Du sang dans les urines : faut-il s’en inquiéter ?

Trouver du sang dans ses urines n’est jamais rassurant. Pour le commun des béninois, c\\\’est probablement un envoûtement sorcier mais le phénomène est d\\\’autant plus technique reconnaissent les spécialistes.

La plupart du temps, la présence de sang dans les urines est le signe d’une infection ou d’un calcul urinaire selon les spécialistes. Mais, chez les personnes âgées et les fumeurs, des examens complémentaires s’imposent recommandent ils.
Quels examens sont réalisés ?
La présence de sang dans les urines (hématurie) n’est considérée comme anormale qu’au-delà de 10 000 globules rouges par millilitres de sang. Pour le déterminer, on trempe une bandelette réactive dans un flacon d’urine. Cet examen est d’autant plus important que la présence de sang n’est pas toujours visible à l’œil nu.

Le test est pratiqué, par exemple, lors d’une consultation de médecine du travail. Un résultat positif peut orienter vers un diagnostic de diabète ou d’insuffisance rénale.

Si les traces de sang sont visibles, il ne faut pas s’affoler pour autant.

La plupart du temps, c’est le signe d’une infection des reins (pyélonéphrite), de la prostate ou des voies urinaires (cystite). Pour le vérifier, un examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) est proposé.
Mais la présence de sang peut aussi révéler des calculs urinaires (coliques néphrétiques). Ils vont dans ce cas apparaître à l’échographie. D’autres causes, plus rares, peuvent également être invoquées.
Quand faut-il s’inquiéter ?
L’hématurie est plus inquiétante chez les personnes âgées et chez les fumeurs. Elle peut, en effet, être le symptôme d’une tumeur du rein ou de la vessie. Il faut savoir que, chez les fumeurs, le cancer de la vessie est quatre fois plus fréquent que chez les non-fumeurs. Pour lever le doute, des examens doivent être pratiqués : échographie, dosage sanguin, cystoscopie (endoscopie des voies urinaires et de la vessie).

La coloration rouge des urines peut être due, tout simplement, à la consommation de choux rouge, de betteraves ou de rhubarbe. Certains médicaments peuvent également être en cause : rovamycine ou érythromycine (antibiotiques), ibuprofène (anti-inflammatoire), laxatifs ou vitamine B12.

Et voilà qui lève toutes inquiétudes sur le sujet.




Baromètre Citoyen du Covid-19 : L\’ONG Save Our Planet y prend part


L\\\’ONG Save Our Planet, représenté par son Chargé de Projet Education, BONON Boris, a participé le 25 Septembre 2020 au Codiam (Cotonou) à un atelier de co-création, le premier d\\\’une série de six (06) ateliers sur les données ouvertes dans le cadre de l\\\’initiative citoyenne dénommée « BAROMETRE CITOYEN DU COVID19 ».
Ce projet de la plateforme citoyenne Voix et Actions Citoyennes, vise à mettre les organisations de jeunes au cœur d’une démarche participative d’ouverture des données et de contribuer à l’émergence des perceptions citoyennes sur la Covid-19 et son impact.


Cet atelier a permis aux participants d\\\’appréhender les bases du projet et la necéssité de s\\\’échanger les données dans un contexte de crise liée au Covid I9 par les jeunes citoyens. Il a été une occasion de donner et de reçevoir riche en partage d\\\’expérience. Les dés étant jetés, cap est désormais mis sur le prochain atelier.


Rappelons que, cet atelier fait suite à l\\\’appel à participation lancé par Voix et Actions Citoyennes, aux organisations et associations de jeunesse légalement constituées et intervenant au Bénin. L’idée est de travailler en  synergie et de faciliter le partage d\\\’expériences autour des données ouvertes avec les organisations de jeunesse volontaires dans une démarche de co-création et de validation du protocole de baromètre participatif.
Ce projet de six (06) mois, répartit en six (06) ateliers dont le premier s\\\’est ouvert ce matin a reçu le financement de l\\\’AFD dans le cadre du projet PAGOF mis en œuvre par CFI et Expertise France d\\\’un montant global de 5000€.
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#DonnéesOuvertes
#Bénin
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Covid-19: Le sort mitigé réservé aux eaux usées du lavage des mains


