modération de ce panel a été exécuté par Joel Antime Sossa.
Du Panel 4

En ce qui concerne le panel 4, il a tourné autour du thème : « Accès à l’énergie et lutte contre le changement climatique : opportunités et défis au Bénin ». Les participants, entretenus par M. Serge HOUNDONOUGBO, Coordonnateur Projet Biomasse / Electricité (Bénin), Dr Léonide SINSIN, DG ARESS (Bénin), M. Bérenger AMOUSSOU, UAC (Bénin) et M. Bernard HESSOU, Chef Division Études, Finances des Projets du West African Power Pool (WAPP) ont tous montré de leurs engagements. C’est Mme Mirabelle AKPAKI qui a modéré ce panel.
De la table ronde

Enfin, la première édition des Journées Ecociroyennes du Bénin a permis aux participants de prendre part à la table ronde relative au thème : Défis du nexus Climat-Alimentation-Habitat-Energie pour l’éco-citoyenneté. Étaient présents comme panéliste, le Professeur Euloge OGOUWALE, UAC (Bénin), M. Souleymane DIA, Architecte (Mali), Dr. Edmond SOSSOUKPE, Ex DG de l’ABE le Professeur Koffigan AGBATI, de l’université de Lomé (Togo). M. Djara Moussa SOUMANOU a modéré cette table ronde.

Des solutions environnementales exposées

Voici les solutions environnementales présentes à la foire d’exposition
🌱 Africa Immo, Expert du foncier sécurisé
🌱 Nadia Institut de Beauté
🌱 ARESS (African Renewable Energy System and Solution)
🌱 Les serviettes hygiéniques lavables de la collection K’ Omora
Toute l’équipe organisatrice composée, tant de membres de Dev Energy Plus que de membres de la Konrad Adenauer Stiftung, continue de témoigner sa reconnaissance pour tout l’intérêt porté à ce projet d’utilité nationale et continentale. Rappelons que cet évènement a reçu une impressionnante couverture médiatique et a connu la présence de EcoCitoyens TV. Prenez le rendez vous pour quelques jours où vous aurez en vidéo une compilation des Journées Ecocitoyennes du Bénin.
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EcoCitoyens TV : Actualité, Ecocitoyenneté et Durabilité

EcoCitoyens TV fait peau neuve

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ONG AIDES AFRIQUE : Le Président Romain DOKPON et son équipe oeuvrent pour l’épanouissement des jeunes

Dans sa dynamique d’atteindre les objectifs du développement durable, les cadres de l’ONG Aides Afrique font le points de leurs activités et engrengent de nouvelles perspectives.

C’était le vendredi 03 Janvier 2020 dans la salle de réunion CHEZ BIO et sous l’oeil vigilant du Président de cette Organisation, M. Romain DOKPON, qui, à l’entame de la séance à souhaiter ses voeux les meilleurs à tous les cadres présents. L’évènement qui a connu la présence d’une cinquantaine de jeunes cadres a été marqué par de riches échanges.

Des différentes interventions, il faut retenir que les jeunes cadres de l’ONG Aides Afrique sont bien conscients des grands enjeux et défis qui s’imposent à eux. Ce fut de même le cas du Président qui s’est montré très préoccuper de l’épanouissement des jeunes.

ONG AIDES AFRIQUE pour une jeunesse forte et autonome

D’ailleurs, il a pour l’occasion dévoilé en accord avec ses siens, les ambitions qu’il nourrit à savoir : de déléguer des représentants dans chaque commune du Bénin avec pour effet d’impacter plus de jeunes, de faire adhérer le maximun de jeunes à la cause de l’ONG Aides Afrique, d’offrir aux jeunes élèves des travaux dirigés gratuits en guise de renforcement de niveau, d’organiser expressivement des tournées dans toutes les écoles et universités du Bénin à la rencontre des jeunes toujours dans la vision de les identifiés avec leurs différents problèmes et d’y apporter le plutôt possible des solutions adéquates en communion avec les autorités à divers niveaux.

Une tournée express d’impact à la rencontre des jeunes

Soulignons que la tournée qu’entreprend le Président de l’ONG Aides Afrique démarre officiellement le vendredi 10 Janvier 2020. La première phase de cette tournée va à l’endroit des étudiants des universités puis la deuxième phase à l’endroit des élèves des écoles et lycées sous la bénédictions divines de Dieu et les mânes de nos ancêtres sera assortie d’une forte déclaration sous forme de plaidoyer des jeunes a l’endroit des différentes personnalités et institutions du pays. La séance qui s’est déroulée dans un climat convivial, s’est achevée sur le mot de fin du Président M. Romain DOKPON qui, plus que convaincu de la détermination de ses pairs, a néanmoins exhorté les uns et les autres à un travail d’équipe inlassable pour inscrire l’ONG Aides Afrique au rang des grandes associations du Bénin et d’Afrique.

ONG AIDES AFRIQUE, c’est des défis de taille mais réalisables

Pour rappel, l’ONG AIDES AFRIQUE est présente en côte d’ivoire, au Burkina Faso et aux Etats Unis. Elle contribue à l’insertion socio-professionelle des jeunes et leur implication dans les instances de prise de décision. L’ONG AIDES AFRIQUE oeuvre également pour l’autonomisation et l’amélioraion de l’employabilité des jeunes à travers  la promotion du leadership féminin et de l’entreprenarial dans le domaine de l’éducation, des langues nationales, de l’artisanat et de la lutte contre la pauvreté en général. De surcroit, l’ONG AIDES AFRIQUE promeut aussi la bonne gouvernance et le respect des valeurs de la République.

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Climat : Voici les risques sanitaires au temps d’harmattan

Les effets du temps d’harmattan sur la santé de l’homme

Au temps d’harmattan, les hôpitaux et centres de santé signalent un nombre plus important d’hospitalisations, pour des motifs telques : des migraines ;poussées d’hypertension artérielle ; bronchites ; troubles psychiques, décompensation psychiatrique (agitation, dépression, etc.). Mais à en croire les spécialistes de santé, l’harmattan pris dans son caractère doux joue un rôle de regulation du fonctionnement de l’organisme humain. Seulement que précisent ils, certains organismes fragiles reçoivent un choc et de ce fait constituent les plus hospitalisés.

