Voici une astuce naturelle pour éviter les accidents mortels

Dans un post sur son profil Facebook le vendredi 12 août 2022, l\\\’expert en gouvernance locale à la retraite et désormais promoteur de la richesse de la médecine traditionnelle, Claude DJANKAKI révèle une astuce pour éviter les accidents mortels.

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En effet, pour éviter les accidents mortels, cet expérimenté des recettes africaines recommande de prendre un petit citron vert local et de creuser un trou à l\\\’intérieur avec un clou pour y introduire un petit morceau d\\\’ail.
Ensuite, faire confectionner autour, une protection sous forme de talisman, le tout à mettre dans votre sac, votre moto ou votre véhicule, poursuit-il.
C\\\’est une puissante recette contre accident, a-t-il justifié avant d\\\’appeler ses internautes à retourner à leur culture.
Plusieurs commentaires sous ledit post sont venus appuyer et même témoigner de l\\\’efficacité de cette astuce que nous avons jugé important de partager avec vous.
Rappelons que les accidents de circulation restent l\\\’une des principales causes de décès au Bénin, malgré les différentes mesures mises en place par le Centre National de Sécurité Routière.

Christiane AKOTEGNON




Médias au Bénin : Évariste Hodonou rempile à la tête du Cnpa-Bénin

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La nouvelle équipe

Hier, Jeudi 11 Août 2022 s\\\’est tenue à la maison des médias, à Cotonou, l\\\’Assemblée générale élective du Conseil national du patronat de la presse et de l\\\’audiovisuel du Bénin (Cnpa-Bénin). Occasion pour les congressistes de renouveler les membres du bureau directeur de la faîtière dont le mandat était arrivé à terme.

Après l\\\’atteinte du quorum, les travaux proprement dits ont été lancés par la lecture des rapports d\\\’activité et moral ainsi que la relecture des textes. Après ces formalités d\\\’usage, Évariste Hodonou Président du bureau sortant a présenté la démission de son équipe, ce qui a permis de d\\\’entamer la procédure de vote des nouveaux conseillers. Mais avant, une suspension a été prononcée par Joseph Perso Anago, doyen d\\\’âge et président du Présidium de l\\\’AG. De retour de cette pause, qui a permis de peaufiner les négociations pour le confection des listes en compétition, seule celle présidée par Évariste Hodonou a été jugée recevable, conformément aux textes en vigueur. Elle a été alors votée par acclamation de l\\\’Assemblée générale. Ainsi donc, les patrons de presse viennent de renouveler leur confiance au Président sortant qui se fera accompagner par 18 autres conseillers. Dans la même verve, les responsables des coordinations départementales ont été également désignés, avec une prime à la jeunesse. Reste à souhaiter bon vent à cette nouvelle mandature du Cnpa-Bénin qui devra davantage œuvrer pour une presse béninoise plus professionnelle.

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Coopération sino-béninoise : Cérémonie d’au-revoir de la 25ème mission médicale chinoise

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Les médecins chinois en mission au Bénin dans le cadre de la 25ème mission médicale sont au terme de leur séjour. A leur intention, une cérémonie d’au-revoir a été organisée au Ministère de la santé ce jeudi 11 août 2022. C’était en présence du Secrétaire général du ministère de la santé Ali IMOROU BAH CHABI et de l’Ambassadeur de la Chine près le Bénin Jing Tao Peng.
Depuis 1978, des dizaines de médecins chinois sont envoyés en mission au Bénin dans le cadre de la coopération médicale entre les deux Etats. Les domaines d’intervention couvrent entre autres, la médecine générale, la cardiologie, la gynécologie, la radiologie, la pharmacie, l’oto-rhino-laryngologie, la médecine traditionnelle chinoise. Pour le compte de la 25ème mission, les médecins chinois en mission au Bénin ont traité 16.000 patients et réalisé 1639 opérations. La 26ème mission promet pérenniser les acquis et contribuer à l’amélioration de cette coopération médicale vielle de 44 ans.