Devenir un réflexe pour la majorité des béninois, le lavage des mains à l\\\’eau et au savon figure parmi les meilleures manières de lutter contre la propagation du coronavirus, la Covid-19.
Ainsi, pendant que le nombre de personnes testées positives au Coronavirus, Covid-19 ne cesse d\\\’augmenter en République du Bénin, comme dans les autres pays africains où la barre des 500 000 cas ont été récemment franchit, la problématique de la gestion des eaux usée issues du lavage des mains continue d\\\’être un casse-tête quotidien pour les populations.
Après avoir fait un tour dans les villes phares du département du Zou, on s\\\’aperçoit que la majorité des Eglises, Mosquée, Lieu de vente, Entreprises, Administration publique et ménages ont mis en place des dispositifs de lavage des mains modernes ou traditionnels plus ou moins acceptables en vue de permettre à tout visiteur d\\\’accomplir ce geste simple, mais protecteur.
Mais la question à laquelle les gens sur le terrain tentent à peine de répondre est: Comment les eaux usées issues du lavage des mains sont gérées ? Nous les déversons à la rue ou dans les caniveaux ont-ils déclarés avec assurance en violation fragrante du code d\\\’hygiène publique en République du Bénin en son article 3.
Pourtant, le ministère de la Santé avait recommandé quavant de verser dans la nature, il faut décontaminer au chlore les eaux usées avant canalisation. De plus, l\\\’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a recommandé que les eaux usées résultant du lavage des mains doivent être recueillies et traitées en toute sécurité avec du chlore avant d\\\’être redirigées vers les égouts ou vers un puits dinfiltration. 
Pour M. Assongba, Chargé de l\\\’hygiène et de l\\\’assainissement dans un centre de santé privé à Bohicon « sil se retrouvait qu\\\’un malade s\\\’était lavé les mains, il aurait déjà libéré quelques pathogènes du virus » et donc poursuit il « le déversement dans la nature de ces eaux usées constitue un grand risque de propagation à condition quelles ne soient pas bien gérée ». Parlant des puits d\\\’infiltration, le Technicien des déchets médicaux quil faut y déverser les eaux traitées à condition que la nappe phréatique se trouve à 2 m du fond du puits au minimum.
Le problème ne date pas de lère de Covid-19, puisqu\\\’une étude publiée en 2018 affirme quen Afrique subsaharienne environ 95 % des eaux usées sont directement déversées dans la nature sans aucun traitement ce qui représente des sources de pollution pour les ressources en eau. Il est très important de gérer selon les normes les eaux usées issues du lavage des mains pour non seulement une vraie lutte contre le coronavirus, Covid-19, mais aussi pour éviter dautres pathologies.
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Opération Chirurgicale : Le plateau technique du CNHU Hubert Koutoukou Maga sera renforcé

En son conseil des Ministres du 23 décembre 2020, le gouvernement béninois a décidé de l\\\’acquisition et l\\\’installation d\\\’équipements et de matériels de chirurgie cardiaque au profit du Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou (CNHU-HKM).

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La plupart de nos concitoyens souffrant de maladies cardiovasculaires n\\\’arrivent pas à bénéficier de soins appropriés lorsque leur cas nécessite des interventions chirurgicales à cur ouvert, en raison des coûts prohibitifs à l\\\’étranger.
Aussi, le Gouvernement a-t-il sollicité des chirurgiens réputés en la matière qui pourront faire des interventions sur place au CNHU-HKM.
Pour ce faire, il est indispensable de renforcer le plateau technique existant par des équipements et matériels dédiés à la prise en charge chirurgicale de ces pathologies.
C\\\’est pourquoi, le Conseil s\\\’est prononcé en faveur de la contractualisation avec une structure spécialisée en vue de la fourniture desdits équipements et matériels. Un acte qui sans doute renforcera le plateau technique de ce haut lieu hospitalier.