En revanche, l’harmattan profite de la sécheresse qui fragilise les voies respiratoires pour favoriser la propagation des épidémies de méningite (à Neisseria meningitidis), à la fois parce qu’il en véhicule la bactérie dans ses poussières. A l’issue des tempêtes de poussière constaté et vécu par moi même au nord Bénin, des cas de méningite ont signalé.

Ralentissement des activités de l’Homme

L’harmattan, avec sa durée et son intensité, peut aussi fortement influencer la production agricole des communautés de l’Afrique occidentale quand bien même que la plupart des cultures sont à la phase de récolte ou post-récolte mais de l’autre côté, a pour effet parfois de ralentir les activités humaines. Une situation anticyclonique qui ne laisse personnes d’indifférent même sur les réseaux sociaux les internautes en parlent de manière plus comique nous avons fait une compilation de leurs réactions pour vous.

Des réactions peu curieuses mais comiques des internautes

Nous avons Ange Franco Adomou qui post : Harmattan chapitre 3 verset 43 : « En vérité je vous le dis, celui qui regarde le savon, l’éponge et l’eau s’est déjà lavé » Homélie : »L’intention vaut l’acte » 🤓

D’autres en profitent pour faire du commerce en ligne : Dites Non à l’Harmattan en Tombant amoureux de nos Beurres à lèvres pour une hydratation parfaite de vos lèvres. 😂

Chakirou Soulé, dépassé par l’ampleur de l’harmattan écrit : J’ai l’impression que ce n’est pas notre harmattan du sud qu’on connaissait là ça ! ! ! C’est L’Harmattan du Nord que nous subissons. Kooooyïïï !! Difficilement l’eau bouillie sur le feu. 😁

Ibrahim Natabou par contre dixit : j’ai fait 9 mois dans le ventre de ma maman sans me laver et c’est à cause de pétit harmattan de 4mois, je vais risquer ma vie? Non 😅
Et voilà qui fait bien s’amuser les internautes qui ne cherchent guère à comprendre le phénomène sous ses formes.

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Climat : Que comprendre de cet harmattan présumé glacial?

L’harmattan, l’harmattan, l’harmattan ….  qu’est ce que l’harmattan?

L’harmattan est un alizé continental autrement dit un vent du nord-est, très chaud le jour, plus froid la nuit, très sec et le plus souvent chargé de poussière. Il souffle vers le sud-ouest en provenance du Sahara et affecte le golfe de Guinée en hiver, entre la fin novembre et le milieu du mois de mars. Etant donné qu’il associé au régime anticyclonique (haute pression barométrique) habituel de la saison sèche des climats tropicaux, l’harmattan s’accompagne d’une inhibition pluviométrique absolue. Dés lors, il en résulte un ciel clair, et une très forte luminosité bien que parfois réduite par les poussières atmosphériques.

Je dois être fier de mon cours à l’Université sur le Climat des Tropiques en 2eme année de Géophysique que je prenais tant du plaisir à expliquer aux amis en me basant sur la circulation atmosphérique présentée par la cellule de Hadley.

Une circulation atmosphérique résumé par ce schema appelé Cellule de Hadley

En Afrique de l’Ouest, cet alizé continental, provenant des hautes pressions subtropicales centrées sur l’ensemble du Sahel-Sahara, est ressenti parfois jusque dans les zones côtières comme un vent du désert, desséchant et poussiéreux. C’est le cas du Bénin actuellement où des populations des communes du sud et du centre, méconnaissent cette ampleur aggressive du phénomène dans leurs zônes respectives. Cette condition atmosphérique temporaire se laisse remarquée très vite dans la Zône de Convergence InterTropicale à cause l’habituel climat chaud et humide de cette zône.

Les températures par temps d’harmattan sont glaciales en hiver

En ce temps d’harmattan, les nuits ont commencé à être fraîches voire un peu froides mais l’air s’échauffe très rapidement avec le soleil ; la chaleur brûlante et sèche venue du nord s’abat brusquement, et l’écart diurne de la température atteint 20 °C à 30 °C à cause de l’extrême siccité de l’air (baisse brutale de l’humidité relative). La dynamique de l’harmattan fait repousser le front intertropical (FIT) au-dessus du golfe de Guinée et empêche ou diminue grandement les précipitations pluvieuses sur l’ensemble de la région.

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Fête de nouvel an : les feux d’artifices, un danger pour l’homme et son environnement

ATTENTION ! ⚠ Les feux d’artifices sont dangereux pour vous et l’environnement !

Chaque nouvel an, on assiste à de nombreux feux d’artifices lancés et un partout au Bénin à l’occasion des fêtes. L’apothéose de ceux ci nous le savons à lieu à Cotonou.
Mais, vous êtes vous demandés un jour de quoi sont constitués les feux d’artifice ?
Un feu d’artifice est essentiellement constitué de poudre noire composée de charbon, de soufre et de salpêtre, ainsi que d’un agent oxydant (le plus souvent du perchlorate de potassium). On trouve aussi des particules fines métalliques qui confèrent leurs couleurs éclatantes aux feux d’artifice.

Mais alors, en quoi ils sont polluants et dangereux ? 

Tout simplement parce que lors de son explosion, la bombe libère des millions de particules fines dans l’atmosphère qui génèrent une importante pollution, bien plus élevée que celle due à la circulation automobile
Ces particules fines sont à l’origine de problèmes de santé bien documentés : affections respiratoires, augmentation des risques chez les asthmatiques et les personnes cardiaques, etc.

En plus, la combustion de la poudre noire entraîne un important dégagement de CO2 dans l’atmosphère.
Plus la quantité de poudre est élevée, plus le feux d’artifice est long et plus la pollution est importante.

Mais ce n’est pas tout ! 

lorsqu’elles retombent sur le sol, les poussières ( des feux d’artifices) vont aussi polluer l’environnement.