Valorisation des déchets plastiques : le génie créatif d’une activiste engagée

Elle est une jeune activiste écologiste dans la Cité des Koburu et très engagée pour la protection de l’environnement. Inès SEHLAN, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, s’emploie depuis près d’un an, à recycler les déchets plastiques en des objets de décoration et en plusieurs autres objets à usage divers. Des fleurs, des sacs, des portemonnaies et plusieurs autres objets à usage humain expriment le talent et le génie créatif de la sociologue de formation qui, à travers le recyclage, entend freiner la pollution plastique, très nuisible à la santé et à la biodiversité.

Au cours d’une interview accordée à Venance Tossoukpe du Journal Santé Environnement, la jeune activiste nous parle de son engagement et des défis qu’elle entend relever dans le domaine du recyclage au Bénin.

Lisez plutôt l’intégralité de cette interview ici…….

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Inès SEHLAN, l\\\’activiste écologiste

Journal Santé Environnement : Mademoiselle Inès SEHLAN, pouvez-vous vous présenter plus amplement aux charmants lecteurs du Journal Santé Environnement ?

Inès SEHLAN : Merci Monsieur le Journaliste. Je m’appelle SEHLAN Mahunakpon Inès, sociologue de formation et étudiante en instance de soutenance en Science de Gestion à l’Université de Parakou. Je m’intéresse également depuis près d’un an, au recyclage des déchets plastiques.

Journal Santé Environnement : Vous venez de dire que vous faites du recyclage des déchets plastiques. Pouvez-vous nous dire en quoi consiste le recyclage ?

Inès SEHLAN : Le recyclage consiste à donner une seconde vie à ce qui peut être considéré comme déchet. C’est une activité qui consiste à transformer le déchet en un objet réutilisable.

Journal Santé Environnement : D’où vous est venue l’idée de recycler les déchets plastiques et quels sont vos objectifs en la matière ?

Inès SEHLAN : L’idée de recyclage m’est venue de l’observation que je faisais de mon environnement. J’ai constaté que les déchets plastiques représentent une pollution visuelle assez importante. J’ai également été inspirée par un documentaire qui parlait du méfait des déchets plastiques et des solutions pour freiner la pollution plastique. Je pense que ce documentaire a été aussi un déclic pour moi. J’ambitionne d’implanter dans la ville de Parakou, un centre de recyclage de déchets plastiques, non seulement en objets de décoration, mais aussi en des sacs, des paniers, des nappes de table et en plusieurs objets à usage humain.

Journal Santé Environnement : Dans un contexte où plus de 8 millions de tonnes de déchets plastiques seraient retrouvés dans les océans chaque année, peut-on dire aujourd’hui que le recyclage est la solution incontournable pour venir à bout de la pollution plastique ?

Inès SEHLAN : On ne peut pas dire que le recyclage est une solution incontournable ou définitive pour venir à bout des déchets plastiques. Mais le recyclage est une alternative pour freiner la pollution plastique. J’aurais par ailleurs entendu parler de Scientifiques qui auraient découvert un champignon capable de dégrader définitivement les déchets plastiques en moins de deux (02) mois. Cette découverte serait, à mon avis, une solution plus efficiente pour éliminer les déchets plastiques.

Journal Santé Environnement : Vous rencontrez certainement des difficultés dans votre projet. Pouvez-vous nous en parler ?

Inès SEHLAN : La difficulté majeure est le manque de matériels adéquats. Actuellement, je n’utilise que des matériaux précaires pour faire le recyclage. Il me faut donc des outils modernes pour pouvoir optimiser le travail. Il y a aussi des difficultés de main d’œuvre, de courbatures et bien évidemment, des difficultés financières.