Risque imminent d\’électrocution à haute tension à Ouidah

Le danger est là.  Le risque imminent d\\\’une électrocution à haute tension  plane au dessus des citoyens de la ville de Ouidah. 
En effet, la haute tension qui ceinture la recette perception, le tribunal de 1ere instance et la mairie de Ouidah cohabite dangereusement avec les grands arbres qui ont une forte conduictibilté à cause de leurs humidité permanente et surtout en cette période de forte pluie.  Pour qui connaît ses effets destructeurs,  la haute tension n\\\’est pas un jeu d\\\’enfant et il ne faut pas s\\\’y hasarder. C\\\’est pourquoi il urge que quelque chose soit urgement fait pour éviter le pire.  Les populations de Ouidah et les riverains de ce quartier de la ville historique appellent la première autorité,  le maire Christian Houétchénou  à agir pour la quiétude des uns et des autres et pour la préservation des vies humaines .

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Drépanocytose : De graves anomalies relevées au Centre de Prise en charge Médicale Intégrée du Nourrisson et de la Femme Enceinte atteints de Drépanocytose (CPMI-NFED)

Le conseil des Ministres en sa séance du 23 Décembre 2020 est passé à l\\\’approbation du rapport d\\\’audit comptable et financier du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de drépanocytose (CPMI-NFED).

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Plusieurs anomalies relatives au fonctionnement du centre, mais aussi et surtout à sa gestion aux plans budgétaire, comptable et financier.
Les irrégularités relevées sont entre autres l\\\’inexistence de budget pour les années 2011, 2012 et 2015 ; la non-budgétisation de toutes les ressources, entraînant le défaut de traçabilité de certaines recettes ; le non-respect du principe de séparation des fonctions d\\\’ordonnateur et de comptable ; l\\\’exécution de dépenses non prévues au budget ; le non-respect des seuils de passation des marchés publics et des clauses contractuelles lors du paiement des prestataires. Il a été relevé aussi l\\\’attribution et la gestion peu transparentes du marché de construction du bâtiment annexe du Centre dont les travaux dun montant de 199.975.791 FCFA TTC, prévus pour prendre fin en décembre 2016 sont encore en cours ; le paiement irrégulier de divers primes et frais de déplacement au directeur ainsi qu\\\’à ses collaborateurs.
Il en découle d\\\’importants préjudices aussi bien pour le budget national que pour le Centre dont les performances ont été compromises.
Les insuffisances ainsi relevées ont été portées à la connaissance du directeur du CPMI-NFED, le sieur Deen Chérif RAHIMY afin de recueillir ses observations et fournir des éléments de justifications à l\\\’appui de sa version des faits. Mais, en lieu et place d\\\’informations documentées, celui-ci sest contenté de contester la plupart des observations relevées par la commission sans y apporter la moindre preuve.
Le Conseil a pris acte du rapport et a instruit les Ministres concernés d\\\’appliquer sans complaisance les sanctions quencourent les auteurs de ces malversations.




Une mission de chirurgie orthopédique pédiatrique à l\’hopital Padre Pio de N\’dali

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Il sera organisé du 03 au 30 Janvier 2021 à l\\\’hôpital Padre Pio de N\\\’dali au Nord Bénin, une consultation, un bilan pré opératoire, une consultation anesthésique geatuit ciblant les enfants de 0 à 15 ans.

Les pathologies concernées sont : les pathologies orthopédiques, les déviations d\\\’axe des membres inférieurs, les pieds bots, les malformations des membres, séquelles de traumatismes et d\\\’infections ostéoarticulaires, scoliose etc..

Contactez le +229 674195/ 95988686/ 95222385




Journée Mondiale de Lutte contre le VIH/SIDA: MADO SANTÉ PLUS partage solidarité et responsabilité

Célébrée le 1er Décembre de chaque année, la Journée Mondiale de Lutte contre le Sida est un moment unique en soutien aux personnes infectées et affectées par le VIH SIDA. Un virus qui a longtemps engendré des pertes en vies humaines, impacté la vie socio-économique et violé les droits de la personne humaine.