Le propergol (un agent de propulsion) et les colorants non brûlés contaminent les sols et les rivières. Le cuivre, par exemple ( utilisé pour produire la couleur bleue, est susceptible d’entraîner des taux élevés de dioxine et des problèmes de peaux ;
le phosphore entraîne une eutrophisation des lacs et le baryum( utilisé pour produire la couleur blanche) peut avoir des effets nocifs sur le cœur et l’intestin.
Les plans d’eau à proximité des stations balnéaires et des parcs d’attractions, où les feux d’artifice sont fréquents, connaissent ainsi des problèmes récurrents de qualité de l’eau.
Il faut enfin compter avec la pollution « visible » : les résidus de carton et de papier qui jonchent le sol après le tir et qui ne sont pas toujours ramassés.
Bref, pour limiter les dégâts sur votre santé, vaut mieux rester loin et apprécier les feux d’artifice de très très loin même si desormais certaines sociétés americaines tentent de produire des feux d’artifice moins polluants.
Mais vu leur impact sur l’environnement ne serait il pas mieux de les remplacer par d’autres célébrations écologiques?

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Bénin| Des recrutements pour un projet de résilience climatique au Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable

Le ministère du cadre de vie et du développement durable recrute une équipe de gestion du projet de résilience au climat des communautés rurales du centre et nord du Bénin grâce à la mise en oeuvre de mesures d’adaptation basée sur les écosystèmes (Eba) dans les paysages forestiers et agricoles.

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EcoCitoyens TV : Allure impériale d’un activisme environnemental à part entier

Le compte à rebours 2020 commence bientôt. Le bilan 2019 de mon activisme environnemental sur le blog EcoCitoyens TV est impécable, c’est du monis ce que je retiens après analyse des réactions et statistiques à ma disposition. Ah Oui, c’est un succès, il faut le reconnaître, ceci grâce à vous car je ne saurais être ingrat à votre égard.

Franchement, vous avez été aussi nombreux à me suivre. Des milliers, selon les statistiques à moi fournir par Google Analytic, EcoCitoyens TV a atteint 5002 personnes à travers différents pays du monde.

Voici les détails en capture d’image. 

Les types de téléphones et ordinateurs utilisés pour nous suivre

Les différents navigateurs utilisés pour aller sur EcoCitoyens TV

D’où est ce que vous nous lisez? ( pays du monde )

Avec environ une centaine d’articles bien écrits, suffisament informatifs et scientifiquement mieux analysés, EcoCitoyens TV a su apporter peu à peu la transition écologique dans la conscience de nombreux citoyens nationaux et internationaux.
En cette fin d’année, je remercie tout le lectorat francophone et francophile même anglophone qui servant de l’outil google translate parfois m’ont suivi et encouragé. Merci à tous ceux qui ont participé à cette formidable aventure. Pendant ces douze (12) mois, vous avez pris connaissance de plusieurs concepts environnementaux sur le climat, l’eau, le sol, l’écosystème et pas les moindre.
De plus, je suis souvent ému par vos réactions et commentaires, je vous remercie du fond du coeur. Et comme toujours, je travaille à l’instant même à vous offrir le meilleur. J’affine d’ors et déjà mes plumes numériques de sorte à les rendre plus savoureuses et digestes au goût des fidèles lecteurs que vous êtes. J’avoue que je me suis découvert dans cet engagement écologiste. En ce jour où je célèbre mon anniversaire je me souhaite une bonne santé et le meilleur non seulement à moi mais aussi à tous mes proches bien aimés. Bonne Année 2020 par anticipation. Et ce fut le dernier article de 2019.👏

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Réduction des Substances Appauvrissant la couche d’Ozone : le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable communique

Dans le cadre de la mise en oeuvre des dispositions de l’amendement de Kigali portant sur la réduction des Hydro FluoroCarbones (HFCs) et de la réglémentation sur les Substances Appauvrissant la couche d’Ozone. Le ministre du cadre de vie et du developpement durable communique :

Liste des pièces à fournir pour l’obtention de l’agrément d’importation de fluides frigorigenes en République du Bénin 2020-2021 :

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AGRHYMET : Appel à candidature Master en Changement Climatique et Développement Durable (CCDD)


MCCDD

Dans le cadre du renforcement des capacités des cadres du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest, le Centre Régional AGRHYMET organise une formation de Master en Changement Climatique et Développement Durable (CCDD) en juin 2020.
L’objectif du Master est de former des cadres de haut niveau qui sauront, d’une part, valoriser et capitaliser les connaissances sur la science du climat pour les études de vulnérabilité, d’impact et d’adaptation au changement climatique (CC), et d’autre part, faire intégrer la dimension CC dans les plans d’actions, les programmes et les stratégies régionales, nationales et locales de développement. Ce master vise également à former des cadres qui seront capables d’aider les pays à s’intégrer activement dans les débats inter gouvernementaux sur le climat.
Le groupe cible est constitué des professionnels des services publics, parapublics ou privés œuvrant  dans les domaines de l’Agrométéorologie, l’agriculture, la foresterie, l’écologie et la  géographie etc.
Conditions de candidatures : Le présent appel à candidatures régional s’adresse aux étudiants et aux professionnels des services publics, parapublics ou privés œuvrant  dans les domaines de l’Agrométéorologie, l’agriculture, la foresterie, l’écologie et la  géographie etc. NB: Vous devrez chercher vos financements
La liste des informations détaillées sur les conditions de candidatures et le programme des études peuvent être consultées sur le lien suivant : http://agrhymet.cilss.int/wp-content/uploads/2018/12/fiche_MCCDD.pdf
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Education relative à l’environnement : Voici le récapitulatif du Projet Educ’Eco, financé par ECOLOTRIP

Le projet Educ’Eco, 1er prix du meilleur projet environnemental de la week-eco 2019 organisé par Ecolotrip a été officiellement lancé le lundi 09 décembre 2019 au Village d’ enfant SOS de DASSA.  Cette cérémonie est marquée par la présence du 1er adjoint au maire de Dassa, du directeur de programme du Village d’enfant SOS de Dassa , du chef d’arrondissement du 1er arrondissement, de la coordonnatrice du village d’enfant SOS de Dassa  du point focal de Ecolotrip Bénin Mlle Francine Oboubé KAKPO , du directeur de l’école Synergie des grâces, les enseignants et les écoliers .