Journal Santé Environnement : Malgré la loi du 26 décembre 2017 qui interdit l’usage des sacs en plastiques non-biodégradables, nous constatons malheureusement que les sacs en plastiques continuent de circuler au Bénin. Que proposeriez-vous aux autorités béninoises pour parvenir à une gestion efficiente et efficace des déchets, surtout des déchets plastiques ?

Inès SEHLAN : Je proposerais aux autorités de veiller à la mise en application du principe du ‘’ Pollueur-payeur ’’ afin que chacun soit amené à payer le prix de sa pollution. Mais pour cela, on devra installer dans nos grandes villes et selon les types de déchets, une variété de poubelles pour recueillir les déchets, qu’il s’agisse des déchets organiques, électroniques ou plastiques. C’est aussi l’occasion pour moi de demander aux autorités de nos différentes communes d’œuvrer à la création des sites de décharge définitive pour les déchets et d’inciter les populations à s’abonner aux structures de pré collecte, afin que notre cadre de vie soit assaini pour le bonheur de tous.

Journal Santé Environnement : Au regard du danger que constituent les déchets plastiques pour la biodiversité, quel message avez-vous à adresser à la communauté mondiale de façon générale et à la population béninoise en particulier ?

Inès SEHLAN : Le message que j’ai à adresser à la communauté mondiale est que si une personne peut essayer de limiter sa consommation de plastiques et que mille personnes s’y mettent, cela permettra de réduire l’impact des déchets plastiques dans le monde. Je demanderais donc à chacun de réduire sa consommation de plastiques en optant pour les emballages biodégradables. Quant à la population béninoise et surtout aux autorités du Bénin, je leur demanderais d’encourager fortement toute initiative de recyclage, tout en rendant disponible et accessible aux populations, les emballages biodégradables afin que celles-ci abandonnent progressivement l’usage des emballages plastiques.

Journal Santé Environnement : Nous vous remercions de nous avoir accordé cet entretien. Avez-vous un mot de fin ?

Inès SEHLAN : Comme mot de fin, je dirai que les déchets plastiques représentent un grand danger pour l’humanité. C’est donc à nous de sauver l’humanité, c’est à nous de sauver notre monde et c’est à cela que je nous appelle tous.

Journal Santé Environnement : mademoiselle Inès SEHLAN, merci !

Inès SEHLAN : Je vous en prie. Merci également à vous




Bourses de participation à la Conférence \ » Women Deliver \ » 2023 pour l\’Égalité des Genres et la santé

La Conférence se tiendra en format hybride (En présentiel et en ligne) du 17 au 20 Juillet 2023 à Kigali (Rwanda). Les bourses sont ouvertes aux personnes de tout âge et de toute origine. La priorité sera accordée aux candidat.e.s issu.e.s de pays à revenu faible ou intermédiaire et/ou de populations touchées de manière disproportionnée par la discrimination, qui œuvrent pour faire progresser l\\\’Égalité des Genres et la santé, les Droits et le bien-être des filles et des femmes.

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\\\"🔺\\\"NB : La préférence sera donnée aux personnes qui n\\\’ont jamais reçu de bourse pour assister à une conférence \\\ » Women Deliver \\\ ». Les bénéficiaires des bourses seront informées d\\\’ici Janvier 2023 et devront s\\\’engager à respecter les points suivants :

\\\"🔸\\\"Participer activement pendant toute la durée de la conférence

\\\"🔸\\\"Adhérer au Code de conduite de la Conférence

\\\"🔸\\\"Partager les connaissances acquises au WD2023 et le dialogue mondial avec les membres de la communauté grâce un mécanisme de votre choix (Par exemple organiser un événement, écrire un blog, partager des publications sur des réseaux sociaux, créer une vidéo etc.)