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Aujourdhui, de nombreux efforts sont faits à jours aussi bien du côté de la société civile que des politiques gouvernementales pour contrer le virus.
MADO SANTÉ PLUS, à l\\\’instar des autres pays du monde est très préoccupé par les ravages effectués par la pandémie de la COVID-19 et la maladie du VIH SIDA, et de ce que cela signifie pour les Jeunes vivant avec le VIH tout comme pour les populations vulnérables.
Pendant cette célébration dont le thème retenu cette année est \\\ »Solidarité et responsabilité partagée\\\ », MADO SANTE PLUS, membre de la Plateforme CoRC BENIN a organisé le Samedi 19 Décembre 2020 à Cotonou, une Cérémonie de Distinction des Talents Jeunes des Communautés Vulnérables au VIH. Au cours de l\\\’événement, une minute de silence a été observé en la mémoire de la marraine de La Nuit du Réveillon Mémé Emma MARCOLINO. Ensuite, les acteurs de MADO SANTE PLUS ont saisit l\\\’occasion pour sensibiliser sur le VIH SIDA. Plusieurs organisations de Jeunes engagés ainsi que des acteurs de Lutte étaient représentés.
Le jury composé de :




Bénin/Urgent: Un cas de méningite détecté à N\’Dali

Un cas de méningite détecté à Bori dans la commune de N\\\’Dali.
Selon les informations reçues de nos confrères de Deeman Radio, un des parents a confié que l\\\’enfant âgé de 13 ans s\\\’est évanoui dans la nuit du 25 Décembre 2020.

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Transporté d\\\’urgence au centre de santé de Bori, les traitements n\\\’ont pas permis de rétablir l\\\’enfant. Devenu faible, il fût transféré à l\\\’hôpital de Guéré dans la commune de Bembèrèké le lundi 28 Décembre 2020. C\\\’est dans la matinée de ce mardi 29 Décembre que les analyses ont révélé que l\\\’enfant souffre d\\\’une méningite.

Qu\\\’est ce que la méningite ?
Rappelons que la méningite à méningocoque est une infection des méninges, due à un virus ou une bactérie très dangereuse. Cette infection est transmissible, elle peut laisser de graves séquelles ou encore, être fatale en moins d\\\’un jour. Cette maladie évolue très vite, même avec un traitement approprié, au moins 10 % des patients décèdent généralement dans les 24 à 48 heures qui suivent l\\\’apparition des premiers symptômes de la maladie et jusqu\\\’à 20 % des survivants gardent des séquelles permanentes importantes comme la surdité, l\\\’épilepsie, la paralysie cérébrale ou le retard mental.

L\\\’apparition de nécroses tissulaires irréversibles peut également entraîner l\\\’amputation d\\\’un ou de plusieurs membres. Les personnes les plus touchées par cette maladie sont les enfants âgés de moins de 5ans ainsi que les jeunes adultes âgés de moins de 25 ans.
Comment on attrape une méningite ?
Mode de transmission : La méningite se transmet par des gouttelettes de sécrétion en suspension dans l\\\’air lorsqu\\\’une personne infectée éternue, tousse ou postillonne. Elle se transmet aussi par contact direct ou indirect avec la salive d\\\’une personne infectée (mains, jouets et ustensiles de cuisine contaminés, etc.).
Comment guérir de la méningite ?
Traiter une méningite d\\\’origine virale. Repos, beaucoup de liquide et bonne nutrition, de même que les mesures habituelles pour soulager la fièvre. Attention. En cas de fièvre chez l\\\’enfant, éviter de donner de l\\\’aspirine. Privilégier l\\\’acétaminophène pour faire baisser la fièvre.      




Une délégation gouvernementale au CNHU-HKM pour sauver des malades

Une délégation gouvernementale conduite par le ministre de la Santé est descendue au CNHU-HKM ce jeudi 31 décembre 2020 pour sauver des malades en situation de non paiement.

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La matinée de ce jeudi 31 décembre 2020 des ministres Benjamin HOUNKPATIN de la santé, Véronique TOGNIFODE MEWANOU des affaires sociales et Romuald WADAGNI de l\\\’économie et des finances au Centre National Hospitalier Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou aux fins de régler la situation des patients gardés pour non paiement de leurs soins.

Source site gouvernemental