Ce projet porté par GUEZODJE Manolline Brunelle a officiellement été lancé par le 1er adjoint au maire de Dassa marquant ainsi le démarrage des activités de Educ’Eco 2019 dont l’objectif est de promouvoir les actions du développement durable à la base à travers l’éducation environnementale des enfants pour lutter contre les changements climatiques.

Le projet a été exécuté dans les communes de (Dassa et Savalou)  dans 4 écoles :A Dassa, les écoles bénéficiaires sont le Village d’enfant SOS de Dassa et le CSP La Synergie des grâces, à Savalou l’école catholique Notre-Dame et le CSP  KAKE-5.

Les activités menées pour atteindre l’objectif de EDUC’ECO sont la Sensibilisation, la campagne de salubrité dénommée opération « School clean » et des ateliers de bricolage et de fabrication de valorisation des déchets papiers.

Au cours de ces ateliers, d’une école à une autre nous avions fabriquer avec les écoliers, des boîtes, des sacs 🛍 ainsi que des porte monnaies, nous avions eu également à fabriquer des papiers à crayon à base des papiers a déclaré la Chargée de Projet Brunelle Guézodjè.

Il faut noter que pour évaluer la compréhension des enfants bénéficiaires, Educ’Eco à organisé le concours prix Educ’Eco2019.

Ce concours a connu deux phases Une première qui a consisté en une évaluation écrite à l’issue de laquelle deux meilleurs candidats de chaque école ont été sélectionnés et la deuxième phase s’est jouée entre les 8 Finalistes désormais les éco délégués de Educ’Eco.

A l’issue de la finale, l’école village d’enfant SOS de Dassa a remporté avec Brio le prix.

Le prix de l’excellence à été remporté par ADJIWA Farid du CSP KAKE-5 qui a obtenu 19/20 à l’écrit et fut donc le 1er de toutes les écoles.

Educ’Eco est un projet d’éducation relative à l’environnement, financé par Ecolotrip et conduit de main de maître par Guézodjè Brunelle Manolline, tout en remerciant tous ceux qui ont participé de près ou de loin à la réussite de ce projet.

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Pollution & Gaspillage : les fêtes de fin d’année sont elles écolo?

EcoCitotens TV se doit de faire une campagne de sensibilisation à une consommation plus sobre et plus raisonnée. Les béninois commencent à consommer de manière exponentielle des produits de tous genres ainsi nous tendons vers une surconsommation pendant que animaux et végétaux disparaissent à un rythme inquiétant, les sols arables s’épuisent, nos déchets polluent l’air, l’eau et le sol, le climat se dérègle au point de menacer la vie un peu partout sur Terre.  Nous devons impérativement réduire notre consommation.
Nous vous invitons donc à vous inspirer de cette proposition pour un Temps des fêtes sans achat à outrance. Mise en pratique dès maintenant, la simplicité nous épargnera non seulement des vendredis noirs, mais, et surtout, un avenir plus que sombre.

Les fêtes de fin d’année avec ses atteintes à l’environnement

Les fêtes de fin d’année vont (très) vite arriver et c’est tant mieux ! Ce sera pour toujours un temps de pause et de retrouvailles avec la famille et les copains, bien ancré dans la tradition. Mais cette année est un peu différente pour moi : j’ai une grosse envie de changement. Depuis un bon temps je m’inquiète beaucoup pour notre avenir, et comme vous le savez, toutes les informations qui passent sur le changement climatique me touchent et je commence à saisir ma propre responsabilité dans ce désastre.
Alors voilà, mon souhait le plus cher pour cette fin d’année : passer un Noël qui tende le plus possible vers le zéro déchet. Concrètement pour les cadeaux que vous ne manquerez pas de vous offrir, ça implique : zéro cadeau en plastique, zéro produit du bout du monde, zéro piles, zéro emballage.

Avec le flot de l’offre commerciale en ces temps ci, il y a toujours le choix entre payer et acheter, faire des sorties sport ou culture, des produits locaux, utiles et éthiques.
Vous me connaissez bien et vous vous dites que j’exagère, que je veux certainement être en première ligne de la transition écolo et que je devrais balayer devant ma porte avant de faire la morale aux autres. Vous avez entièrement raison et je suis loin de la perfection, c’est pour ça justement que j’ai besoin de vous ! Nous pouvons prendre le temps d’en reparler ensemble en particulier.
Il faut tourner le dos à l’achat de nourriture non nécessaire qui finira probablement aux poubelles et de produits qui ne seront utilisés que rarement et qui seront oubliés au fond du garde-manger ou du réfrfêtes
teur.

Gaspillage et pollution pendant les fêtes

Par ailleurs, pour aller plus loin dans la lutte au gaspillage et à la pollution, il faut viser une meilleure efficacité de nos terres en se tournant vers une alimentation à base de végétaux et la plus près de nous possible. D’abord, c’est selon moi un non-sens d’utiliser autant de ressources (eau, nourriture, surface agricole, carburant pour le transport, etc) pour élever du bétail. Une alimentation à base de plantes utilise les ressources d’une manière beaucoup plus efficace et celle-ci s’inscrit donc mieux dans la philosophie minimaliste. De plus, s’approvisionner via des sources locales diminue le transport associé aux aliments et permet une plus grande proximité avec le producteur et donc, une moins grande dépendance aux aliments importés. L’alimentation dans la sobriété permet donc d’économiser, d’être en meilleure santé et d’avoir un impact environnemental plus faible. Sur ce, EcoCitoyens TV vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année.🤗

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Santé saine en 2020 : Voici les 10 principes à adopter

Certaines mauvaises habitudes alimentaires sont dommageables à votre santé. Pour remedier au fait, nous vous proposons  d’éviter certaines habitudes pour que 2020 soit une année de santé pour chacun de vous.

1.Tous les aliments que vous consommez après 20h sont comme du Poison pour votre corps.

2.Si vous pouvez suivre la thérapie de l’eau pendant 3 mois religieusement, votre peau, votre corps et vos organes commenceront à fonctionner bien.