\\\"🔸\\\"Faire un rapport à \\\ » Women Deliver \\\ » d\\\’ici la fin de l\\\’année 2023

Les bourses comprennent :

\\\"🔹\\\"En présentiel

\\\"◽\\\"Tous les frais d\\\’inscription

\\\"◽\\\"L\\\’hébergement à l\\\’hôtel

\\\"◽\\\"Un billet d\\\’avion économique

\\\"◽\\\"Les visas et frais connexes

\\\"◽\\\"Une indemnité quotidienne pour le transport terrestre et les repas

\\\"◽\\\"Une police d\\\’assurance santé

\\\"🔺\\\"NB : Pour les personnes handicapées qui voyagent avec un.e assistant.e ou les mineur.e.s de moins de 18 ans qui voyagent avec un.e accompagnateur.rice, la bourse couvrira les besoins d\\\’une personne supplémentaire.

\\\"🔹\\\"En ligne

\\\"◾\\\"Tous les frais d\\\’inscription

\\\"◾\\\"Une allocation pour la technologie et les données

Délai : 01er Octobre 2022

Bonne chance Plus d\\\’informations ici




Lutte contre le paludisme au Bénin : le RAMEC et la PMS s’engagent aux cotés de Speak Up Africa

2. 289. 948 cas confirmés avec 2.450 décès. C’est le bilan en 2020 des ravages du paludisme au Bénin. Cette maladie, causée par la piqûre de moustique infecté du parasite plasmodium, constitue un véritable problème pour la santé publique. Pour lutter efficacement contre ce mal, l’Organisation internationale Speak Up Africa en collaboration avec le Réseau des Acteurs des Médias pour l’Eau, l’Environnement et le Climat et la Plateforme Médias Santé a réuni les acteurs des médias à un atelier national au chant d’oiseau de Cotonou le vendredi 29 juillet 2022.

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Les acteurs des médias engagés pour la lutte contre le paludisme

L’Objectif est d’amener les acteurs des médias à mieux appréhender les enjeux et défis liés à l’élimination du paludisme en vue d’améliorer le traitement de l’information autour de ce fléau au Bénin.

Avant l’ouverture officielle de cette rencontre, les participants ont effectué une descente au centre de santé de Godomey. À ce niveau, ils ont échangé avec le personnel médical du centre et touché du doigt les réalités en manière de prise en charge du paludisme.

Une fois en salle, Alain TOSSOUNON, Président du RAMEC a fait savoir dans son mot introductif, la nécessité pour les Hommes des médias d’influencer les comportements des communautés pour une meilleure lutte contre le paludisme à travers la couverture et le traitement de l’information. Selon lui, il s’agit plutôt d’un renouvellement d’engagement au profit de la lutte contre le paludisme. « Il nous faut utiliser notre pouvoir pour apporter du changement au niveau central et communautaire en matière de lutte contre le paludisme. »

Un geste qui accompagne évidemment les efforts qui sont faits par le ministère de la santé, par le programme national de lutte contre le paludisme et les autres acteurs de la société civile en particulier Speak Up Africa.

Cet atelier, dira Juliette MITONHOUN, Présidente de la Plateforme Médias Santé, permettra de refaire les armes et d’améliorer les connaissances afin de contribuer activement à la lutte contre le paludisme. Elle a pour finir invité les participants à une attention soutenue.

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Juliette MITONHOUN, Franz OKEY et Alain TOSSOUNON

En lançant officiellement, les travaux, Franz OKEY, Coordinateur Speak Up Africa au Bénin s’est réjoui non seulement du grand travail abattu par les acteurs des médias ces derniers temps aux côtés de l’organisation, mais aussi, de l’immersion enrichissante au centre de santé de Godomey. « En tant que canal d’information, de sensibilisation, de diffusion et de partage de l’information, les journalistes sont des acteurs clé dans la lutte » s’est-il rassuré. C’est pourquoi, ajoute-t-il « vos contributions à cet atelier permettrons aux populations de vivre dans un pays exempt du paludisme. »

À travers les diverses communications déroulées au cours, cet atelier, les acteurs des médias ont appris des progrès, enjeux et défis de la lutte contre le paludisme au Bénin. Également, il a été partagé avec ces derniers, les objectifs de plaidoyer des OSC accompagnées par Speak Up Africa. Enfin, les participants se sont engagés à réaliser après l’atelier des productions ciblées sur la lutte contre le paludisme au Bénin.