3.Savez-vous que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée; Si vous devez sauter un repas, ça ne devrait pas être le petit déjeuner.

4.Savez-vous que trop de viande rouge est très dangereux pour votre santé.

5.Savez-vous les gens qui sourient toujours vivent plus longtemps, ont l’air  plus jeune et sont plus en bonne santé.

6.Pour chaque bouteille de boisson gazeuse que vous consommez, vous venez de prendre 9 cubes de sucre, et cela prend 7 jours pour que cela sorte de votre corps; Les hommes augmentent leur probabilité d’avoir une crise cardiaque de 20 pour cent.

7.La viande frite est un tueur, dommageable pour votre corps.

8.Les personnes qui ne prennent pas le petit déjeuner auront un taux de glycémie inférieur.

9.Tenir vos urines lorsque vous êtes censé lâcher est une autre façon pour vs vous d’endommager votre foie.

10. Ajouter du sel dans votre nourriture quand elle est déjà servie est
Une autre façon de vous empoisonner lentement les organes vitaux.

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Projet Educ’Eco de Brunelle Guezodjè : de l’idée à la réalité

Le projet Educ’ Eco de Brunelle Guezodjè, gagnante du concour Week Eco, a vu le il y a une semaine jour pour jour (lundi 09 décembre).
La cérémonie de lancement qui a eu lieu à SOS village des enfants de Dassa. Etaient présents, le premier adjoint au maire de Dassa, le chef du 1er arrondissement, le directeur programme de SOS village des enfants, la coordinatrice de SOS Village des enfants, le directeur de l’école Synergie des grâces, le point focal  Ecolo Trip, les enseignants et les enfants.

Objectif du projet rappelé par Brunelle Guezodjè est de promouvoir le développement durable à travers l’éducation environnementale à la base. Pour les autorités présentes, le projet Educ’Eco est à saluer et à intensifier pour une prise de conscience écocitoyenne à la base. Selon Ludovic Bekou, Formateur et Coach du programme Femme Impact, les gestes les plus basiques et les plus nobles sont celles qui font de notre environnement sain et propre.


 Séance de salubrité en avec les écoliers

Ainsi, à SOS village des enfants de Dassa, de la sensibilisation à la salubrité en passant par les ateliers de bricolage, de fabrication des papiers à crayon,  à l’organisation d’un concour au profit des enfants excéllents où la remise du prix de l’excellence à Djiwa Farid de l’école Kake 5, l’objectif est globalement atteint.


De la remise du prix de l’excellence

Les enfants sont pleinement engagés déjà pour défendre notre environnement. Nous pouvons confirmer que la relève est assurée dxit Brunelle Guezodjè porteuse du projet Educ’Eco. Rappellons que le projet Educ’Eco a couvert les communes de Savalou et de Dassa avec 4 écoles.

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Camp des Jeunes Scientifiques du Bénin : Pari gagné pour le Dr Victorien DOUGNON et les siens

La 1eme édition du camp des jeunes scientifiques du Bénin a eu lieu du 13 au 14 décembre 2019 à l’UAC. Organisée par l’Académie des Jeunes Scientifiques du Bénin, cet évènement a réunit 114 jeunes scientifiques de divers domaines et sélectionnés sur 300 et quelques jeunes. Il a été l’occasion pour les panelistes (Professeurs d’université) de renforcer le niveau des jeunes sur certains aspects de la rédaction scientifique, du leadership scientifique et beaucoup d’autres thématiques.

A l’issue des échanges, plusieurs recommandations ont été faites pour une jeunesse scientifique au service du développement du Bénin. Le Président Dr Victorien Dougnon et le Sécretaire Général Dr Jean Robert Klotoe à la clôture de l’évènement se sont montrés satisfaits du dynamisme des jeunes et ont pris l’engagement de réediter cette rencontre. Ils ont pour leur part prodiguer des conseils aux jeunes (Se mettre en équipe, aux femmes de s’organiser autrement pour s’autonomiser, de rester humble et surtout d’avoir les qualités d’un leader scientifique).

Rappellons que, votre serviteur Megan Valère SOSSOU y était en tant que non seulement Jeune chercheur en Agroclimatologie mais aussi au titre de journaliste d’investigation scientifique. Les yeux sont désormais  rivés sur la prochaine édition

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COP 25 : Stop et fin! La montagne accouche d’une souris

La conférence climat de l’ONU qui s’est terminée dimanche à Madrid n’a pas été à la hauteur de l’urgence climatique, adoptant un accord a minima sans s’entendre sur des points essentiels en raison des réticences de certains États.

« Je suis déçu du résultat de la COP25 », a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres dans un communiqué.

Déception planétaire?

« La communauté internationale a raté une occasion importante de faire preuve d’une ambition plus grande en matière d’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre), d’adaptation et de financement de la crise climatique », a-t-il insisté. « Nous ne devons pas abandonner, et je n’abandonnerai pas. »
Après une année marquée par des catastrophes climatiques tous azimuts, les appels vibrants de millions de jeunes descendus dans la rue derrière la jeune Suédoise Greta Thunberg, et des rapports scientifiques toujours plus glaçants, les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris étaient sous une pression sans précédent pour cette COP25 présidée par le Chili, mais délocalisée à Madrid en raison de la crise qui frappe le pays d’Amérique du Sud.

La montagne a accouché d’une souris.

Malheureusement au terme de cette conférence qui s’est prolongée de plus de 40 heures son programme initial, tout le monde n’a pas vu dans les textes adoptés dimanche le reflet de cette demande d’actions urgentes et immédiates.
Le texte final appelle effectivement à des « actions urgentes » pour réduire l’écart entre les engagements et les objectifs de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +2 °C, voire +1,5 °C. Mais le langage est « tortueux » et le résultat « médiocre », a estimé Catherine Abreu, du Climate Action Network.