Rappelons pour finir que cet atelier a reçu l’appui technique et financier de Speak Up Africa, une organisation internationale engagée depuis 2020 au Bénin à travers son initiative, « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent ». Une initiative qui a permis de mobiliser au Bénin des entreprises du secteur privé à contribuer à la lutte contre le paludisme en soutien aux efforts du gouvernement, du ministère de la Santé et par ricochet du Programme National de Lute contre le Paludisme au Bénin.

Megan Valère SOSSOU




Dégradation du pont de Dama à Parakou: Qui pour sauver le quartier Dama du drame

Situé au Sud du quartier Banikanni, le pont de Dama est le principal ouvrage de franchissement qui relie le quartier Dama au reste de la ville de Parakou dans le deuxième arrondissement.

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Cependant, le passage sur cet ouvrage continue d’être un véritable chemin de croix pour les riverains, du fait de la dégradation très avancée du pont. En effet, construit il y a environ une quinzaine d’années sous l’initiative d’un particulier, selon les riverains, le pont de Dama se trouve aujourd’hui dans un état de dégradation très avancée. Selon Mathieu Ekpo, riverain rencontré sur place, la dégradation du pont est due à la forte densité du trafic et surtout aux fortes quantités d’eau de ruissellement venant du centre-ville.

Ce qui fait que « le pont n’arrive plus à supporter le flux d’eau qui y circule », a-t-il ajouté. Le passage sur le pont devient encore plus difficile en saison pluvieuse, à en croire les usagers. « Quand il y a une grande pluie, il faut parfois attendre jusqu’à deux ou trois heures avant de pouvoir franchir l’ouvrage pour éviter d’être noyé », a laissé entendre Mathieu Ekpo qui précise qu’un cas de décès dû au noyade avait été enregistré l’année dernière, où un riverain, en tentant de franchir le pont, a été emporté et retrouvé mort dans le courant d’eau à plus d’une dizaine de kilomètres du pont.

Ne pouvant pas rester inactifs face à la situation, et vu que les nombreux appels lancés à l’endroit des autorités n’ont jusque-là trouvé aucun écho favorable, selon les riverains, habitants et usagers ont donc pris une résolution. « Nous avons mis en place une coordination composée de volontaires et chaque année, nous essayons d’aménager le pont un tant soit peu à la hauteur de nos moyens », a déclaré Mathieu Ekpo, riverain et membre de ladite coordination.

Au regard de la situation inquiétante de cet ouvrage de franchissement et de l’enjeu que constitue le pont de Dama pour la circulation des personnes et des biens dans la ville de Parakou, ces habitants et usagers lancent, une fois de plus, un appel aux autorités de la mairie de Parakou, de même qu’au gouvernement du président Patrice Talon, afin qu’un aménagement durable soit fait sur le pont de Dama. « Nous demandons aux autorités de nous aider à construire un pont digne du nom et, si possible, nous aider à bitumer la voie », a laissé entendre François Badabala, un autre riverain rencontré sur place.

Vivement que ces différents appels soient enfin entendus et que des actions conséquentes soient entreprises au niveau de cet ouvrage, avant que le quartier Dama ne soit coupé du reste de la ville de Parakou.

Venance TOSSOUKPE




Appel à candidature : Bourses de sensibilisation à la nutrition des plantes en Afrique

Appel à candidatures : Programme des Bourses de sensibilisation à la nutrition des plantes en Afrique / Institut Africain de la Nutrition des Plantes.