« Les principaux acteurs dont on espérait des avancées n’ont pas répondu aux attentes », a déclaré Laurence Tubiana, architecte de l’Accord de Paris, notant toutefois que l’alliance des États insulaires, européens, africains et latino-américains, avait permis d’« arracher le moins mauvais résultat possible, contre la volonté des grands pollueurs. »

Un tout pétit pas vers l’avant

Un projet de texte sur les ambitions présenté samedi par la présidence chilienne avait provoqué une levée de boucliers de ces États, forçant à un nouveau round de consultations
L’UE doit maintenant s’atteler à la tâche de présenter en 2020 un rehaussement de ses engagements pour 2030, ce qui pourrait donner le signal à ses partenaires internationaux de suivre l’exemple.
Et méme chez en Afrique, l’Union Africaine doit prendre des mesures pour l’urgence climatique et surtout de la justice climatique.

Quels risques?

Au rythme actuel des émissions de CO2, le mercure pourrait gagner jusqu’à 4 ou 5 °C d’ici la fin du siècle. Et même si les quelque 200 signataires de l’Accord de Paris respectent leurs engagements, le réchauffement pourrait dépasser les 3 °C.

Que faire?

Alors pour tenter de réduire cet écart, tous les États doivent soumettre d’ici la COP26 à Glasgow l’année prochaine une version révisée de leurs plans de réductions d’émissions. Mais les deux semaines de discussions ont mis en pleine lumière une division flagrante au sein de la communauté internationale en matière d’ambitions.

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Journées EcoCitoyennes du Bénin : Pari gagné pour Dev Energy plus

Ouverture hier de la première édition des Journées Ecocitoyennes du Bénin (JEB) organisée par Dev Energy en partenariat avec Konrad Adenauer à Bénin Royal Hotel à Cotonou.

Ce grand évènement a réunit une centaine de participants nationaux et internationaux au nombre desquels nous pouvons citer des élus-locaux, les coopératives de femmes, les acteurs de la société civile, les ministères de l’environnement, de l’eau et de l’agriculture, les chefs de projets, les chercheurs, les formateurs, les entrepreneurs et des personnels d’organismes d’encadrement de onze (11) nationalités diffférentes d’Afrique  le Sénégal, le Togo, le Cameroun, le Niger, le Guinée, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso,Nigéria,Congo,le Mali et bien-sûr, le Bénin qui mettent incessement en œuvre les principes de l’agriculture durable et de la sécurité alimentaire.

Après avoir souhaité la bienvenue aux participants, M. Wakil OLOULADE, Manager de Dev Energy Plus et Promoteur des Journées Ecocitoyennes du Bénin a remercié l’assistance pour l’intérêt porté au forum, avant de rappeler le contexte ayant donné naissance au projet.


A sa suite, Dr. Armand FOPAH LELE, représentant la KONRAD ADENAUER STIFTUNG a essentiellement consacré son mot de bienvenue à la présentation de ladite fondation, ainsi que ses objectifs.

Enfin, la chargée de Projet Madame Carine FALOLOU a rappelé les objectifs des Journées Ecocitoyennes du Bénin, qui ne sont rien d’autres que de :
• Rassembler les synergies entre les différents acteurs qui œuvrent pour la sécurité alimentaire et la lutte contre les changements climatiques.
• Échanger les savoirs et les savoir-faire locaux sur la question du changement climatique, des énergies renouvelables et de la sécurité alimentaire ;
• Proposer des actions à soutenir en faveur de la protection de l’environnement ;
• Professionnaliser les éducateurs à l’environnement ;
• Promouvoir les acteurs de l’environnement en leur offrant une plate-forme d’expression ;
• Susciter des actions communales en vue d’une ville écologique locale et utile ;
• Transmettre des recommandations aux décideurs politiques à travers une déclaration.

Du grand forum scientifique international
Deux panels ont agrément le grand forum scientifique de l’évènement. Le premier a permit aux participants et aux panelistes à savoir Dr Abdoul Salam Koroney de la FSA université de Tilaberi au Niger ; Dr Expédit AGO de la FSA UAC au Bénin d’évaluer la vulnérabilité de la sécurité alomentaire et nutritionnelle aux effets des changements climatiques.
Le second et le dernier panel de la première des Journées EcoCitoyennes du Bénin a été l’occasion pour Dr Hervé Wouapi de l’université de Dschang Cameroun, M. Rivaldo Kpadonou de Green Expertise Bénin et  Mme Judith Bossouvi de la MAEP Bénin de passer en revue dans une ambiance conviviale, les réponses possibles aux défis que représentent le changement climatique pour la sécurité alimentaire surtout en terme d’adaption.
Il faut rappeler que les débats autour des deux panels ont été assez nourris et que pour cette seconde et dernière journée deux autres panels restent à animer pour éclairer les zones d’ombre des participants les thématiques cohérencs des politiques et des interventions relatives au nexus climat alimentation par Harry Jeer Jr VIDEROT de Talent Incubato Bénin, M. Reish Vanel Attipo de ONG OJED Congo et du Dr Edmond Sossoukpe de l’UAC Bénin. Le second par M. Serge Houndonougbo Coordinnateur Projet Biomasse Electricité, du Dr Léonide Sinsin DG ARESS Bénin et de M. Bérenger Amoussou de l’UAC Bénin.

Des stands bien animés et riches en solutions environnementales
A la suite, les participants ont été conviés à faire le tour des stands pour découvrir les différentes possibilités qui s’offrent à eux.
Une quirielles de solutions environnementales sont exposées à savoir:
Africa Immo, qui crée en collaboration avec ses clients (vous) des plantations clés en main avec ou sans terrain. Il s’agit là d’investir dans les tecks et anacardiers qui vous procurent des revenus substantiels.

La Collection K’Omou, qui vous propose des serviettes hygiéniques lavables et durables. Elles viennent en réponse aux serviettes hygiéniques jettables qui polluent l’environnement. De plus, les serviettes de la collection K’omou sont facile à laver, efficaces, économiques, écologiques, confortables et surtout hygiéniques.

N’Sac, vous offre des sacs biodégradables faits à base de papier de ciments en plus de leurs résistances, les sacs de N’Sac sont durables et adaptés à vos besoins.

Soulignons tout de même que le forum scientifique international des journées écocitoyennes du Bénin, s’inscrit dans le cadre du Programme Régional Sécurité Energétique et Changement Climatique en Afrique Subsaharienne, Konrad Adenauer Stiftung.