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Tu es scientifique, vulgarisateur.rice, éducateur.rice ?
Tu travailles dans une institution africaine NARES (Système national de
recherche et de vulgarisation agricoles), une université africaine, une
organisation à but non lucratif ou dans le secteur privé ?
Ta proposition créative traite des lacunes dans les connaissances ou la
synthèse nécessaire des informations existantes pour accélérer la fourniture
et l\\\’adoption d\\\’une meilleure gestion des nutriments en Afrique ?
Te es capable d\\\’indiquer clairement comment la bourse sera utilisée au cas
tu en bénéficies (par exemple soutenir les voyages, la communication ou les
activités de communication) ?
Tu es capable de fournir des preuves de partenariats et de collaboration avec
d\\\’autres Acteur.rice.s ?

Cette opportunité pourrait t\\\’intéresser.

L\\\’objectif de cette bourse est d\\\’inspirer les programmes de sensibilisation améliorés qui conduiront à une plus grande mise en œuvre d\\\’une gestion appropriée de la fertilité des sols dans les systèmes agricoles Africains.

Les propositions peuvent s\\\’inscrire dans divers registres :

Des idées de nouvelles approches de la synthèse des données
Des outils de communication
Des événements de formation
Des programmes d\\\’éducation
D\\\’autres initiatives à Fort impact

La bourse d\\\’une valeur de 5 000 USD est attribuée à 02 lauréat.e.s.

La gestion de la fertilité des sols nécessite une approche équilibrée qui abordé une gamme complète de pratiques axées sur la réalisation des objectifs économiques, environnementaux et sociaux. La sensibilisation éducative qui atteint ces objectifs est trop souvent négligée.

Délai : 31 Août 2022

Plus d\\\’informations ici : https://www.apni.net/fr/outreach-fellowship-apply/




2e édition des Journées du Secteur Sanitaire Privé du Bénin : la PSSP résolument engagée à l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins

Accroitre le leadership de la Plateforme du Secteur Sanitaire Privé du Bénin (PSSP Bénin) pour un ancrage institutionnel plus fort. C’est l’objectif de l’organisation des Journées du Secteur Sanitaire Privé du Bénin (JSSP). La deuxième édition de ce grand évènement s’est tenue les 14 et 15 juillet 2022 au Palais des Congrès à Cotonou.

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Elle a réuni près de deux cents acteurs du secteur sanitaire privé, soutenue à l’occasion par la présence du Ministère de la Santé et des partenaires techniques et financiers autour du thème « Le secteur sanitaire privé face aux réformes : qualité et sécurité des soins délivrés ».

Dans son mot de bienvenue aux participants, la Vice-présidente de la PSSP, Béatrice RADJI dit être convaincue que ce thème pourra nourrir des réflexions constructives qui dégagent la valeur ajoutée du secteur privé sanitaire face aux objectifs du gouvernement en matière de la qualité et de la sécurité des soins. Ses journées, affirme-t-elle, participent au renforcement des capacités des acteurs du secteur privé à travers des communications formatives et informatives.

Prenant la parole au nom du Représentant Résident de l’USAID au Bénin, Hugues LOKOSSA, Spécialiste sénior en renforcement du système de santé de cette institution, estime que les journées du secteur de la santé privé constituent la matérialisation de l’une des solutions mise en œuvre par la Plateforme du Secteur Sanitaire Privé pour l’amélioration de la qualité des soins. C’est une occasion en Or qui s’offre une fois encore, dit-il, pour découvrir les différentes actions de la plateforme d’une part, et de ses membres d’autres, mais aussi pour se familiariser avec les réformes dans le secteur de la santé. C’est pourquoi, rappelle-t-il, l’accès au financement du secteur sanitaire privé est l’une des clés nécessaires pour accélérer son développement à travers l’implication de toutes les parties prenantes.

En ouvrant officiellement les journées du secteur sanitaire privé, le Pr Francis DOSSOU, Directeur Général de la Médecine Hospitalière et des Explorations en Médecine, représentant le Ministre de la Santé à l’occasion, s’est réjoui des Journées du Secteur Sanitaire Privé qui, a-t-il reconnu, contribuent à la vitalité et à la visibilité des actions du secteur sanitaire privé du Bénin et à l’amélioration de l’offre des soins. À l’en croire, les Journées du Secteur Sanitaire Privé dénotent de la bonne coopération entre le gouvernement et la PSSP. Chose qui participe au renforcement du partenariat public privé. Il n’a pas manqué pour finir de réaffirmer l’engagement du ministère de la Santé à accompagner les actions de la PSSP.