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Drame à Pèrèrè : Voici comment un chasseur a tué un pétit garçon

Comment se promener dans les bois, la brousse, les forêts, les savanes etc.. sans se faire tirer dessus? 
La question qui taraude l’esprit des béninois à l’annonce de ce drame à Pèrèrè au nord Bénin où un petit garçon a été abattu par un chasseur ce dimanche. Le chasseur dit l’avoir confondu à une pintade. Le garçon est mort sur le coup. Le tireur est mis aux arrêts. La chasse au Bénin reste l’activité qui menace plus la sécurité publique. N’y a t il pas des dispositions qui reglementent l’activité? La détention d’arme ne préoccupe par nos gouvernants? A t on une statistique des nombreux animaux qui disparaissent suite à la chasse? Combien de gens sont morts en sourdine dans cette activité criminelle.
Des interrogations pourtant pertinentes qui ne trouveront pas de réponses favorables.
La biodiversité béninoise disparait ainsi silencieusement.
Il nous faut, si l’activité doit exister, réglémenter le port d’arme de chasse. Revoir la liste des animaux supposés être chassés. Nous avons le droit de circuler dans l’espace vert, dans la végétation qu’on s’efforce de protéger.
Vivement que cette affaire ne passe pas sous silence. EcoCitoyens TV invite les citoyens béninois surtout les pratiquants de la chasse à plus de vigilance et de prendre conscience de l’atteinte de l’activité de chasse sur l’équilibre écosystémique. Toutes nos condoléances à la famille brusquement éplorée.
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COP 25 : Récapitulatif des débats du vendredi et du Samedi

Les ambitions des NDCs, entendez  »contributions nationales déterminées en débat le vendredi passé à Madrid. Initiée par le Président de la COP 25, Mme Carolina Smimmicht cette rencontre avec les pays parties, avait pour but, de discuter des efforts globaux visant à lutter contre le réchauffement climatique et de partager des points de vue sur les voies et moyens pour réduire l’écart d’ambition à l’horizon 2020 et un debat ouvert axé dur les opportunités en harmonie avec le développement économique et social, pour allier les 3 piliers du développement durable. 

Les représentants de gouvernement, associations et points focaux des CDNs pays ont pris part à la rencontre.
Il ressort de l’avis général, que des efforts doivent encore être fournis au plan national de chaque pays, si on veut atteindre les objectifs de réduction de co2, responsable du réchauffement climatique. C’est donc avec beaucoup d’interrogations, mais surtout de scepticisme que cette rencontre bilan et perspective, si on puis dire de la mise en oeuvre des efforts relatifs aux contributions nationales déterminées, s’est achevée.
Toujours le vendredi passé………….

 »La finance- climat pour une mise en oeuvre effective des CDNs en Afrique de l’Ouest », est le thème au centre du débat.
La vulnérabilité des pays de la sous-région, le rôle des institutions, la place des femmes et des jeunes dans cette littéraire étaient au coeur de la rencontre.
Ainsi, s’agissant de la mise en œuvre, le dispositif institutionnel, la révision  »pre-2020 » est prévue pour des pays comme le Niger, la Guinée ou encore le Mali.
Pour les défis, la qualité des données climatiques, la participation effective de l’ensemble des acteurs, le renforcement et l’application du cadre réglementaire, le transfert de technologies et le dispositif communicationel, ont été mentionnés.
Dans une telle situation, les institutions régionales, doivent intervenir en instituant des plate formes d’échanges, en vue de favoriser  »la solidarité régionale » dira l’intervenant.

Au demeurant, il ressort le besoin d’une réflexion stratégique et une dynamique à enclacher pour la mise en oeuvre effective des CDNs au niveau des pays de la sous- région ouest africaine.
Les flux financiers et multilatéraux, au niveau global et africain, n’ont pas été occultés. Au cours des débats, les participants ont voulu savoir davantage sur la finance climat en Afrique de l’ouest, les procédures de financement, et l’implication des femmes dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans l’espace CEDEAO.
Hier Samedi………..

L’Autorité du Bassin du Niger (ABN) qui regroupe plusieurs pays du bassin du Niger était au pavillon de la francophonie hier, samedi. Objectif, déterminer le rôle des parlementaires et des institutions de financement dans la protection du fleuve victime des actions anthropiques, la lutte contre le réchauffement climatique dans le bassin, dont des millions de personnes en dépendent étaient parmi les interventions.
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Aménagement et Conflits liés à l’eau dans les bas-fonds à Kandi : Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE dévoile les résultats de sa recherche

L’eau, ressource indispensable dans tous les domaines d’activités et inégalement partagée continue d’être à l’origine de plusieurs conflits communautaires.  C’est justement, ce à quoi s’est intéressée la recherche de ce jeune scientifique.
En effet, ce Samedi 07 Décembre à l’Université de Parakou, Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE a soutenu les résultats de sa recherche en Géophysique portée sur le thème : « Problématique d’aménagement et conflit de l’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi » devant un jury composé de trois membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU Examinateur, le Professeur VOUDOUNOU Jean Bosco Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur.
Après avoir rappelé l’objectif de son étude qui consiste à contribuer à l’aménagement et à la gestion des conflits d’usage de l’eau des bas-fonds dans la commune de Kandi, l’impétrant s’est évertué à presenter les résultats de sa recherche qui se résument comme suit : les bas-fonds sont fortements exploités par divers acteurs ainsi, les conflits qui naissent de l’usage de l’eau se règlent plus à 34% à l’amiable contre 28% au tribunal dans le même temps, 38 % des exploitants règlent autrement leurs conflits.

Selon son étude, la proximité de la population aux sites d’exploitations, la disponibilité des produits maraichers de contre saison, la création d’emploi pour les manœuvres constituent des facteurs indispensables à l’aménagement des bas-fonds pour non seulement enrayer les conflits destructeurs mais aussi permettre un développement des communautés riveraines.

L’impétrant qui n’est pas à sa première recherche, puis qu’il a bientôt deux mois qu’il a soutenu un autre mémoire de Licence Professionnelle à l’Ecole Nationale Supérieur d’Aménagement et de Gestion des Aires Protégées (Ex ANSAGAP), Option Faune et Flore sur le thème « Analyse diagnostique de la conservation des chauves souris dans la ville de parakou et ses environs.

Après quelques échanges meublés de questions-réponses, le jury largement satisfait de la brillante présentation des résultats de cette recherche, sanctionne les mérites de l’impétrant par la mention Très bien avec une note de 16,50/20. Une bonne nouvelle qui enchante parents et amis venus nombreux pour le soutenir.

Dans cette foule joyeuse, l’heureux du jour nous déclare être fier du travail abattu et n’entend pas s’arrêter en si bon chemin dans la recherche scientifique. Cette recherche scientifique qui contribue au développement durable si et seulement si les gouvernants s’approprient les résultats et les appliquent a t – il ajouté.

Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE, un jeune scientifique au parcours hors pairs, force l’admiration
Rappelons que Boni Dimitri KOTO N’GOBI NOUSSONDE  puis que c’est de lui qu’il s’agit ex Directeur Exécutif de l’ONG Tourisme Education et Protection de l’Environnement au Bénin, est le Président en exercice de l’Association Internationale des Etudiants en Agronomie et Sciences Connexes. Il est également l’actuel Coordonnateur de service de transformation agroalimentaire de l’ONG OLA AFRICA, et Chargé à la communication et à la formation de l’ONG Environnement Vert pour un Développement Durable. A cela s’ajoute sa qualité de grand orateur de l’espace UEMOA.
Vous souhaitez prendre contact avec l’impétrant? Tel: +229 67 38 78 06
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De la justice climatique pour nos enfants : une production du Journaliste Ernest AGBOTA

Nul doute que le changement climatique affecte sur tous les plans la vie de nos enfants. En raison de leur vulnérabilité à faire face aux multiples assauts du rechauffement climatique, les enfants développent des maux parfois fatales. A cet effet, il urge de mettre en place des  mesures réparatoires et solidaires envers ces derniers. C’est ce qui est appelé ici, rendre la justice climatique. 

Et c’est absolument fort de cela que, Ernest AGBOTA, Journaliste à l’Office de Radio et télévision du Bénin Antenne de Parakou  a réalisé une production pour inciter à une justice climatique pour nos enfants. Un travail bien fait qui lui a valu le 1er prix de la catégorie Radiodiffusion du concour de l’UPMB en partenariat avec l’UNICEF, en prélude à la célébration des 30ans de l’adoption de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE). Voici la version audio👉 https://soundcloud.com/prince-ernest-agbota/de-la-justice-climatique-pour-nos-enfants
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Approvisionnement en eau potable à Parakou : Iskadarou PARAPE CHABI expose les résultats de sa recherche

L’eau, un élément indipensable à toute vie, était au centre d’une étude dont les résultats ont été dévoilés au grand public. En effet, le mardi 03 Décembre dernier à l’Université de Parakou, l’étudiant PARAPE CHABI  Iskadarou a soutenu les résultats de son thème intitulé: « Approvisionnement en eau de surface dans la commune de Parakou: Cas de la SONEB » devant un jury composé de deux membres à savoir:  le Professeur Ramanou A. Y. M. ABOUDOU, Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur. 

L’étudiant n’a pas offusqué l’objectif de sa recherche, celui d’évaluer les systèmes d’pprovisionnement en eau de surface existant dans la commune de Parakou. De cette étude, il ressort que la pluviométrie moyenne dans la commune de Parakou de 1988 à 2018 qui est de 1183,13 mm lui permet de disposer d’une quantité d’eau de surface plus ou moins permanente. 

Toutefois, il faut rappeler que l’eau subit des étapes de traitement du point de pompage jusqu’à la station de traitement avant d’être servi à la population. Par ailleurs, environ 40℅ de la population rencontre des difficultés à s’approvisionner en eau potable.
Après échange meublé de questions-réponses, le suspince n’a duré que quelques minutes pour que le jury largement satisfait de la présentation, décerne à l’impétrant une note de 17/20 avec la mention très bien.
Contact de l’impétrant: 94 37 04 16
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Impacts de l écorçage sur la biodiversité : Mention très bien pour Castro EKPALIGUIDIME

L’écorçage, une pratique courante à Parakou a fait l’objet d’une étude dont les résultats ont été exposés le mardi 03 Décembre 2019 à l’Université de Parakou.
L’étudiant, EKPALIGUIDIME Dino Castro en situation de soutenance a étayé sa recherche sur les « Impacts de l’écorçage sur la biodiversité dans la commune de Parakou : Cas du Caïcédra, du Néré et du Karité ». 

Devant un jury composé de deux membres, le Professeur Jean Bosco VODOUNOU Président du jury et le Professeur Abdoul Ramane ABDOULAYE Rapporteur, l’impétrant a fait savoir l’objectif de sa recherche qui n’est rien d’autre que de déterminer les impacts de l’écorçage sur la biodiversité dans la commune de Parakou en 2019. 

Cette étude qui s’est articulièrement portée sur khaya senegalensis, Parkia biglobosa et vitellaria paradoxa a permit d’aboutir aux résultats suivants :  Les Fon et apparentés, Bariba et apparentés, Dendi et apparentés, Nago et apparentés et les Peulhs sont les groupes rencontrés et qui exploitent plus ces écorces. L’écorce et les fruits constituent les organes les plus utilisés sept (07) catégories d’usage. Au total 17 espèces appartenants à 17 genres regroupés en 7 Familles sont recensées. Le périmètre très peu diversifié, a connu d’importante dégradation. Et enfin, le reboisement et la surveillance du périmètre sont les principales mesures de protection et conservation de la biodiversité envisagées.

Après cette brillante présentation, le jury à la suite des questions-réponses a sanctionné les mérites de cet environnementaliste par la mention très bien avec une note de 17/20, faisant ainsi exploser de joie parents et d’amis. L’impétrant tout aussi content, a affirmé continuer sur cette lançée scientifique.
Contact de l’impétrant : 94 35 21 01
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