Pari gagné pour la Plateforme du Secteur Sanitaire Privé du Bénin

Plusieurs communications thématiques, les présentations des actions de la PSSP et de ses membres, des partages d’expériences et le renforcement de capacités des acteurs du privé ont été au menu de cette deuxième édition.

Aux termes des travaux, les participants sont sortis mieux aguerris et satisfaits des différentes interventions de la PSSP et de ses membres. Les Hubs santé ont également levé un coin de voile sur leur expérience dans l’amélioration de la qualité et la sécurité des soins de santé au Bénin. Dans le même temps, les résultats de la convention signée entre la PSSP et le Ministère de la Santé a été partagé par le Secrétaire Exécutif de la PSSP.

Pour M. FAFEH Pascal, avec cette convention, les rapports entre la PSSP et le Ministère de la Santé se sont beaucoup améliorés et le partenariat public privé fortement renforcé. Selon Dr KOUDJO Tokpanou, Directeur des Établissements Hospitaliers, le secteur privé étant incontournable dans la prise en charge des populations au Bénin, il mérite un accompagnement pour améliorer davantage ses services. « Puisque la qualité n’est pas une fin, c’est un processus qui doit être amélioré au quotidien », affirme-t-il. C’est d’ailleurs la raison qui a motivé, à l’en croire, la mise en place d’un interlocuteur du secteur de la santé privé au Ministère de la Santé, a-t-il justifié.

Pour Jean-Placide AGBOGBA, Chef de Projet l’USAID/PSHPA, c’est un signal fort que la PSSP en collaboration avec l’USAID donne sur la nécessité de dialoguer afin de trouver des solutions pour les problèmes qui minent encore le secteur sanitaire privé au Bénin. Il se réjouit que la PSSP développe de plus en plus de capacité de se faire entendre.

Alexandre ALOVOKPINHOU est un Consultant, formateur et Président du Conseil d’Administration de T’UP Africa. Un modèle de sécurité transport sanitaire permettant de contribuer à la réduction du taux de mortalité maternelle et néonatale à travers des services ambulanciers. Il est urgent, dit-il, que nous nous mettons ensemble pour proposer des solutions capables de résoudre les besoins des communautés avec l’accompagnement de l’État.

Si cette deuxième édition des journées du secteur sanitaire privé a été une réussite, c’est grâce à la participation active des organisations membres de la PSSP, à l’accompagnement du ministère de la Santé, et en particulier et l’appui des partenaires techniques et financiers, notamment l’USAID.

Rappelons que cette 2ᵉ édition des journées du secteur sanitaire privé s’est achevée par l’Assemblée Générale Ordinaire de la Plateforme du Secteur Sanitaire Privé du Bénin. Les yeux sont désormais tournés vers la troisième édition.

Megan Valère SOSSOU




Lutte contre le SIDA au Bénin : l\’USAID appui le ministère de la santé en matériels

Dans le cadre du Plan d’Urgence Présidentielle de Lutte contre le SIDA (#PEPFAR), le gouvernement des Etats Unis à travers l’USAID – US Agency for International Development a offert un appui matériel au Gouvernement du Bénin.

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Cet appui est constitué de 17 motos et casques avec des contrats d’assurance d’une année, d’un montant de 30,431,020 FCFA ($56,000) et 100 ordinateurs avec kits de connections internet d’un montant total de 77 millions FCFA ($140,000).

Il permettra au Ministère de la Santé du Bénin de mieux fournir des services de santé aux personnes vivant avec le VIH/SIDA mal desservies.

Constance AGOSSA